Suite du jeu en 2011 et très réputé dans le monde des hardcoregamers, Darks Souls 2 comme une suite directe au premier volet, mais ne prend pas place dans le même monde. Le nom du nouveau terrain de jeu est tenu secret car il tient une place importante dans le scénario. Il s'agira d'un monde ouvert de taille similaire au premier opus, mais considéré comme plus dense. Les développeurs réfléchissent à l'utilisation de moyens de transport pour se déplacer d'un point à un autre (bateau, char, etc.). Voulu comme plus accessible et moins obscure, l'histoire de Dark Souls 2 renfermera toutefois bien des secrets que seule une exploration minutieuse du monde permettra de percer.
Durant la présentation, un monstre difforme, résultant d'expériences menées par un scientifique fou, a été montré. Une autre créature, semblable aux Nazghuls du Seigneur des anneaux, était également présente. Techniquement, Edge place les graphismes au même niveau que ceux de Watch Dogs et Star Wars 1313. En gros, une belle claque graphique en perspective mais une claque qu'il faudra attendre puisqu'il se pourrait bien que Dark Souls 2 manque finalement le coche de 2013. jeuvideo.com
Le premier jeu est réputé comme étant très (trèèèèèès) difficile, à l'instar du jeu Demons Soul : au programme le test de Dark Souls premier nom annonce des crises de nerfs lors des fights contre les boss invincibles et un gameplay très "hard" mais le jeu est noté 18/20 car justerment, ce qui fait la force de ces jeux sont la difficulté qu'il propose. An e pas mettre entre toute les mains.
Pour ma part, je suis très intéressé mais je me connais je vais péter un câble.
Extraits du test :
Plus d'un pad Playstation 3 se souvient encore aujourd'hui de la rage douloureuse avec laquelle son propriétaire le jeta furieusement contre un mur ou à travers une fenêtre en jouant à Demon's Souls. Il faut dire qu'il y avait clairement de quoi massacrer la pauvre manette (voire sa table basse ou son chat) lorsque, après la trente-huitième tentative, on continuait encore à se faire trucider par un boss refusant obstinément de trépasser sous nos coups de boutoir. Et encore, mourir face à un boss était presque une récompense quand on sait que le moindre mob, le moindre piège, étaient susceptibles de nous renvoyer à notre dernier point de sauvegarde en moins de temps qu'il ne fallait pour s'en apercevoir.
-
De nombreux combats mais aussi pas mal d'énigmes l'attendent durant cette aventure ponctuée de morts en tous genres. Plusieurs essais, beaucoup d'essais, voire des dizaines d'essais (!), sont régulièrement nécessaires pour progresser ne serait-ce que de quelques centaines de mètres dans des environnements en 3D où le moindre faux pas est synonyme de "game over".
-
Ce n'est que lorsqu'on tombe nez à nez avec un gigantesque démon au bout d'à peine cinq minutes de jeu que l'on se rappelle l'abominable vérité : on n'est pas là pour rigoler... mais alors pas du tout !
-
En fait, ce n'est qu'une fois ce colosse abattu que l'on commencera véritablement à toucher du doigt le concept de Dark Souls, à savoir souffrir, souffrir, et souffrir encore en échouant inlassablement pour ressentir tout à coup la jouissance foudroyante d'un succès inespéré. Car tout est là. Dark Souls n'est pas un jeu de rôle comme les autres et encore moins un beat'em all. C'est une véritable expérience de try and die où chaque mort nous rapproche lentement, très lentement, de la victoire sur nos adversaires et surtout sur nous-mêmes. Aussi convient-il de souligner, si besoin était, que Dark Souls se destine à une catégorie de joueurs très particulière aimant les défis à l'ancienne et un gameplay hardcore ne tolérant pas la plus petite faiblesse.