[Alegas] Mes Critiques en 2024

[osorojo]

J'ai adoré ce film perso.
Pas revu depuis une éternité, mais à l'âge ou je l'avais maté (jeune ado), j'étais fan del señor Ramirez.
Et les décapitations véner, j'étais pas habitué à ça.

[pabelbaba]

Allez! Viens participer au challenge!!!

[Dunandan]

J'ai adoré ce film perso.
Pas revu depuis une éternité, mais à l'âge ou je l'avais maté (jeune ado), j'étais fan del señor Ramirez.
Et les décapitations véner, j'étais pas habitué à ça.

Moi aussi j'en étais longtemps fan, ainsi que de la série.

[osorojo]

Allez! Viens participer au challenge!!!

Ue bien sûr, votre challenge de la mort. Ca aurait pu m'intéresser avec un sujet stimulant, mais là c'est pas possible.
Et jamais je remate ce genre de film, sinon je pète un bon souvenir

[Jed_Trigado]

Je me rappelle plus de la série avec Adrian Paul qui passait sur M6 dans les années 90, mais pas pour de bonnes raisons.

[Dunandan]

Ah oui cette scène!
Ça n'échappait pas au ridicule mais globalement je l'aimais bien, cette série, il y avait de bons personnages et techniquement, les chorégraphies, c'était quand même mieux que le film.

[pabelbaba]

Je me rappelle plus de la série avec Adrian Paul qui passait sur M6 dans les années 90, mais pas pour de bonnes raisons.

Je ne connaissais pas ce passage.

Allez! Viens participer au challenge!!!

Ue bien sûr, votre challenge de la mort. Ca aurait pu m'intéresser avec un sujet stimulant, mais là c'est pas possible.
Et jamais je remate ce genre de film, sinon je pète un bon souvenir

[Mark Chopper]

Ah oui cette scène!
Ça n'échappait pas au ridicule mais globalement je l'aimais bien, cette série, il y avait de bons personnages et techniquement, les chorégraphies, c'était quand même mieux que le film.

C'est la nostalgie qui parle.

[Dunandan]

J'utilise l'imparfait, le doute est en effet permis.

[Alegas]

Alien vs Predator : Requiem de Colin & Greg Strause
(2007)

Première (et dernière ) fois que je le vois, et j’avais envie d’y croire après la réévaluation du premier opus, mais pour le coup y’a rien à faire : c’est aussi mauvais que le laisse présager sa sale réputation. Suite directe de son prédécesseur (on reprend dans le vaisseau avec l’Alien qui a survécu), avec un pitch plutôt sympa sur le papier, à savoir de reproduire le combat entre Alien et Predator, mais cette fois dans une bourgade américaine classique, entourée de montagnes et de forêts. Je dis bien sympa sur le papier car passé le fait de voir un bon gros paquet d’innocents mourir dans des conditions atroces (sur ce point, le film ne manque pas d’imagination), on se rend vite compte que le film tourne en rond, et l’intrigue est déjà lourdingue alors qu’on est même pas arrivé à mi-chemin de la durée .

La faute à une écriture nulle à chier pour le coup, car même si les personnages du premier film n’étaient pas foufous, ça tenait debout un minimum, alors qu’ici c’est des persos de slasher typique, le must étant le jeune mec amoureux de la belle du coin mais qui n’ose pas lui dire, bref des persos que je pourrais excuser dans un Vendredi 13, mais qui sont complètement hors-sujet quand on a un film avec un Predator et des Xénomorphes . En parlant d’eux, leur affrontement ici n’a vraiment pas de quoi créer de l’intérêt, notamment parce que la mise en scène est complètement naze. Les producteurs ont réussi un pire choix que Paul W.S. Anderson en allant chercher deux frangins bossant dans les effets visuels, et se sont dit que ça serait une bonne idée de leur filer 40 millions en guise de premier film. Le résultat fait qu’on se demande si qui que ce soit a pensé à vérifier les réglages de la caméra : tout est super sombre au point qu’on ne distingue quasiment rien. On râle sur le Batman récent, mais à côté de celui-ci, le film de Matt Reeves paraît être baigné de lumières et de couleurs, tant ce Alien vs Predator : Requiem se complaît à plonger l’action de son film dans des endroits très peu éclairés, ce qui est évidemment une super idée quand les deux monstres du film sont complètement noirs .

