[Olrik] Mes 8/10 minimum de 2024

Vos critiques de longs-métrages

Modérateurs: Dunandan, Alegas, Modérateurs du forum

Buddha - 7,5/10

Messagepar Olrik » Lun 22 Avr 2024, 08:20

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Shaka (aka Buddha)
Kenji Misumi - 1961


Au début des années 60, on ne se refuse rien à la Daiei (c’est après que ça va se gâter). Dans la lignée des grandes fresques hollywoodiennes, on décide de produire un film sur la vie de Bouddha, et en 70 mm encore ! une première au Japon. On confie le projet à l’un des maîtres artisans du studio, à savoir Kenji Misumi (qui enchaînera d’ailleurs avec le premier volet de Zatoichi), et l’on enrôle les meilleurs acteurs du studio (Reizo Ishikawa, Shintaro Katsu, Kôjirô Hongo…) ou des figures d’autres stuidios (j’ai pu reconnaître grimée en Indienne Haruko Sugimura, une des actrices fétiches d’Ozu).

Le résultat ? Très honorable.

Alors oui, on n’atteint pas les degrés de somptuosité d’un Cléopâtre, d’un Ben Hur ou d’un Spartacus. À y regarder de près, les bijoux portés font quand même un peu trop mastoc (la HD ne pardonne pas pour ce genre de chose). Et il est tout de même un peu étrange de voir des Hindous avec des visages de Japonais. Après, plutôt que le bling bling Bollywoodien, je préfère encore ça, d’autant que la mise en scène de Misumi ainsi que les décors sont plaisants.

Quant à l’histoire, je dirais que ceux qui ont lu le manga d’Osamu Tezuka (de 1983) sont en terrain connu. Il serait d’ailleurs intéressant de savoir si le film a été une des sources du Dieu des mangas pour créer l’un de ses chefs d’œuvre (très probable qu’il l’ait vu). Les principales étapes de sa vie sont restituées : sa naissance, son dégoût des armes, son mariage avec une princesse qui va se suicider, son départ pour une vie purement spirituelle, son enseignement, etc. Dotée d’une durée mesurée de 2H38, cette fresque enchaîne finalement assez bien les épisodes, et l’on n’a pas le temps de s’ennuyer devant ce Technicolor nippon en Super Technirama 70mm, avec notamment quelques scènes mémorables : la danse de la tentation pour essayer de faire chuter Bouddha, une exécution avec des éléphants, des infanticides, etc (Ah ! Pas mal de jolies princesses, aussi).

Une belle surprise finalement assez confidentielle, le nom de Kenji Misumi étant avant associé à Zatoichi, à la série des Baby Cart et à d’autres films de sabre (chouette opus aussi dans la trilogie des Maijin). Cela dit, il suffit de voir la programmation de la Cinémathèque concernant le grand cycle qui lui est consacré pour voir que sa filmo est encore largement à explorer.

7, 5 /10

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Helpless (1996) - 6/10

Messagepar Olrik » Sam 27 Avr 2024, 15:47

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Helpless
Shinji Aoyama – 1996


Yasuo, jeune gangster fraîchement sorti de prison, devient enragé quand il se met à soupçonner son boss d’essayer de le doubler. Après avoir buté certains de ses acolytes, il décide d’aller le voir pour lui régler son compte. Mais avant cela, il demande à un ami, Kenji (Tadabobu Asano) de s’occuper de sa sœur Yuri, mentalement dérangée.

Clairement pas le script de l’année et encore moins le film de l’année 1996. Premier vrai film de Shinji Aoyama (si l’on met de côté Kyôkasho ni nai !, obscur pinku sorti directement en vidéo), ce métrage de 1H18 a pour seul mérite d’annoncer Eureka, son chef-d’œuvre qui sortira en 2000. Le spectateur qui connaîtrait ce dernier film aura alors l’impression d’assister à son brouillon. On retrouve en effet une belle galerie de personnages éclopés par la vie qui vont connaître un road trip parsemé de cadavres. Comme pour Eureka, on a donc un road trip, une jeune fille dérangée, un protecteur sujet à des irruptions de colère, un jeune homme avec des pulsions meurtrières, enfin un autre jeune homme un peu fantaisiste qui vient troubler l’harmonie du couple formé par Kenji et Yuri.

A cela s’ajoute un goût pour le Japon des campagnes, des petites villes et des routes à flanc de montagne. Les étapes seront peu nombreuses, Kenji devant retrouver Yasuo dans un atroce petit restaurant tenu par un couple non moins atroce (dont la femme est cependant jouée par Hiroko Isayama, ancienne starlette du roman porno de Kumashiro, Sayuri Strip-teauseuse).

