[Scalp] Des bons films Inch Allah 2024

[osorojo]

J'ai moins accroché que toi même si je suis d'accord pour dire que la proposition est pas trop mal. Mais j'ai fini par m'emmerder sur la distance, alors que le film est pas long, donc j'ai du mal à lui mettre la moyenne même si effectivement je trouve la première phase cool. Et puis niveau maquillage c'est du niveau Buffy, en 2024 c'est un peu limite à mon sens.

Dommage de ne pas introduire le père plus tôt, en mode c'est fini la récréation.

[Scalp]

Je préfère ce maquillage aux singes en Cgi du dernier Planètes des singes. Après le film est pas ouf mais j'ai réussi à y trouver mon compte, ce qui devient tellement rare dans le ciné horrifique.

[osorojo]

Ue je comprends, j'peux pas trop te donner tort pour le coup et j'aurais aimé accrocher plus à celui là, parce que j'y ai cru au début.

[Scalp]

Et a côté du dernier Spider-Man que j'ai tellement subis, c'est un chef d'oeuvre

[Scalp]

2/10

Nowhere de Albert Pinto - 2023

Ah les films espagnols, toujorus un régal, l'héritage culturel de ce pays se limite vraiment à la paella et au chorizo car le cinéma, la musique et le sport (de dopés) c'est chaud. Bon ici on est sur un survival minimaliste qui ne sait absolument pas doser dans son écriture entre invraisemblances et coups de masses on se bouffe un film qui en à rien à foutre d'être crédible.
Après une intro assez vite expédiée dans un univers fictif où le monde s'est écroulé et les régimes sont devenus totalitaire (bon on comprend pas trop pourquoi on nous présente ce monde vu que ça a plus aucune utilité par la suite) et même presque surprenante (un gamin meurt, bon en hors champs mais quand même) mais ça annonce direct la couleur sur la qualité de l'écriture : des gardes butent tout le monde dans le container et jamais ils vérifient si il reste quelqu'un (qui se cache très mal). On a donc notre héroïne qui se retrouve dans un container dans l'océan, ok why not, on est donc sur un survival en huis clos, on en a déjà vu ça peut être efficace comme Buried ou le film avec Redford, mais pas ici, ici c'est Gravity dans un container quoi, bon l'actrice fait pas le chien quand même. Et le film se rajoute des difficultés tout seul, car écrire un huis clos c'est compliqué, et là on s'est dit qu'avoir un femme enceinte et qui va carrément accoucher c'est une bonne idée !! et bien non, déjà ça donne l'accouchement le plus rapide de l'histoire, ensuite ça nous fait dire trop souvent que c'est pas possible et puis surtout ça a aucun intérêt narratif, on aurait le même film sans le bébé, on est perdu au milieu de l'océan, rajouter un bébé n'apporte rien !
Alors je peux accepter quelques facilités mais la meuf qui devient une pro en BTP et le téléphone qui fonctionne toujours après tout ce temps (et en plein milieu de l'océan) c'est non (surtout que finalement ça a aucun intérêt narratif, donc met pas la scène, quel con). L'aspect survie qui reste l'attrait principal du film est traité par dessus la jambe, elle essaye d'attraper des poissons, elle chie dans des tuperwars, elle boit l'eau de pluie, on se fait chier. Et faut pas s'attendre à une idée, elle arrivera pas, l'Espagne sans le dopage et l'arbitrage (pour le Real) c'est vraiment la lose. Bref c'est nul et même pas rigolo.

[Jed_Trigado]

Ah les films espagnols, toujorus un régal, l'héritage culturel de ce pays se limite vraiment à la paella et au chorizo car le cinéma, la musique et le sport (de dopés) c'est chaud.

Vivement la critique d'un film portugais, où ça causerais moustaches, morues et maçonnerie.

[Mark Chopper]

Offre-lui un film de Manoel de Oliveira.

[Jed_Trigado]

Les deux Opération Portugal avec D'Jal suffiront.

[Scalp]

Putain on dirait les ch'tis du sud

[Scalp]

Consecration de Christopher Smith : je lâche l'affaire après 45 minutes, c'est chiant, les intrigues à base de trucs religieux ça me gonfle vite et là il se passe vraiment rien et Jena Malone je la supporte pas, triste de voir la tournure qu'a pris la carrière de Smith qui avait commencé de manière exemplaire (même si j'aime pas Severance).

[Scalp]

3/10

Case Départ de Fabrice Éboué et Thomas Ngijol - 2011

Fabrice Éboué et Thomas Ngijol c'est clairement ce qu'il y a eu de mieux au Jamel Comedy Club, et plus de 20 ans après on a toujours pas eu mieux que ces 2 là, mais voilà aussi bon comique soit il, on peut pas dire que leur carrière cinéma soit d'un grand niveau, alors que Eboué est un putain de génie. Ici on a un postulat de base qui tue, à La Visiteurs quoi, mais voilà avoir un postulat ne suffit pas. Et malheureusement le duo ne fait pas grand chose de leur idée de départ, 2 connards qui sont projetés à l'époque de l'esclavagisme y avait moyen de faire un truc vraiment drôle ou fun, ou les 2, et ici clairement on cherche les vannes, on attend les blagues, le film ne se repose (et même pas assez) que sur le contraste entre ces 2 mecs de l'ère moderne et l'époque à laquelle ils sont tombés. Y a pas grand chose qui fonctionne, le running gag de la grosse bite ça fait sourire la première fois après c'est naze et de manière général le film est finalement jamais drôle, c'est un peu un problème pour une comédie. Reste bien 2 ou 3 lignes de dialogues, surtout avec Ngijol dans le rôle du connard ultime mais bon c'est du déjà vu avec ce qu'il fait. Bref contrairement aux comédies françaises habituelles je m'attendais vraiment que ce soit sympa un minimum, ben non.

[Scalp]

Deepwater et L'innocence ont été oublié dans le référencement

[Alegas]

Yes, faut que je fasse une passe. Je n'ai pas eu le temps depuis mon retour. J'essaie de faire ça dans la semaine.

[Mark Chopper]

faut que je fasse une passe

Pipe nature ou tu exiges la capote ?

[Alegas]

On n'est jamais assez protégé !