Le reste de la mise en scène n’aide en rien à la lecture : c’est filmé très près, n’importe comment, et c’est en plus magnifié par un montage ultra cut qui finit de rendre la moindre action incompréhensible. Donc, des scènes d’action toutes nazes et illisibles, entrecoupées d’aventures de persos inintéressants au possible qui cherchent à survivre, des protagonistes joués par un casting de troisième zone, le tout saupoudré d’effets visuels ratés, bref un programme particulièrement réjouissant. Dans les rares points à sauver du film : l’idée d’un Alien mixé avec du Predator (même si trop peu exploité), une cruauté peu commune envers les personnages (la blondasse empalée sans prévenir, la meuf enceinte qui finit par enfanter des aliens , le gamin et son père en premières victimes, la bombe atomique), et… c’est tout. J’hallucine encore de voir que certains ici mettaient la moyenne à un tel film à sa sortie.

1,5/10

[Alegas]

Independence Day : Resurgence de Roland Emmerich
(2016)

On entendait parler d’une suite à Independence Day depuis la fin des années 90, le Fox sentant la possibilité d’un nouveau carton, et il aura fallu donc vingt ans pour la voir à l’écran, sans qu’il n’y ait un réel engouement autour (ou alors je l’ai complètement loupé : qui avait réellement envie de voir une suite de ce film ?! ). En fin de compte, il aurait mieux fallu qu’elle arrive plus tôt, car à sortir en 2016 elle arrive non seulement dans un contexte de suites tardives d’anciens succès, suites qui ont la fâcheuse tendance à être bien loupées, et surtout ça repart entre les mains d’un Emmerich qui n’a plus l’aura qu’il pouvait avoir par le passé. Entendons-nous bien, je ne dis pas qu’Emmerich a été un bon réalisateur à un moment, mais c’est indéniable qu’il avait, dans les années 90, la force de mettre en place des blockbusters généreux et visuellement impressionnants, et c’est quelque chose qui s’est clairement perdu par la suite chez lui, donnant lieu à des spectacles de plus en plus passe-partout.

Un aspect qui se confirme ici : cette suite a beaucoup de mal à proposer quelque chose de différent du blockbuster habituel qu’on se tape depuis déjà plusieurs années, autant dans l’écriture que dans la fabrication, et c’est dommage car en dépit de ces aspects on sent néanmoins une volonté initiale de refaire un blockbuster 90’s avec ce que ça comporte en qualités et défauts. On a donc un récit qui se déroule vingt ans après le film original, dans un contexte plutôt bien trouvé pour le coup : l’attaque de 96 a permis l’alliance des nations du globe, et les humains ont utilisé la technologie alien pour reconstruire, aller plus facilement dans l’espace, coloniser la Lune, et se préparer à une éventuelle nouvelle attaque en se blindant côté défenses. On se retrouve donc dans une version alternative de la Terre, ce qui peut paraître une bonne idée de départ sur le papier, mais qui s’avère être la première faute de cette suite : la qualité de l’original était de voir une invasion se déroulant dans notre quotidien, alors qu’ici il y a une distance qui se crée directement avec ce monde où l’on peut aller dans l’espace en quelques minutes, où tout paraît trop facile, et où on aimerait te faire prendre pour acquis des événements qu’on ne nous montre pas et qu’on ne nous explique pas.

