[Scalp] Shit Movie 2023

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2/10

Something Wild de Jonathan Demme - 1986

J'avais pas des attentes folles, le pitch vendait pas du rêve, mais c'est vraiment pire que prévu. Finalement le film quand il se termine qu'on aura tout oublié dans 5 minutes à part la plastique de Melanie Griffith d'avant chirurgie (quand on voit son jeu on comprend pourquoi elle se fout à poil).
C'est donc un road movie avec une jeune délurée et un quadra un peu coincé qui se fait chier dans sa vie, ça fait illusion au début car on sait pas trop où on va aller (ça commence comme une comédie romantique légère et chiante), mais rapidement on se fait chier tant le film n'a rien de bien intéressant à raconter, et c'est pas meilleur quand Ray Liotta débarque (et on se rend compte que Liotta peut vraiment pas tout jouer). Ca donne même un mélange très casse gueule et vu que déjà ça tenait pas la route, alors ici tout s'écroule et on se retrouve devant un film con avec des personnages cons et un réal qui sait pas rendre ça moins con, alors je suis pas fan de Demme, il peut remercier Harris et Hopkins de lui avoir donner une carrière, mais elle se cassera vite la gueule (après Philadelphia c'est une succession d'échecs). Bon ici il est pas le premier en tort, le premier c'est vraiment le scénariste, c'est une histoire tellement convenue et sans intérêt qu'on se demande même comment ça a trouvé un financement (Jeff Daniels en lead en plus difficile de faire moins vendeur surtout qu'ici il est comme souvent assez mauvais), mais clairement Demme en fait rien pour sauver les meubles. Et la relative bonne réputation du film est vraiment incompréhensible tant on est devant une belle daube.

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6.5/10

Farang de Xavier Gens - 2023

La filmographie de Gens, on se demande pas quel est le meilleur film, on se demande lequel est le moins pourri et ça reste quand même un exercice périlleux car ça vole vraiment pas haut, alors on peut se marrer devant Frontières mais c'est pas vraiment le but du film. Et donc ici pour la première fois il fait un film pas nul, ça surprend. Alors on peut reprocher plein de choses au film si on veut mais c'est une vraie proposition de cinéma pour un film français. La chose la plus appréciable c'est vraiment le coté premier degré du film, y a pas d'humour, y a pas de ça prend le genre de haut, y a une réelle volonté de raconter une histoire. Alors c'est du vu et revu, c'est très basique et faut pas trop s'attarder sur les facilités narratives mais on croit à cette histoire et ces personnages (la gamine est top et le vieux entraineur pète la classe), c'est emmené par un Nassim Lyes presque mutique quasi parfait, jusque là on peut pas dire qu'il nous avait éblouit par son talent (belle filmo de merde jusque là), bon alors ici il signe surtout une prestation physique assez impressionnante comme peu d'acteur français avant lui (j'aime bien Lenoir mais là c'est vraiment un cran en dessus).
On va donc suivre son personnage qui a refait sa vie en Thailande (bon pour l'originalité comme j'ai dis on repassera) et là le film prend son temps, alors si on veut prendre le film en grippe c'est facile avec ce début car on a une longue intro (qu'on peut juger nécessaire pour arriver à la partie vengeance) et le film était vendu comme un gros actionner et clairement c'est pas le cas, alors oui quand ça passe en mode revenge movie, on a de l'action et des séquences marquantes mais faut vraiment patienter avant d'arriver à cette partie. Olivier Gourmet en gros méchant c'est pas l'idée du siècle, j'aime bien l'acteur mais il peut pas tout jouer à mes yeux et là en parrain local c'est pas le rôle du siècle.
Enfin si on regarde le film c'est donc pour voir du bourre pif, alors jusque là le McT français (cette référence sorti dans Mad pour Frontières, je m'en remettrai jamais) nous avait jamais vraiment montrer grand chose, enfin pas au cinéma, car son passage sur la série Gangs of London lui a été vraiment bénéfique, bosser avec Gareth Evans lui a montrer comment mettre en scène de l'action efficacement, et ses épisodes étaient vraiment réussis. On voit ici qu'il a donc repris ce style, fait de plans assez larges, de montage qui sait alterner la longueur des plans (on a pas de plan séquence pour faire style) et surtout des angles de caméras bien sentis (la caméra qui tombe avec les mecs c'est toujours un effet qui marche) ainsi quand ça bourrine, c'est lisible, immersif et ça fait vraiment mal, y a 2 grosses scènes bien vénères dans le film et clairement c'est sans équivalent dans le cinéma français, ça brise des os (le mixage sonore est énorme), des pètes nuques, ça coupe, découpe, égorge, le tout avec des plans qui savent en montrer sans tomber dans la violence gratuite (bon le coup de l'os c'est ptet un peu gratos mais c'est fun), c'est viscéral et on a mal pour les mecs (l'enchainement couloir, ascenseur c'est surement ce que j'ai vu de mieux en action cette année, c'est autre chose que John Wick et ses bots). On est venu voir ça et on est pas déçu malgré finalement la courte durée de l'action sur la globalité du métrage, c'est pas trop grave comme dit plus haut Gens essaye de raconter son histoire humblement et sérieusement et ça fonctionne.
Après 20 ans de carrière, on peut donc enfin dire que Gens a réussi à faire un film sympa, c'est beau, ça laisse un espoir pour plein de tâcherons (ou pas) et j'aimerais bien le voir continuer dans ce registre (la SF c'est clairement pas son truc car Divide et sa merde avec Stevenson ça fait peur).

