Avis express de feignasse / Mon dernier visionnage

[lvri]

Faut sauver aussi la BO de Shaffrin.

Lors de l'opening, j'étais en mode "ça va être génial"... La BO est top en effet.

Jamais vu Dirty Harry....

[pabelbaba]

[Jed_Trigado]

Allez, on va te faire gagner du temps :

[Mr Jack]

Nan mais le doc sur Man on the Moon, ça ne donne pas envie de revoir le film.

Je pense que plus personne ne peut avoir envie de bosser avec Carrey après avoir vu ça. On peut livrer une bonne perf' sans être un tel connard.

C'est clair qu'il fait peur, Carrey.
J'ai vu un super doc sur lui l'année dernière, "L'Amérique démasquée", doc Arte basé sur un livre, aussi.

[lvri]

Allez, on va te faire gagner du temps :

[lvri]

Deux Hommes dans la Ville :
Bien apprécié la séance malgré le fait que ce film souffle le chaud et le froid. En soi, je trouve que pas mal de scènes sont vraiment "loupées", voire sans intérêt (Delon et Giraudeau jouant au foot, ou dévalant une pente... ou quelques blablas ici ou là plombant pas mal le rythme du film).
Mais le film se rattrape à d'autres moments, atteignant des sommets dans toute sa partie finale (même si Bouquet manque de nuance). La tension grimpe doucement dès lors que cet Inspecteur commence à foutre son nez dans la vie de Delon. Et le film atteint son paroxysme dans sa dernière scène... Ce moment prend aux tripes, jusqu'à cet échange de regard intense entre Delon et Gabin (putain d'allergie).

Bref, malgré une pointe de déception, ça reste un très bon film porté par deux acteurs incroyables.

[Jed_Trigado]

Malgré mon désinterêt pour le travail de James Wan depuis des lustres, le mec perdu entre franchises horrifiques qui feraient même pas peur a un gamin en bas âge et blockbusters bien boursouflés, j'ai pris le risque de mater Malignant après une vidéo de Azz l'Epouvantail qui spoilait la "révélation" du film et justement c'est ça qui m'a donné envie de voir ce truc qui détonne complètement de sa filmo. Un gros Z qui part dans tout les sens niveau écriture mais qui dépote dans ses scènes horrifiques a mi-chemin entre l'actionner et le giallo, le boogeyman est juste excellent dans sa demarche, bien sadique et impitoyable comme il faut quitte a tomber dans le too much.

La grande qualité du truc c'est qu'il essaye même pas de se la jouer malin sur les révelations, c'est tellement énorme qu'on passe outre. Si tout le film avait été du niveau de la scène du comissariat qui intervient bien trop tard, j'aurais carrément débouché le champagne au vu des conditions budgetaires, on sent que c'est pas du petit budget et Wan en fait bon usage. Je comprends les avis négatifs qui vont pointer les nombreuses ficelles narratives mais là pour le coup, c'est vraiment pas ce que je suis venu chercher.

[Scalp]

Y a un tel niveau de connerie que c'est fascinant. Impossible de détester un tel truc.

[Mark Chopper]

Those Were the Days / Dick Cho (1997)

Un cinéaste - double fictionnel de Wong Kar-wai - se moque de la production télévisuelle / cinématographique de HK des années 1960 lors d'une remise de prix. Après une altercation avec un producteur obèse - double fictionnel de Wong Jing - il se retrouve projeté dans les années 1960 et contraint de réaliser un film qui rencontre le succès, sous peine de ne jamais revenir.

Le pitch est sympa, non ?

Sauf qu'il me semble impossible d'apprécier 90 % du film quand, comme moi, on ne connaît rien de rien de la production télévisuelle / cinématographique de HK des années 1960. Les références sont très, très nombreuses, j'étais largué et l'humour n'a pas du tout fonctionné sur moi. Sauf quand WKW tente de populariser avec un peu d'avance certaines techniques de son époque, comme les combats câblés Et ses prises de tête avec Wong Jing sont priceless.

Mais, le plus souvent, j'ai subi un film qui n'était pas fait pour moi, faute de culture nécessaire.

?/10

[pabelbaba]

C'est chaud ce genre de bobine. Soit il y a des gags universels qui permettent de raccrocher les wagons, soit c'est le brouillard complet.

[Mark Chopper]

Brouillard complet. Exemple : Shu Qi joue Shiu Fong-fong...

Et moi pas connaître.