D’autant que la menace alien n’a pas vraiment une plus-value par rapport à l’invasion précédente, on a juste un vaisseau plus gros et une reine géante, les scénaristes ne se sont pas vraiment cassés le cul sur ce coup là . A cela s’ajoute d’autres idées incongrues, notamment le fait de ramener une seconde espèce extra-terrestre qui veut aider les humains, idée qui ne sert en réalité qu’à donner un appât pour la menace finale, et entamer l’idée d’un troisième. D’ailleurs, sur ce point, le film est involontairement drôle à découvrir alors qu’on sait désormais qu’il a été une déception au box-office : on balance rapidement sur la toute fin que le voyage interstellaire est à portée, et que le troisième film va donc montrer les humains envahir la planète alien, on fait bien monter la sauce en mode cliffhanger, tout ça pour un film qui n’arrivera finalement jamais . Autre loupé sur l’écriture : le fait de vouloir conjuguer deux générations différentes de spectateurs à travers deux générations d’acteurs. Le résultat est assez désastreux, avec d’un côté un casting de vieux qu’on ramène parfois de façon hyper poussive (le scientifique tombé dans le coma, c’était vraiment pas nécessaire), et de l’autre une pure distribution de têtards sans charisme où l’on fait bien en sorte que ça coche toutes les cases de la diversité (et on a même une chinoise parce que le film est financé en partie par des fonds de ce pays).

Même en divertissement pur ça a du mal à être plaisant : c’est, dans la construction, un remake du premier avec tout en moins bien, les séquences d’action sont très anecdotiques, et c’est hyper avare en scènes de destruction puisque la totalité des shots étaient dans le trailer . D’ailleurs, même ces scènes souffrent de la comparaison avec le premier film : outre le fait que tout soit en CG, c’est abordé avec énormément de distance, là où le film original plaçait le spectateur au milieu des foules qui allaient mourir. Résultat : on voit littéralement des millions de gens mourir à l’écran, et on regarde ça sans aucun affect, ce qui est à mon sens un énorme défaut dans un film catastrophe. Cerise sur le gâteau : on ne reprend même pas David Arnold au score, Emmerich préférant reprendre le compositeur sans talent de ses derniers films . Sans être une purge absolue, c’est assez honteux comme suite.

2,5/10

[Alegas]

High time (Une seconde jeunesse) de Blake Edwards
(1960)

Vraiment pas terrible du tout ce petit Blake Edwards de début de carrière. C’est un film qui arrive juste après le sympathique Operation Petticoat mais surtout juste avant l’explosion de sa carrière via Breakfast at Tiffany’s, ce qui donne encore plus l’impression que c’est un petit film anecdotique car il est littéralement coincé entre deux films bien meilleurs. Le pitch est plutôt fun car j’ai l’impression qu’il a servi de modèle pour un fameux épisode des Simpson, à savoir l’histoire d’un adulte qui décide de rentrer à l’université en tant qu’étudiant pour enfin obtenir son diplôme. En soi, pourquoi pas, mais manque de bol l’épisode des Simpson, plus court de plus d’une heure, est indéniablement plus réussi et drôle que ce long-métrage .

Entre celui-ci et The Emperor Waltz, je vais finir par croire que Bing Crosby provoque systématiquement les moins bons films des réals chez qui il tourne, et malgré le sujet qui laisse à penser que c’est un film destiné à faire rire les jeunes, on a plus l’impression de regarder une comédie pour vieux. Un aspect du film qu’Edwards semble vouloir dynamiter à tout prix, à grand renfort d’effets de montage très 60’s qui donnent un certain charme au métrage, mais qu’il ne peut renverser totalement, en témoigne sa mise en scène souvent limitée par un tournage en studio. Résultat : malgré quelques séquences rigolotes et des transitions plutôt cools, on subit le reste, à savoir des passages pas drôles, filmés platement, joués sans conviction ou, au contraire, avec beaucoup de surjeu, et globalement une tendance à la longueur, à la répétition, qui se ressent grandement. Le film est probablement important dans l’histoire du teen movie à l’américaine, car on y trouve un paquet de codes qu’on retrouvera par la suite, notamment dans les années 80, mais ça n’en fait malheureusement pas un bon film, d’ailleurs même à l’époque les spectateurs avaient l’air de le penser vu la réception pas terrible. Un film à oublier de la part d’Edwards, qui a fait mieux avant, et beaucoup mieux après.