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5/10

Mickey Blue Eyes de Kelly Makin - 1999

Une comédie romantique avec Hugh Grant c'est forcément pas très engageant mais ici le film a pour lui un pitch sympa (même si finalement pas si exploité, le film aurait pu aller tellement loin dans le délire) et surtout un casting de second rôle savoureux et c'est ce qui fait le sel du film. Car bon Hugh Grant en lead voilà quoi, son flegme britannique c'est marrant 5 minutes et le film ne propose que ça, y avait pourtant un truc à faire quand il se fait passer pour un mafieux mais c'est 5 minutes dans le film, c'est con car c'est drôle à ce moment. Du coup on se rattrape sur James Caan, Burt Young (j'étais content de le voir là dedans et il campe un parrain avec un vrai talent) et le casting des Sopranos (le nombre d'acteurs qu'on va voir dans la série HBO par la suite c'est ouf ici, c'est encore plus que chez Scorsese). Bon alors le coté romantique, c'est nul, la comédie c'est très inégal mais y a un coté réjouissant (même si complètement naif et innoffensif) à voir ces mafieux from NY dans des situations concon et puis la rencontre entre ce bourgeois londonien et les Sopranos est marrante mais vite peu exploitée. Le film a absolument rien de marquant mais c'est jamais désagréable et on sourit plusieurs fois.

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4/10

L'ultima Notte di Amore de Andrea Di Stefano - 2023

C'était vendu comme le polar de l'année, donc j'avais forcément pas mal d'attente et j'en ressors donc vraiment déçu. J'ai même du mal à comprendre les bonnes critiques générales tant tout ça est générique et même pénible. Pourtant c'est typiquement le genre de film pour lequel j'y vais avec aucun apriori et je suis même plutôt indulgent mais là très vite j'ai senti la douille. L'intro dans le genre pas efficace ça se pose là, ça met vraiment 3 plombes à démarrer et j'ai eu du mal à m'intéresser à ce personnage qui va partir à la retraite, pourtant l'acteur qu'on a déjà vu dans d'autres trucs est pas mal mais le rôle est vraiment pas terrible. Donc ça traine pas mal pour en arriver à une scène centrale qui va faire basculer le film, faut attendre plus de 45 minutes pour que le film commence donc vraiment, et 45 minutes quand tes persos sont pas intéressants c'est vraiment long. Et quand ça commence ben forcément vu que les persos sont osef ben on s'en fout un peu.
Alors on a un truc qui part en couille, bon sur la forme y a rien à redire, le mec sait filmer, sait mettre en place sa tension, sait faire monter la sauce, clairement la séquence c'est ce qu'on peut appeler du bon cinéma, bon tout ça est un brin téléphoner mais ça fonctionne. Après cette séquence centrale qui dure bien 10 à 15 minutes, le film a donc une nouvelle dynamique, sauf que pour moi là tout s'écroule, tout s'écroule car j'ai pas réussi à m'intéresser à ce flic qui va partir à la retraite sans jamais s'être servit de son flingue en 35 ans (c'est un élément important du scénario en plus) et le voir essayer se sortir de cette merde tout en démêlant qui a bien pu le trahir ben c'est un peu chiant (en plus d'être bien prévisible). C'est con car y avait vraiment matière à faire quelque chose pourtant mais c'est long (ça dure plus de 2h alors qu'on est clairement sur une intrigue qui peut tenir en 1h30, savoir être concis est tellement une qualité perdue aujourd'hui, ici clairement on a vraiment beaucoup de séquences trop longues ou tout simplement inutiles, le perso de sa femme casse vraiment les couilles pendant tout le film). Au lieu d'avoir une seconde heure de métrage bien tendue (ben ouais le mec doit essayer de cacher qu'il est impliqué tout en esquivant les bad guy, c'est du vu et revu mais quand c'est bien fait c'est efficace) on a un truc plan plan et c'est pas en foutant une grosse BO genre à la Carpenter que ça va sauver les meubles, ça a même plutôt tendance à péter les couilles.
Alors je vais pas non plus trop cracher dessus, c'est pas une purge, mais quand on te vend le polar de l'année ben j'attends le polar de l'année, et là j'ai vu un polar pas très bien écrit, pas très intéressant avec des persos fonctions qui ne dépasse jamais le stéréotype (enfin les méchants sont même plutôt nases) et une réalisation prometteuse qui s'enlise petit à petit vers le sans intérêt. Mieux vaut regarder To Catch a Killer qui est pour le coup le vrai polar de l'année.

