THE STRANGERS de Na Hong-jin

[osorojo]

On peut dire ce qu'on veut, ils savent mettre en valeur leurs films ces coréens, sont chouettes ces affiches. On devrait en prendre de la graine en France.

[Alegas]

Ça va tout tuer.
Du coup, j'apprends au passage que la Fox produit, donc on devrait avoir ça assez rapidement.

[Alegas]

[Jed_Trigado]

Je sais toujours pas trop quoi en penser de ces images, d'un côté j'aime l'aspect rural qui rappelle Memories of Murder, de l'autre je bloque sur la tronche du lead qui fait plus clown que flic. J'espère que Na nous fera pas une resucée du Bong Joon Ho, ce serait dommage vu son talent.

[Milkshake]

Oui là pour le coup un peu refroidi on dirait que ça va partir dans un course hyper violente à la I Saw the Devil.

Le rendu visuel a l'air beaucoup plus terne que ce que laissait présager les affiches.

[Alegas]

[Alegas]

Titre français : The Strangers.

[Jack Spret]

Non mais si c'est pour faire des posts avec si peu d'informations, c'est pas la peine Alegas

[Alegas]

[Alegas]

Et ça sort donc le 6 juillet chez nous (en espérant que la promo fera un peu mieux que The Murderer) :

[Mark Chopper]

Putain, ils nous refont le coup de la sortie estivale... Ce genre de film fonctionnerait mieux en octobre/novembre.

Sinon je découvre que Jun Kunimura joue dans le film, c'est cool, c'est toujours un plus.

[osorojo]

Comment les mecs, avec quelques typos et choix de couleur moisis, ruinent une belle affiche

[Jed_Trigado]

(en espérant que la promo fera un peu mieux que The Murderer)

Metropolitan est beaucoup plus respectueux dans le traitement des films asiatiques (l'effet HK Vidéo) que Wild Side, mais bon après, c'est une sortie salles qui va encore servir a rien puisqu'ils oseront jamais une combinaison de salles correcte. Il y en aura que pour les parisiens et quelques grandes villes.

[Alegas]

Une critique qui donne grave envie.

While many elements link the film to Na's past work, such as its pessimistic worldview, subversive use of genre codes and mounting momentum, The Wailing sees the filmmaker build on his past successes. He inures us into a uniquely dark atmosphere, gradually involving us in its seeping, pestilential sense of dread and foreboding before gradually cranking up the tension to unbearable levels throughout the film's 156 minutes, a running time you'll scarcely believe has elapsed when the lights come back on.

As much as it is a result of the intricate mise-en-scene and hypnotic performances, the film's effect is also a result of its unusually long editing process. Na spent over a year fine-tuning the film, and it shows. From the minute attention to color grading that results in the most beautiful and terrifying images of the Korean countryside ever put to film, to breathtaking parallel-edited sequences that should probably come with a warning to anyone with a heart condition, editing is a tool of paramount importance to Na, and in his hands, it is a fearsome beast.

Like The Yellow Sea, when the action really gets going it never lets up. Na completely undermines what we thought we knew about genre films again and again and for a good 40-minute stretch you may have to remind yourself to breathe. A dizzying and stunning accomplishment, The Wailing elevates genre to an art form.

[Dunandan]

Filmosphere a aussi beaucoup aimé.