[Alegas] Mes Critiques en 2023

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2023

Messagepar pabelbaba » Mer 11 Oct 2023, 16:40

un des meilleurs films de kung fu de l’histoire

Qui? Où? Quand? :shock:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2023

Messagepar Alegas » Mer 11 Oct 2023, 16:49

Un exemple parmi tant d'autres.

While it goes without saying that the movie's martial arts fight scenes are incredible, they were also one-of-a-kind in Hollywood movies at the time of the film's release, with virtually no Western action movies of the time showcasing martial arts on such a grand scale, or with such a harmony of power, speed, and precision.


:lol:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2023

Messagepar pabelbaba » Mer 11 Oct 2023, 16:57

A part les fans de Bruce Lee qui ne jurent que par lui, je ne pige pas. Du coup c'est impossible de sortir un top 10 d'ailleurs. :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2023

Messagepar Scalp » Mer 11 Oct 2023, 18:20

C'est vraiment son meilleur film, c'est dire le niveau du reste.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2023

Messagepar Jed_Trigado » Mer 11 Oct 2023, 18:47

Nan, c'est La Fureur de Vaincre.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2023

Messagepar pabelbaba » Mer 11 Oct 2023, 19:05

+1
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2023

Messagepar lvri » Mer 11 Oct 2023, 19:49

Opération Dragon, c'est franchement moyen oui, clairement.
Maintenant, je pense que le côté culte vient surtout du côté "premier film de kung fu international avec Bruce Lee". C'était censé être sa première reconnaissance internationale et un début à une carrière plus américaine. Sa mort a accentué l'effet culte du film.
J'aime bien le revoir de temps à autre (comme tous les Bruce Lee), même si, c'est vrai, c'est pas génial...
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Killer (The) (2023) - 8,5/10

Messagepar Alegas » Dim 15 Oct 2023, 18:10

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The Killer de David Fincher
(2023)


A chaque nouveau Fincher, je redoute l’arrêt de sa superbe succession d’excellents films, pour me retrouver devant un film mineur (chose qu’il n’a plus faite à mon sens depuis un quart de siècle), mais encore une fois ce réal arrive à me mettre sur le cul en bouleversant toutes mes attentes. Fincher, comme pour Mank, profite à nouveau de Netflix pour faire aboutir un projet de longue date : il avait en effet découvert la BD Le Tueur sur la fin des années 2000, a acheté les droits quelques années plus tard, mais n’avait jamais eu l’occasion de porter son adaptation à l’écran. C’est désormais chose faite, et quand bien même je ne connais pas le matériau d’origine pour comparaison, le constat est là : ça tabasse sévère. Alors clairement, c’est un Fincher qui risque de diviser, pour la simple et bonne raison qu’une partie du public risque de s’arrêter à la promesse initiale du script. Pour le coup, Fincher fait le choix d’un pitch de base tout ce qu’il y a de plus éculé, avec ce tueur qui va devoir se retourner contre ses employeurs suite à un contrat raté, mais il prouve aussi au passage, pour ceux qui l’auraient oublié, que le plus important n’est pas le cliché dont l’on part, mais ce qu’on en fait par la suite.

Sur ce point, la proposition est assez fascinante, à la limite de l'exercice de style épuré : rentrer dans le cerveau d’un tueur froid, méthodique, à la vision du monde arrêtée et binaire pour être efficace dans son travail, et le suivre au sein d’un voyage où quasiment tout donne l’impression qu’il est en plein contrôle, alors que les bases fondamentales sur lesquelles son mode de pensée se repose vont être mises à mal. Passé un prologue impressionnant de maîtrise qui, en 15-20 minutes, pose toutes les bases du personnage lors de l’attente d’une cible, on va donc suivre une quête vengeresse, mais jamais traitée à la manière d’un film d’action. Pour le coup, toute la mise en scène de Fincher et le rythme du métrage épouse le personnage principal, et on a donc un film qui assume pleinement une certaine lenteur, avec arrivée sur les lieux, analyse des mouvements de la cible, détection d’un point faible pour entrer dans son quotidien, puis exécution.