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5/10

Fung Bou de Alan Yuen - 2013

J'en attendais rien et je pourrais presque dire que c'est une surprise tellement je pensais que c'était un nanard, bon ça vole pas haut mais ça fait clairement le taf. On est devant un vrai polar/actionner HK presque comme à la bonne époque avec Andy Lau en flic déterminé qui veut coffrer une bande de braqueurs, on peut donc pas dire que l'originalité soit la qualité première du métrage et comme à la grande époque y a une grande naïveté qui se dégage de tout ça. Mais le film arrive quand même a surprendre en butant des personnages et là on se paye même un retour au pays des Cat 3 avec un meurtre gratuit de gamine qui va transformer la seconde partie du film en revenge movie. Bon alors dit comme ça on se dit que ça doit être vraiment super, mais clairement l'histoire est quand même bordélique pour pas grand chose, c'est une bête histoire de flics et voleurs mais on est pas devant la narration la plus limpide qui soit et on se tape même des storylines un peu pété (celle de Gordon Lam je comprends l'idée mais ça fonctionne tout simplement pas), c'est un peu poussif et bancal mais quand arrive la mort de la gamine, le film est véritablement lancé et on va droit à ce final apocalyptique (et complètement con con) en pleine rue.
Le casting fait plaisir car on retrouve des têtes qu'on aime voir comme Andy Lau, Gordon Lam, Hu Jun, Terrence Yin et même Michael Wong (bon lui on est pas vraiment content de le voir), bon alors on peut pas dire que ça joue bien, Andy Lau est pas vraiment concerner, Gordon Lam tire la tronche, y a bien que Hu Jun convaincant en bad guy sans pitié.
Le film a pour lui une vraie qualité qui fait plaisir, c'est des scènes d'actions qui sont vraiment plaisante à mater, on retrouve l'acteur/chorégraphe Chin Ka-Lok, bon il est plus connu pour ses nombreux seconds rôles où il assurait toujours niveau tape mais il a bossé sur certains excellents films comme une Nuit à Mongkok et Shinjuku Incident, ici on retrouve ce qu'on aime dans ce genre de film, des gros mitraillages dans les rues de HK, ça vide du chargeur plus que de raison, ça explose dès que possible (bon Andy Lau ici c'est Terminator, le mec se prend toutes les explosions possibles et il est toujours là), c'est filmé de façon plutôt ample et lisible et même si ça regorge pas d'idée y a une vraie efficacité. Et puis on a une scène bien cool dans un immeuble forcément exigu mais où on se shoote à bout portant au lance grenade, on se saute dessus et on tombe dans les escaliers avec des cascadeurs qui prennent cher.
Pour 0.99 cts chez Noz c'est une belle affaire et quand le film se termine on se dit que c'est toujours cool de voir un actionner HK qui fait ce qu'on aime, à savoir buter la moitié du casting sans pitié.

