Ah si, de ce que je vois c'est un vrai phénomène cette série. Je connais plein de gens qui regardent, et y a une scène de l'épisode 4 (la danse) qui est en train de devenir virale, plein de gens se filment en reproduisant la chorégraphie.
Après, j'ai aussi un doute sur les chiffres annoncés. On ne peut jamais vérifier ce qu'ils annoncent, c'est bien pratique, et j'ai du mal à croire que tous les ans il y ait une série qui batte leur record d'audience ever. Je doute que Mercredi fasse mieux que Stranger Things saison 4.
Val a écrit:Vu les 3 premiers épisodes, ça n'a juste rien à voir avec la Famille Addams, non ? Et c'est un peu chiant aussi.
Rien à voir ouais. Je pige pas le projet. Pourquoi reprendre ce perso pour l'extraire de son contexte et en faire un simili Harry Potter ? C'est une très mauvaise idée, la série veut nous faire croire que Mercredi est une freak asociale, alors que :
- elle évolue dans une école de freaks rejetés par la société
- plein de monde veut être pote avec elle et elle a même 2 mecs à ses pieds
Bref, on nous vend un personnage complètement outcast, alors qu'elle est complètement dans son élément durant toute la série. Quel intérêt ? Ca force pour nous faire croire que même dans cette école c'est une marginale, mais ça fonctionne jamais. Elle envoie chier tout le monde, mais tout le monde veut quand même être sa pote. Globalement, tout cet aspect "école de magie" de fonctionne pas. Tout est fake, la série ne parvient jamais à présenter un truc cohérent. Ca se contente juste de cocher les cases du cahier des charges du truc un peu gothique, mais tout reste en surface, c'est de la carte postale et dès qu'on creuse un peu, on voit les trous béants.
La partie whodunnit reste potable, même si perso j'avais cramé le coupable dès l'épisode 2. Et puis encore une fois, on se demande bien pourquoi ils ont pris Mercredi Adams pour nous raconter ce genre d'histoire. Tout est bancal dans ce projet fait de bric et de broc. Au terme de ces 8 épisodes, j'ai juste eu l'impression de regarder une formule conçue par des marketeux, jamais une œuvre avec un propos et de la consistance.