La quasi-totalité de Braindead.
Pour le coup, c'est bien simple, une fois les 15 premières minutes passées le film de Jackson est un festival de gore potache aux idées aussi inventives les unes que les autres. Jamais voir du sang, de la cervelle et des boyaux n'a été aussi rigolo (c'est clairement une de mes comédies préférées ever, à noter que la VF, comme celle des Feebles, est très réussie).
L'acte final de Salo ou les 120 journées de Sodome.
Après les orgies, le pipi sur le corps et le goûter de caca à la cuillère d'argent, le film de Pasolini conclut son histoire avec des bourgeois qui se matent à la jumelle des jeunes en train de se faire scalper ou de se faire retirer les yeux avec un couteau. Les effets ont un peu vieillis mais vu ce qui a précédé le résultat est toujours garanti.
Les morts du Jour des morts-vivants.
A la base c'est pas spécialement chez Romero que j'irais chercher du gore particulièrement marquant, mais personnellement j'ai toujours trouvé cet opus zombiesque (le meilleur de son réal à mon sens) particulièrement marquant au niveau de ses mises à mort très graphiques.