Bref, ce n’est pas un film à lancer en espérant voir un truc qui bouge : quand il y a de l’action, c’est généralement très rapide et inattendu (ce qui rend les exécutions encore plus glaçantes), à l’exception d’une séquence en milieu de film qui est, pour le coup, vraiment impressionnante et très violente (le genre de fight où l’on sent que le moindre coup de poing est un danger à éviter à tout prix). Le découpage en chapitres est plutôt bien vu pour le coup : d’une part il n’est pas trop intrusif, mais surtout il permet de marquer chaque étape qui, au final, va correspondre à une sorte de remise en question de cet anti-héros, que ce soit à travers l’empathie qui pointe le bout de son nez sur une cible collatérale, la dialogue avec Tilda Swinton et son histoire du grizzly, ou encore la finalité de la dernière victime suivie de l’épilogue et son monologue.

Le film a beau être froid, il ne manque pas de pointes d’humour noir en accord avec le personnage principal, mais qui arrivent à des moments vraiment inattendus, je pense particulièrement à un simili gag incluant une râpe à fromage qui a beaucoup fait rire la salle. Formellement, c’est du Fincher donc forcément impressionnant de maîtrise : chaque plan semble avoir été pensé de façon millimétrée, le montage très cut est d’une précision redoutable, et il y a un très très gros travail sur le montage sonore qui m’a vraiment impressionné, d’autant que le film multiplie les sources sonores en même temps, avec bruitages diégétiques, musique de Reznor/Ross souvent en mode sound design, la musique qu'écoute parfois le personnage via ses écouteurs, et voix-off. Un mot d’ailleurs sur cette dernière : ça faisait longtemps qu’une voix-off commentant ce qui se passe à l’écran ne m’avait pas parue aussi pertinente, et j’aime beaucoup son utilisation ludique avec, par exemple, la voix qui s’arrête soudainement lorsqu’il arrive quelque chose auquel le tueur ne s’attendait pas.

Enfin, big up à Fassbender qu’on n’avait pas vu sur les écrans depuis quatre ans et qui rappelle quel putain d’acteur il peut être. J’ose espérer que sa carrière saura trouver un nouvel élan à partir de là. Pour le reste de la distribution, le film se veut très économe : très peu de personnages importants, et des têtes déjà vues ailleurs mais dont on ne connaît pas forcément le nom, à l’exception de Tilda Swinton qui, pour le coup, se justifie par le fait qu’elle est probablement la cible qui fait le plus bouger la perception du tueur. Très curieux en tout cas de voir la réception du film par le grand public, que je redoute trop tiède alors que c’est, à mon sens, une nouvelle pièce qui impose Fincher comme l’un des plus grands cinéastes en activité.


8,5/10
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Malédiction de la Panthère Rose (La) - 5/10

Messagepar Alegas » Mar 31 Oct 2023, 15:32

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Revenge of the Pink Panther (La malédiction de la Panthère Rose) de Blake Edwards
(1978)


Cinquième film de la saga réalisé par Edwards, et autant l’opus précédent laissait espérer un renouveau dans la franchise, autant à la vision de celui-ci on est clairement devant le film de trop. Globalement, le film souffre du syndrome de l’exercice répété ad nauseam, et où on sent que l’équipe commence sérieusement à fatiguer. La mise en scène d’Edwards est bien plus mollassonne que d’habitude, Sellers enchaîne les gags mais avec la difficulté de son âge (il a dépassé la cinquantaine au moment du tournage), Mancini livre un score sans surprise (et avec même des thèmes qui disparaissent par rapport au précédent), et le script est une redite de ce qui a précédé, entre le coup des tueurs à gages qui doivent assassiner Clouseau, et Dreyfus qu’on ressuscite sans explications. Si on sait en plus que Edwards, à la base, souhaitait plutôt faire un film inédit en utilisant uniquement des rushes non utilisés du précédent métrage, ça pose quand même le niveau de l’envie de faire ce nouvel épisode, qui est probablement devenu pour l’équipe surtout une manière facile de faire une rentrée d’argent confortable.