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2/10

Married to the Mob de Jonathan Demme - 1988

Un film qui rate a peu près tout ce qu'il entreprend, ça se voudrait un hommage à la screwball comédie des 40's (enfin j'ai l'impression) mais c'est foireux du début à la fin. Le problème du film c'est qu'il ne sait jamais sur quel pied danser, l'équilibre entre la comédie, la romance et l'intrigue policière ne tient pas la route et tout se casse rapidement la gueule. Ca donne un ensemble très paresseux, pour une comédie c'est jamais drôle (mais vraiment), pour une romance on y croit pas une seconde (Modine est assez mauvais ça aide pas), quant à l'intrigue policière elle juste là parce qu'on ça se déroule dans l'univers de la mafia, mais c'est vraiment écrit n'importe comment. J'y ai cru 5 minutes quand Alec Baldwin exécute un contrat puis rentre à la maison et félicite son fils car il terrorise les gosses du quartier, mais voilà Baldwin est buté juste après par un Dean Stockwell parfait en parrain (largement le meilleur perso et acteur du film). Et ensuite c'est vraiment laborieux avec un coté vaudeville qui ne fonctionne pas vraiment, pas du tout même, c'est assez consternant en fait.
C'est con car sur le papier, une plongée dans la Mafia présenté selon le point de vue d'une femme d'un gros bonnet c'est original (enfin pour l'époque depuis on a eu Soprano qui a fait ça à la perfection) mais ça se casse rapidement la figure. On suit donc Pfeiffer (pas trop mal mais bon ça fonctionne grâce à son capital sympathie car le rôle est nul et l'actrice on l'a déjà vu bien meilleure, même si c'est vrai que sa fraicheur est un peu un des seuls points positifs du film) qui veut s'échapper de sa condition de femme de mafieux, son mari venant de mourir elle pense que c'est l'occasion mais on échappe pas à la mafia comme ça surtout quand le FBI veut se servir de vous comme appât (toute cette partie est assez nul à chier). Mais passé cette intro, tout est donc très laborieux avec un film qui ne sait pas où il va, hésitant entre légèreté et sérieux, du coup c'est ni l'un ni l'autre. Les seuls moments qui sont pas nuls c'est quand y a Dean Stockwell à l'écran finalement.
Demme ne sauve pas le film, bon ça c'est pas une surprise, le mec était pas un génie et il le prouve une fois de plus avec une réalisation sans éclat et même pachydermique par moment. Comme pour sa comédie précédente avec Griffith c'est vraiment pas fameux et on comprend pourquoi c'est des films oubliés.

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3/10

Voleuses de Mélanie Laurent - 2023

Bon c'est un film de et avec Mélanie Laurent donc il y a pas de miracle, elle est même devenue encore plus détestable avec le temps. Ici c'est une adaptation de Bastien Vives, le mec est donc persona non grata mais si y a du fric à se faire on oublie les polémiques.
Le genre de film qui pense qu'il suffit de mettre des personnages féminins pour que ce soit bien et original, et bien attention scoop, non ça suffit pas, ça donne même un résultat très faignant. Sur l'idée très originale du dernier casse, on va donc suivre Laurent et Adèle, à partir de là tout va partir en couille doucement mais surement, on te dit faut un 3ème personnage (féminin évidemment) pour faire le pilote sauf que tu te rends compte qu'il sert à rien le personnage pour la mission (belle écriture). Quand tu fais ce genre de film qui a été vu et revu faut apporter une plus-value, au moins sur les casses en essayant des trucs (et pas parler de Mylène Farmer) mais ici c'est un gros échec, on attend le casse pendant tout le film et quand il arrive il est tout nul (le pire ce qui passe le mieux dans le film c'est l'aspect comédie avec Adèle et son mec, ou Adèle qui vanne la nouvelle), comme la fin en mode j'ai la flemme alors on va au plus vite, bon en même temps ça évite d'avoir trop de Adjani qui est pitoyable.
C'est con car ça aurait pu être sympa, tout n'est pas à jeter (la comédie donc), Adèle déjà qui amène toute sa gouaille à son personnage et qui est un vrai ressort comique tout au long du film, tant dans l'attitude que dans les punchlines (quand elle se tape contre le black c'est vraiment fun) mais voilà ça fait pas un film, surtout quand c'est Laurent qui donne la réplique, j'arrive pas à passer son coté hautain et chaque fois qu'elle ouvre la bouche je veux juste lui dire ferme ta gueule.
Sur la réal clairement l'action c'est pas son truc, alors madame a tourné chez Bay et Tarantino mais elle a pas retenu grand chose, bon je suis méchant des fois y a un plan iconique (Adèle et son snipe dans le clocher notamment) mais pour l'action en mouvement, le montage, le choix des angles c'est clairement du taf basique de chez basique, la meuf a aucune idée pour rendre ça efficace, du coup c'est jamais efficace.
Un actionner français et féminin, quelqu'un pensait vraiment que ça pouvait être bien ?

[osorojo]

Tiens, juste pour toi, puisque la grande Mélanie Laurent est du dernier videoclub, qu'elle a une grande relation avec QT et que j'ai l'impression que tu veux du rab

[Mark Chopper]

Je préférerais voir Scorsese dans cette émission quitte à taper dans l'actu

[Mark Chopper]

Je préférerais voir Scorsese dans cette émission quitte à taper dans l'actu

[Scalp]

J'ai vu, enfin non j'ai vu passer mais jamais je clique dessus. Elle c'est vraiment physique, je peux pas me l'encadrer.

[osorojo]

Je préférerais voir Scorsese dans cette émission quitte à taper dans l'actu

Le petit Scorsese ne fait pas le poids face à la grande Mélanie Laurent

[Val]

Jamais compris pourquoi tout le monde détestait Mélanie Laurent.

Son Galveston était très réussi.

[osorojo]

Je l'avais trouvé très moyen perso, pour rester gentil ^^

[Scalp]

Je sais juste que j'ai mis 3. Aucun souvenir de ce truc.