Il y a donc bien peu à se mettre sous la dent et malgré la durée modeste, il y aurait lieu de trouver interminable cette esquisse de road trip. Après, il y a cette photographie pas déplaisante,ce calme duquel jaillit des bribes de violence kitanesque qui font qu’Helpless constitue une entrée en matière dans le monde du cinéma pas inintéressante. À réserver cependant aux amateurs d’Aoyama ou d’Asano.


6/10

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Hantise - 8/10

Messagepar Olrik » Mer 01 Mai 2024, 16:44

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Hantise (Gaslight)
George Cukor – 1944

Paula Alquist (Ingrid Bergman) est une jeune femme dont la mère, une fameuse cantatrice, a été assassinée sans que l’on retrouve son meurtrier. Tombée amoureuse d’un pianiste qu’elle épouse, elle se laisse convaincre par ce dernier de retourner vivre à Londres, plus précisément dans la demeure qu’habitait sa mère. Cependant la nouvelle vie ne prend pas le chemin attendu, le mari n’ayant de cesse de lui faire remarquer ses distractions, ses égarements, sous-entendant que sa santé mentale est dégradée. Paula finit par le croire et commence à devenir particulièrement fébrile, allant jusqu’à faire une croix sur toute forme de vie sociale. C’est alors qu’un inspecteur de Scotland Yard, grand admirateur de sa mère, s’intéresse à sa situation ainsi qu’au comportement étrange de son mari…


Ça a la couleur, la saveur, le suspense d’un film d’Hitchcock, mais c’est bien un film de Cukor. Et vous savez quoi ? Ça vaut largement les films de l’Anglais de cette époque. En tout cas, aucune réserve pour ma part envers ce film noir se déroulant dans l’époque Edouardienne et sorti quelques mois avant La Maison du Docteur Edwardes, l’autre grand thriller psychologique de l’année 1944, avec lui aussi Ingrid Bergman dans l’un des deux rôles principaux. En revanche rien à voir concernant les rôles : dans La Maison, elle jouait une psychanalyste s’efforçant de guérir un patient tandis que dans Hantise, elle joue une victime qui se fait déglinguer mentalement par un manipulateur hors pair. Dans les deux cas, elle est excellente. Radieuse au début du film de Cukor, elle étoffe peu à peu sa palette d’autres sentiments témoignant de la grande fébrilité du personnage, avec en prime une pure scène de « scream queen ».

Quant à Charles Boyer, il excelle dans son rôle de salopard flegmatique et manipulateur, et l’on verra arriver avec soulagement Joseph Cotten dans le rôle du détective tant le personnage de Bergman semble incapable de se sortir par elle-même de la toile que son mari a su tisser à l’intérieur de son crâne.

L’intrigue est nouée dès la première demi-heure et la suite ne procure guère de temps faibles, alternant moment de doute, d’angoisse et même d’humour, avec le personnage de la vieille commère anglaise tout droit sortie d’un film d’Hitchcock (et pour cause : il s’agit de May Whitty, l’actrice d’Une Femme disparaît et de Soupçons).

Un film complet et très plaisant à suivre.
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Re: [Olrik] Mes 8/10 minimum de 2024

Messagepar Olrik » Mer 01 Mai 2024, 19:30

Sinon, vite vus :
Buena Vista Social Club : 4/10
Pas du tout accroché en dépit de la grosse réputation. Déjà, pas fan plus que cela de la musique (ça joue quand même un peu, en dépit de ceux qui disent que l'intérêt du docu est ailleurs). Ensuite, le bidule est filmé avec une image dégueulasse en camescope, ce qui perso ne m'a pas aidé à entrer dans le film. Apparemment, Wenders aurait dit que c'était voulu, que c'était pour donner la place qu'elle méritait à la musique, pour ne pas lui faire de l'ombre avec une image qui lui aurait volé la vedette. Mouais, vu le résultat, je suis dubitatif. :?

Faux Mouvement : 4/10
Au bout d'une demi-heure, j'ai craqué, j'ai avancé en vitesse rapide, ralentissant uniquement quand Nastassja apparaissait dans son rôle de lolita. Je n'ai rien contre les film poetico-expérimentaux mais là, ce n'est pas passé.

Clerks : 7,5/10
Toujours aussi fauché, drôle, et imparable dans l'enchaînement des scènes et des répliques. Par contre, l'ajout de la scène animée au milieu du film ("The Lost Scene") tombe comme un cheveu dans la soupe et a tendance à ralentir le rythme. En bonus sur un DVD, pourquoi pas ? Mais l'intégrer au film, c'était dispensable.