Du coup, il y a vraiment cette sensation de voir le film de trop, ce qui est d’autant plus dommage que ce sera le dernier épisode avec Sellers, qui décèdera deux ans plus tard. Sans être complètement déplaisant, c’est un film parfois pénible à regarder dans le sens où c’est davantage une succession de scénettes rigolotes avec un fragile fil rouge pour les relier, plutôt qu’un véritable script solide d’où découle des scènes comiques. Le problème étant que même la partie comédie donne l’impression d’être recyclée, et c’est là qu’on sent aussi l’usure de la formule et des codes de la franchise : à titre d’exemple toute la scène avec Cato donne une sérieuse impression de déjà-vu en moins bien. Bref, c’est un peu la désillusion, et ça ne donne que très peu d’espoir pour les films suivants, sans Sellers donc.


5/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2023

Messagepar Alegas » Ven 03 Nov 2023, 16:33

BILAN OCTOBRE 2023


Films vus :

350 : Pupille, Jeanne Herry, 2018, TV VF : 7/10
351 : Batman : Year One, Lauren Montgomery & Sam Liu, 2011, Blu-Ray VOST : 6,5/10
352 : Chien de la casse, Jean-Baptiste Durand, 2023, Truc VF : 7/10
353 : Acide, Just Philippot, 2023, Ciné VF : 4,5/10
354 : No one will save you, Brian Duffield, 2023, TV VOST : 7/10
355 : The Creator, Gareth Edwards, 2023, Ciné VOST : 6,5/10
356 : Papicha, Mounia Meddour, 2019, TV VOST : 6,5/10
357 : Bonne conduite, Jonathan Barré, 2023, Truc VF : 6/10
358 : The last sunset, Robert Aldrich, 1961, TV VOST : 5/10
359 : Le règne animal, Thomas Cailley, 2023, Ciné VF : 7,5/10
360 : Enter the dragon, Robert Clouse, 1973, TV VOST : 4/10
361 : Truth, James Vanderbilt, 2015, DVD VOST : 6,5/10
362 : La niña de tus ojos, Fernando Trueba, 1998, TV VOST : 6/10
363 : Un amour impossible, Catherine Corsini, 2018, TV VF : 7/10
364 : Revenge of the Pink Panther, Blake Edwards, 1978, DVD VOST : 5/10
365 : Amantes, Vicente Aranda, 1991, TV VOST : 5,5/10
366 : Blind date, Blake Edwards, 1987, TV VOST : 5/10
367 : L'homme de Rio, Philippe de Broca, 1964, Ciné VF : 5/10
368 : The Killer, David Fincher, 2023, Ciné VOST : 8,5/10
369 : Rakka, Neill Blomkamp, 2017, TV VOST : 6/10
370 : Nimona, Troy Quane & Nick Bruno, 2023, TV VOST : 7/10
371 : Estate violenta, Valerio Zurlini, 1959, TV VOST : 6/10
372 : Robin and Marian, Richard Lester, 1976, Ciné VOST : 3,5/10
373 : Once upon a Studio, Dan Abraham & Trent Correy, 2023, TV VOST : 6/10
374 : Killers of the flower moon, Martin Scorsese, 2023, Ciné VOST : 8/10
375 : La sociedad de la nieve, Juan Antonio Bayona, 2023, Ciné VOST : 7,5/10
376 : Hellraiser III : Hell on Earth, Anthony Hickox, 1992, Blu-Ray VOST : 3/10
377 : Incendies, Denis Villeneuve, 2010, Blu-Ray VOST : 8,5/10
378 : La fée aux choux, Alice Guy-Blaché, 1900, TV VF : 5/10
379 : A touch of sin, Jia Zhangke, 2013, TV VOST : 5,5/10
380 : The Willoughbys, Kris Pearn, 2020, TV VOST : 6,5/10
381 : The Three Musketeers, Stephen Herek, 1993, TV VOST : 6/10
382 : La luna, Enrico Casarosa, 2011, TV VO : 6/10
383 : Father and daughter, Michael Dudok De Wit, 2000, Blu-Ray VO : 8/10
384 : The General, Buster Keaton & Clyde Bruckman, 1926, Blu-Ray VO : 8,5/10
385 : Safety Last !, Fred C. Newmeyer & Sam Taylor, 1923, DVD VO : 8/10
386 : Bilby, Liron Topaz, Pierre Perifel & JP Sans, 2018, Truc VO : 7/10
387 : La tortue rouge, Michael Dudok De Wit, 2016, Blu-Ray VO : 8/10
388 : La vie de château, Jean-Paul Rappeneau, 1966, TV VF : 6/10
389 : Bone Tomahawk, S. Craig Zahler, 2015, Blu-Ray VOST : 7,5/10
390 : Breaking the waves, Lars von trier, 1996, TV VOST : 5/10
391 : Dr. Jack, Fred C. Newmeyer & Sam Taylor, 1922, DVD VO : 6/10
392 : Chaplin, Richard Attenborough, 1992, TV VOST : 6/10
393 : Hope and glory, John Boorman, 1987, TV VOST : 7/10
394 : Moby Dick, John Huston, 1956, TV VOST : 5/10
395 : Une année difficile, Éric Toledano & Olivier Nakache, 2023, Ciné VF : 5,5/10


