*2022* Classement annuel des BKRiens

[lvri]

Avatar : La voie de l'eau : 8/10

Enfin ! Ça rassure !

[Alegas]

A confirmer avec une seconde vision mais ouais malgré le fait que le film ait des défauts, c'est le positif qui l'emporte.

[Mark Chopper]

Avatar : La voie de l'eau : 8/10

Enfin ! Ça rassure !

La même note qu'à Youpitaire... Toujours rassuré ?

[osorojo]

Ainsi qu'au premier ^^

[lvri]

Avatar : La voie de l'eau : 8/10

Enfin ! Ça rassure !

La même note qu'à Youpitaire... Toujours rassuré ?

Oh merde....
Non mais c'est pas pareil...

Ainsi qu'au premier ^^

Largement mérité pour le premier

[Alegas]

Pour la précision, je mets plus au premier.

[ril]

L'année du Requin : 2/10
Même les prod Asylum utilisent un requin plus crédible, on peut saluer l'effort de proposer un film différent mais l'amateurisme des acteurs plombent le film, putain le mec qui fait Sébastien est catastrophique.

[Alegas]

Décidément, il y a vraiment deux camps sur celui-là.

[ril]

J'ai mis 1.5 points de plus que pour Teddy, dans 2 ou 3 films je leur colle la moyenne

[Alegas]

C'est beau quand tu vois la vie positivement.

[caducia]

The roundup 7/10

[francesco34]

Le parfum vert: 6.5/10

[francesco34]

Le téléphone de M.Harrigan (netflix): 6.5/10

[caducia]

as bestas 7/10

[Alegas]

C'est assez noir pour vous ?!? : 5,5/10

Un documentaire sorti le mois dernier sur Netflix, produit par Fincher et Soderbergh, et qui revient sur la représentation des noirs dans le cinéma américain, des origines jusqu'à la fin des années 70.
Le film souffre globalement d'un gros problème de point de vue : ça se sent que c'est réalisé/écrit/raconté pour un homme qui a pris en grippe tout un pan de cinéma parce qu'il ne trouvait pas sa représentation, et du coup ça donne un documentaire où on fout des tacles à Hitchcock, Wyler, Fleming et Tarantino, pendant qu'on encense le moindre petit film réalisé par un noir dans des conditions difficiles. Le film aurait gagné à tendre vers l'objectivité plutôt que d'être sans cesse dans le jugement dit du bout des lèvres.
Si la première heure est intéressante, la seconde qui se concentre sur la blaxploitation a tendance à virer dans le name-dropping, et vu que c'est raconté avec une voix très monotone, ça donne l'impression d'assister à un cours d'histoire dont le prof a du mal à captiver son audience sur la durée.
Reste que le film est intéressant si on ne connaît pas grand chose du sujet, et ça permet de rajouter quelques films sur sa watchlist.