[Pabelbaba] Mes critiques en 2023

[osorojo]

Hey toi le salopard qui a piqué le compte de papybaba, on t'a à l'oeil

[pabelbaba]

Le hockey a repris... Ca va être compliqué de regarder des films qui m'intéressent.

[pabelbaba]

J'ai retenté Hot Shots 2, vu mon état actuel, je me suis endormi comme une merde. Mais de ce que j'ai vu, j'ai été agréablement surpris de me marrer encore à pas mal de gags idiots. Et puis mon cerveau ne rajeunissant pas, j'avais complètement oublié qu'ils étaient allé chercher le Colonel Trautman.

[Mark Chopper]

Ah ouais, Alzheimer power.

[pabelbaba]

Sérieusement, je commence à m'inquiéter. Hier j'ai envoyé une blague à ma femme sur Linda veut du Poulet et elle m'indique me l'avoir déjà faite.

Aucun souvenir.

[Mark Chopper]

[pabelbaba]

Je ne prends même pas de drogues...

[pabelbaba]

Hot Spot aka Hollywood Night : The Movie de Dennis Hopper - 1990

Celui-là, il ne m'en restait que quelques bribes de souvenirs. Comme d'hab quoi...

Ben au final je ne sais pas trop quoi en dire. On est face à un neo-noir sexy censé se dérouler dans la chaleur de l'Arizona? le Texas? le Nevada? avec Don Johnson qui déboule dans une petite ville sans un sous en poche. Je dois avouer que l'histoire est tellement classique que je me suis mis à imaginer des twists improbables à la Sexcrimes, ce qui rend d'emblée la fin un brin décevante. Du coup, côté déception, il y a pas mal de longueurs, Hopper prenant quand même méchamment son temps pour pas grand chose, d'autant que s'il arrive à créer un peu de langueur, il peine à insuffler cette fameuse chaleur à l'écran.

A vrai dire, le film est complètement porté par son trio d'acteurs. Don Johnson, à l'époque c'était plus ou moins Bruce Willis et il jouait la coolitude du mec badass sans forcer, tandis que Jennifer Connelly pas si ingénue qui montre ses boobs plus Virgina Madsen qui a l'hormonomètre dans la zone rouge, ça a de quoi tenir éveillé.

Mais au final, c'est bien tout ce que je retiens, même si c'est déjà pas mal.

6/10

[Mark Chopper]

Ce n'est pas une rom com, ni un dogsploitation movie...

On progresse

[Scalp]

Sa femme l'a même autorisé à regarder un film avec des meufs à poil.

[pabelbaba]

[osorojo]

La chaleur s'appelle Jennifer

[Alegas]

Everything Everywhere all at Once de Daniel Kwan et Daniel Scheinert - 2022

Ben c'était bien cool.

J'arrive après la bataille et je me retrouve à 100% dans ce que Yannick Dahan a dit sur le film, donc je ne vais peut être pas trop développer. En premier lieu, chapeau de ne pas m'avoir perdu malgré le concept de multivers dont les règles sont méga bordéliques et balancées dans l'action au spectateur en même temps qu'à l'actrice principale. En plus ça se paye le luxe d'être fun et de rappeller Matrix On passe sans souci d'un monde à l'autre grâce aux rafales d'idées visuelles qui fusent.

Le second bon point, c'est que la petite histoire dans la grande n'est pas originale pour un sou, mais les acteurs la rendent intéressante et humaine. Michelle Yeoh prouve encore qu'elle sait faire bien plus que lever la jambe. Ses relations avec le reste de la famille sont simples, mais claires et bien amenées. Du coup on peut avoir un bordel monstre tout autour, on reste à hauteur d'homme et ça permet de s'attacher aux persos.

Après, dans ce flot d'idées et de propositions, il y a quand même un sentiment de trop plein. Mettre des fights c'est fun, mais il y en a trop. D'autant que parfois plusieurs s'enchaînent alors qu'un seul aurait suffit et que la qualité globale n'est pas dingue, même si c'est très correct pour du ciné US. Pareil pour les mondes vraiment autres, où la sauce est un peu trop délayée, il y avait moyen de ramasser les scènes, d'autant qu'une fois la surprise passée, le monde n'offre plus grand chose.

Malgré tout, j'ai été emporté par ce bordel un brin ordonné et qui retombe sur ses pattes à la fin.

7,5/10

[Mark Chopper]

Michelle Yeoh prouve encore qu'elle sait faire bien plus que lever la jambe.

[lvri]