Découverte du mois :

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Autres découvertes marquantes :

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Boire et déboires - 5/10

Messagepar Alegas » Dim 26 Nov 2023, 14:53

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Blind date (Boire et déboires) de Blake Edwards
(1987)


J’ai régulièrement lu que la carrière de Blake Edwards, passé le début des années 80, regroupe la majeure partie de ses moins bons films, et c’est malheureusement quelque chose qui aurait tendance à se confirmer avec la vision de ce film. Ce Blind Date n’est ni nul, ni bon, c’est juste un film très inégal qui a souvent du mal à provoquer le rire, ce qui est quand même pas mal embêtant pour une comédie. Parlons des bons points du métrage : le concept est fun (un mec se sert d’une femme pour l’accompagner sur des regroupements mondains, mais alors qu’il tombe amoureux, il se rend compte qu’elle devient complètement hors de contrôle dès qu’elle boit un verre d’alcool), Bruce Willis confirme son aisance dans la comédie, la première demi-heure fonctionne bien, et… c’est tout :? . J’ai lu que le scénariste avait été tellement déçu du résultat à l’écran qu’il avait complètement désavoué le film, et ça ne me surprend qu’à moitié tant on a vraiment l’impression de voir un film qui avait une bonne base, mais qui se perd peu à peu, la faute probablement à une production qui n’a pas toujours roulée comme il le faudrait (le film était conçu, à la base, pour le couple Sean Penn/Madonna, et a été complètement revu par Edwards lorsqu’il a fallu caster d’autres personnes à la place).

Malheureusement, ça a vraiment la tronche d’un film de fin de carrière : la forme habituellement élégante et classieuse d’Edwards est ici complètement absente, c’est tourné comme un téléfilm du dimanche soir, et même la BO de Mancini est anecdotique, c’est dire à quel point on est loin des réussites de ce duo. Comme dit plus haut, c’est le début du film qui fonctionne le plus, d’une part avec la présentation sur plusieurs séquences de la vie de looser du personnage de Willis, d’autre part avec la découverte progressive du problème que représente Kim Basinger. Dommage qu’une fois la soirée terminée, le film plonge peu à peu dans un certain désintérêt, qui doit probablement au fait qu’on se fout un peu si le couple va réellement se former ou non : autant Bruce Willis est réellement attachant, autant j’ai beaucoup de mal à l’être avec celui de Basinger, qui est plus souvent horripilante que touchante (ce qui est surtout un problème d’écriture, plus que de casting). Tout ça donne un film qui se laisse suivre d’un œil, mais qui n’arrive jamais à tenir ses promesses initiales. Une déception donc.


5/10
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Film: Boire et déboires
Note: 5/10
Auteur: pabelbaba

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2023

Messagepar pabelbaba » Dim 26 Nov 2023, 16:08

Madonna aurait clairement fait mieux que Basinger.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2023

Messagepar Alegas » Dim 26 Nov 2023, 16:10

Je ne sais pas si elle aurait été meilleure, mais sans doute qu'elle aurait mieux géré l'aspect comique du rôle.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2023

Messagepar pabelbaba » Dim 26 Nov 2023, 16:13

...et dans une comédie, c'est important. :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2023

Messagepar Alegas » Dim 26 Nov 2023, 16:14

Certes :mrgreen: , mais pas certain que le perso serait devenu attachant/consistant pour autant, ce qui est à mon sens le gros problème de ce personnage qui est juste utilisé comme un ressort comique et romantique.
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