Clerks 2 : 6,5/10
Plaisant mais j'aime moins que le premier. Smith a eu le souci d'épaissir ses personnages arrivés à l'orée de la trentaine et il était logique de le faire, mais en comparaison du premier opus, la surprise et la spontanéité ont disparu. Et si le personnage est amusant, Randal est un chouïa envahissant. Je ne tenterai pas Clerks 3.
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Re: [Olrik] Mes 8/10 minimum de 2024

Messagepar Mark Chopper » Mer 01 Mai 2024, 20:50

Rien que pour le donkey show, je te trouve radin :mrgreen:
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Re: [Olrik] Mes 8/10 minimum de 2024

Messagepar Olrik » Mer 01 Mai 2024, 21:34

Peut-être un poil too much. Dans le premier Clerks il y avait la scène de nécrophilie involontaire, mais rien n'était montré. Là, j'ai eu le sentiment qu'on n'était pas loin d'un "jumping the shark".
Finalement, ceci m'a plus fait marrer :

Le dialogue comparant Jackson et Lucas était drôle aussi. En fait j'attendais un peu plus de délires sur la culture geek que possèdent les deux zozos.
Ah ! grosse plus value sinon concernant les personnages féminins.
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:love:
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Blue lagoon : A summer experience - 6/10

Messagepar Olrik » Ven 19 Juil 2024, 15:36

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ひと夏の体験 青い珊瑚礁 (Hitonatsu no taiken : aoi sangosho)
Aka Sexpérience estivale au lagon bleu (1981)


L’histoire : Chiaki (Mayumi Terashima) est une petite tokyoïte qui désire prendre ses distances avec son copain pour faire le point. Pour cela, rien de mieux que se rendre sur la petite île de Taketomi, dans la préfecture d’Okinawa. Là, elle fait la rencontre d’une autre tokyoïte (interprétée par Izumi Shima) qui, comme on peut le voir sur le screenshot, a su parfaitement s’intégrer aux autochtones...
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Pas de problème pour se faire tartiner de l’huile solaire en tenue d’Ève, et ce à la vue de tous !


… mais aussi d’Asami (Asako Kurayoshi) venue sur l’île pour mettre le grapin sur son ex, Noboru, qui projette de se marier avec Misako (Yuka Asagiri).
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Misako et Noboru. Une manière toute relative de profiter de la fraîcheur des nuits d’Okinawa.

On le devine, ces rapports vont créer pas mal de tensions, moins cependant que le bikini de Chiaki qui va s’avérer peu pratique à porter dans la chaleur estivale de l’île. Ça tombe bien, c’est un peu pour cela qu’on a lancé la pellicule : il s’agit avant tout de vérifier la qualité photographique de corps dénudés de bijins nikkatsesques sur un sable brûlant et sous un beau ciel bleu. Vu dans une version HD, je dois bien avouer que les scènes sont torrides, portées notamment par des couleurs chatoyantes.

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Ciel bleu, verdure, sable jaune clair immaculé, maillots et bikinis aux couleurs criardes, grande variété dans les styles de bronzage : ça va, le choc esthétique a lieu. Concernant cette scène, c’est un double choc venant de l’arrière qui va bientôt se produire.

Après, l’intérêt s’arrête là, les différents liens entre les personnages manquant d’intérêt. Vous me direz qu’on ne mate pas forcément un roman porno pour voir du Shakespeare érotique mais enfin, j’ai senti que ça manquait, surtout avec en lead une Mayumi Terashima tout de même un peu insignifiante. Heureusment, Izumi Shima rattrape le coup (tout en étant elle-même un bon coup) par sa présence, même si on aurait aimé que son personnage de Tokyoïte amatrice de mâles à la peau cramée soit plus présent.

Film donc anecdotique que ce Lagon Rose. Après, une petite anecdote en guise de conclusion : aller filmer ce film à Okinawa était à l’origine une punition pour Ikeda. Agacés par la brutalité de son Sex Hunter, des producteurs de la Nikkatsu l’ont obligé à se rendre sur l’île pour y filmer une histoire ayant intérêt à être romantique. Ikeda jette un œil sur le scénario : « Je me suis dit que c’était une histoire stupide. Mais j’avais besoin de vacances et j’ai saisi l’occasion pour me rendre à Okinawa aux frais de la comtesse. » Et ma foi, se payer quelques journées de plage, pardon de tournage, en compagnie d’Izumi Shima, d’Asako Kurayoshi, de Yuka Asagiri et de Mayumi Terashima, ça peut expliquer qu’Ikeda n’ait pas cru bon d’améliorer le script au fur et à mesure. 40°C, des bijins de feu avec et sans bikini, il y a de quoi sentir sa cervelle fondre.

