« Il y a un terme à toutes choses : la mesure la plus spacieuse déborde à la fin ; et cette brève concession à mes instincts pervers détruisit finalement l'équilibre de mon âme. »
Une très belle oeuvre sur l'acceptation de soi. Jekyll est allé chercher en lui les réponses à ses questions existentielles, tenté de mieux se comprendre et a trouvé des vices qu'il n'a pas accepté. Il a donc tenté, en bon docteur, avec une pensée strictement objective, de séparer le bon du mauvais comme deux produits chimiques. Par son expérience, il a crée trois différents moi : le moi originel, le moi inférieur (Hyde) et le moi supérieur (sa conscience). Ce qu'il n'avait pas anticipé étant la perfection du mal cachée dans son moi inférieur. Et par sa nature d'entité parfaite mais démoniaque, Hyde a pris logiquement le dessus sur Jekyll en se nourrissant de ses peurs, de ses doutes et de ses vices. En somme en n'acceptant par sa part de mauvais en lui, en cherchant en lui une perfection utopique impropre à la nature humaine (imparfaite et contradictoire) Jekyll s'est mené lui-même à sa perte.
Une très belle oeuvre sur l'acceptation de soi. Jekyll est allé chercher en lui les réponses à ses questions existentielles, tenté de mieux se comprendre et a trouvé des vices qu'il n'a pas accepté. Il a donc tenté, en bon docteur, avec une pensée strictement objective, de séparer le bon du mauvais comme deux produits chimiques. Par son expérience, il a crée trois différents moi : le moi originel, le moi inférieur (Hyde) et le moi supérieur (sa conscience). Ce qu'il n'avait pas anticipé étant la perfection du mal cachée dans son moi inférieur. Et par sa nature d'entité parfaite mais démoniaque, Hyde a pris logiquement le dessus sur Jekyll en se nourrissant de ses peurs, de ses doutes et de ses vices. En somme en n'acceptant par sa part de mauvais en lui, en cherchant en lui une perfection utopique impropre à la nature humaine (imparfaite et contradictoire) Jekyll s'est mené lui-même à sa perte.