4/10

[Alegas]

Holiday (Vacances) de George Cukor
(1938)

Petite comédie sympathique que voilà, et probablement le meilleur film de Cukor que j’ai vu jusqu’à présent (on ne peut pas dire que je sois particulièrement fan pour le moment). Il faut dire que la tête d’affiche Cary grant/Katharine Hepburn est plutôt encourageante, et sans trop de surprise c’est clairement la grande qualité du métrage : en plus d’être des monstres de charisme, ils ont ensemble une réelle alchimie qui se trouve autant dans la présence physique que dans l’enchaînement des répliques. Côté pitch, c’est très classique, peut-être même un peu trop : Cary Grant tombe amoureux d’une femme et rencontre donc sa famille fortunée, mais il va peu à peu se rendre compte que ce style de vie est trop bloquant pour sa soif de liberté, et il va peu à peu tomber sous le charme de la sœur de sa promise, sœur qu’on présente comme quelqu’un d’assez introverti à la base, mais qui va s’avérer être la seule personne capable de sacrifier son train de vie par amour. En soi, le script fonctionne, d’autant qu’il est servi par de très bons dialogues, mais on ne peut pas vraiment dire que ce soit le scénario le moins prévisible du monde, et donc dès que le personnage d’Hepburn se met en place on devine assez vite où le métrage nous emmène. En résulte une comédie qui se suit très bien, formellement bien emballée, et avec un casting engagé, mais ça ne dépasse jamais à mon sens le stade du sympathique, même si ça se rattrape un peu avec la fin que je trouve assez réussie et émouvante pour le coup.

6,5/10

[Alegas]

The Darjeeling Limited (À bord du Darjeeling Limited) de Wes Anderson
(2007)

Agréablement surpris par la vision de ce Wes Anderson car pour le coup on ne peut pas dire que ce soit celui qui bénéficie de la meilleure des réputations, il est même généralement considéré comme assez mineur dans sa filmographie, mais le fait est que c’est l’un de ceux qui trouvent le plus grâce à mes yeux. Sans doute cela vient du fait que le film est sorti entre The Life Aquatic et Fantastic Mr Fox, et que cela se ressent énormément dans les thématiques et l’ambiance du métrage : non seulement il est aussi question de relations compliquées entre parents et enfants, mais il y a aussi dans le traitement quelque chose à mi-chemin entre la comédie absurde et un drame qui ne dirait pas son nom. Un mélange que j’apprécie beaucoup chez Anderson et qui, à mon sens, a été le pic de sa carrière sur la fin des années 2000, avant que sa formule ne se répète et tombe dans une certaine caricature.

C’était aussi l’époque où le réalisateur savait manier sa mise en scène sans pour autant tomber dans un maniérisme facile : ici, le jeu des cadres, des symétries, ne sont pas là gratuitement, et servent l’état d’esprit des personnages, alors que depuis Moonrise Kingdom ça devient une habitude systématique qui est là pour rappeler au spectateur qu’il est bien en train de regarder un film d’Anderson. A ce titre, le film est bourré d’idées sympathiques, aussi bien visuelles que narratives (ce travelling latéral qui vient résumer où en est chaque personnage, la vie de chacun étant représenté à travers le wagon d’un train, c’est brillant ) et il y a une réelle maîtrise des mouvements de caméra, calculés avec une précision impressionnante, sans que ça ne tombe dans le show off.

