Dernier domicile connu, de José Giovanni (1970) :
Giovanni/Ventura/Constantin, ça sentait le polar 70's pépère et pas original pour un sou. Et bien pas du tout!
Ainsi démarre la critique du film signée Pabel. Je suis d'accord avec la première partie
On aurait pu avoir un polar à la papa pas renversant, mais au moins sympatoche... Manque de bol, Lino se retrouve avec une jeune coéquipière débutante et naïve jouée par Marlène Jobert. La pauvre, actrice, ce n'était vraiment pas son métier... Il lui a fallu du temps pour le comprendre et se recycler en conteuse pour enfants, mais le mal était fait... Rien ne semble naturel chez elle, ni sa façon de parler, ni sa façon de marcher. Bon elle est mignonne, mais cette cruche tire constamment le film vers le bas. En fait, ce film aurait dû s'appeler
Lino et Bécassine.
L'enquête mollassonne est également tirée vers le bas par une B.O. répétitive qui ne colle jamais aux images, sans parler des seconds rôles à la ramasse. Michel Constantin est le meilleur d'entre eux, c'est dire
Bref, dès que Pabel voit une jolie actrice française dans un film des 70's, il perd tout sens critique.
En résumé : du polar qui bande mou.