6/10
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Orgasm : Mariko - 7/10

Messagepar Olrik » Ven 02 Aoû 2024, 09:04

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Orgasm Mariko
Fumihiko Kato – 1985


Difficile ici d’imaginer une histoire tragique avec ce titre qui suggère aussitôt une collection de scènes enfiévrées et humides. Et pourtant, jugez plutôt :

Un soir, alors que Mariko fait l’amour en plein air, juste à côté d’une route, avec son petit ami, ce dernier se prend en pleine tronche une bouteille balancée de sa fenêtre pour un routier passant par là. La conséquence est funeste : il meurt sur le champ. Mariko part alors sur les traces du conducteur afin de se venger. Petit souci : alors que lors de la fatidique nuit, le petit ami avait trempé son biscuit au moment des règles de Mariko, ces dernières semblent depuis très capricieuses, accentuant la folie meurtrière de la jeune femme, en particulier quand elle se met à copuler. Le routier, mais aussi d’autres hommes ayant pour point commun d’avoir un métier se passant derrière un volant, vont l’apprendre à leurs dépends…

On le voit, ça ne plaisante pas… même si, en y allant pas franchement avec le dos de la cuillère concernant la représentation graphique des règles de Mariko, on a un peu envie d’en sourire. Je veux bien qu’on me dise que les règles peuvent être chez certaines femmes aussi généreuses que les rasades de shochu glacé que je m’offre en cette période caniculaire, mais quand même, là, ça fuit de partout pire que les premiers jeux Game&Watch avec Mario !
De même, que penser de la scène d’orgie avec le routier involontairement criminel, à l’intérieur de son bahut rempli de cagettes de raisin ?
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Là, il faut raconter la scène : tout en besognant Mariko, le malotrus se saisit de grappes pour les presser sur le corps de la bijin et en déguster le jus de manière assez peu délicate. On ne distingue pas bien le jus de raisin puisque c’est le propre raisiné du conducteur que Mariko vient de faire gicler…
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Grâce à ce petit canif (photo juste pour vous le montrer).

En fait, on comprend très vite ce qui a motivé Fumihiko Kato : la plastique de Megumi Kinosato. Et on le comprend car le corps de la bijin dotée d’un agréable 83/60/88 est du meilleur effet éclaboussé par des giclures de jus de raisin (du reste, si ça peut aussi faire la promotion de cette boisson et éviter de consommer de l’alcool, c’est très bien aussi). Et quand on découvre plus tard qu’elle travaille comme femme de ménage dans un hotel, on est pas vraiment surpris de voir que sous sa combinaison de travail, eh bien elle ne s’embarasse pas de porter d’autres vêtements :
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De quoi susciter un vilain effet Nafissatou Diallo.

Après, peu importe, on mate un roman porno, pas un film de Jean Renoir. Donc qu’il y ait de l’excès, c’est attendu. D’autant que l’esprit de sérieux ne plombe pas le film, au contraire. Meg’ est assez convaincante dans son rôle de femme vengeresse et franchement cinglée, tandis que Kato parvient à distiller des plans soignés :
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Parfois joliment baroques :
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Argh ! L'amour des belles grappes m'a tuer !


Quant à la musique de Haruyasu Ito, elle tranche avec celle des habituelles productions de l’époque. Moins synthétique, plus symphonique, rappelant par exemple les B.O. des films de Nomura.

Bref, il résulte de tout cela un film forcément glauque, mais finalement avec un peu d’ambition formelle et assez recommandable. Pas non plus le haut du panier mais, à une époque ou les roman porno jettent leurs derniers feux avec des titres parfois médiocres, un titre intéressant.

7/10
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Re: [Olrik] Mes 8/10 minimum de 2024

Messagepar Mark Chopper » Ven 02 Aoû 2024, 10:12

Merci pour la photo du canif en gros plan. Sans elle, je n'aurais rien compris.
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Re: [Olrik] Mes 8/10 minimum de 2024

Messagepar Olrik » Ven 02 Aoû 2024, 13:04

Oui, j'ai eu le sentiment qu'elle était essentielle.
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Re: [Olrik] Mes 8/10 minimum de 2024

Messagepar Mark Chopper » Ven 02 Aoû 2024, 13:24

Ton talent de pédagogue n'est plus à prouver.
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