Là où le film m’a réellement surpris, c’est sur son caractère assez émouvant alors que, de base, les personnages des frangins ne semblent pas si intéressants que ça. Mais plus le récit avance, plus les failles et craquelures se révèlent, et ça donne une quête initiatique familiale bien écrite au fur et à mesure des péripéties (l’arrêt dans le village indien notamment). Le casting aide beaucoup à cette réussite, avec le trio de leads qui s’avère vraiment réussi, là encore c’était l’époque où Anderson ne se sentait pas obligé de sortir son carnet d’adresses pour le moindre film, même si on sentait déjà que cette manie arrivait peu à peu (en témoigne les petits rôles de Bill Murray et de Natalie Portman au sein de ce film). Cerise sur le gâteau, le film a une très jolie BO avec plein de titres bien utilisés (le passage sur Play with fire en particulier ). Bref, un joli petit film, que je trouve pour ma part bien meilleur que d’autres titres plus réputés de la filmo du bonhomme.

7/10

[Alegas]

Il deserto dei Tartari (Le Désert des Tartares) de Valerio Zurlini
(1976)

De toute la filmographie de Zurlini, c’est sans aucun doute celui qui est le plus alléchant sur le papier, mais malheureusement, sur les quatre films que j’ai pu voir du bonhomme c’est aussi l’un de ses plus faibles, et c’est donc une sacré déception à la découverte. Pourtant, ça commençait bien avec cette histoire de soldat muté dans une forteresse en plein milieu du désert, à attendre un ennemi et un combat qui ne viendra jamais, et là j’ai bien senti que j’avais déjà vu ce film quelque part. Car le roman qu’adapte Zurlini a apparemment été aussi une source d’inspiration pour un autre ouvrage qui, lui aussi, a été adapté en long-métrage, par Ciro Guerra : Waiting for the barbarians. Un film que j’avais apprécié à sa sortie il y a quelques années, et donc je me réjouissais assez vite à l’idée de voir une histoire très similaire faite une quarantaine d’années plus tôt, mais pour le coup je ne peux que crier ma préférence au film de Guerra qui réussissait bien mieux son pari que celui de Zurlini.

Concrètement, c’est un film sur l’obsession, sur l’attente qui en découle, et qui devient peu à peu de la folie qui ne dirait pas son nom, le souci c’est qu’une note d’intention pareille est à double tranchant : on doit faire ressentir l’ennui et l’attente du personnage sans pour autant la créer chez le spectateur, et c’est précisément sur ce point que le film se plante dans les grandes largeurs. Une fois les présentations faites au fort, difficile de trouver un intérêt dans l’histoire qu’on nous raconte, tant tout l’aspect psychologique s’avère très sommaire, pour ne pas dire simpliste, et les quelques péripéties à l’intérieur des épais murs ne viennent pas davantage créer quelque chose digne d’attention. Si le pari était qu’on se fasse chier autant que les personnages, c’est plutôt réussi, mais j’ai quand même du mal à croire que c’était l’intention véritable du métrage, d’autant qu’il y a tout de même quelques passages qui réveillent un peu le spectateur, notamment tout ce qui tourne autour de la permission qu’on souhaite éviter un temps, puis que l’on cherche à tout prix.

C’est d’autant plus dommage que le métrage ne manque pas de qualités : déjà on a un gros casting très vendeur pour le moindre cinéphile (Perrin, Noiret, Von Sydow, Trintignant, Gassman, Fernando Rey), mais en plus Zurlini met les petits plats dans les grands en livrant ce qui est à mon sens le film le plus réussi de sa carrière d’un point de vue purement formel, où il sublime des décors somptueux avec de très beaux cadres (dommage que la copie restaurée ne rende pas particulièrement justice à ce travail, avec une gestion du grain plutôt douteuse). Il y a un bon paquet de plans qui restent en tête, et j’imagine que Ciro Guerra avait vu et apprécié ce travail car on retrouve le même plan final refait à l’identique, impossible de s’y tromper. En l’état, ce n’est pas un film que j’ai envie de plomber car ça a énormément de qualités visuelles et j’apprécie les intentions initiales, mais la vision a été tellement éprouvante dans le mauvais sens du terme (ça dure en plus quasiment deux heures et demie) que je peux difficilement mettre plus de la moyenne.

5/10