Réalisation: david gordon green
Distribution: nicolas cage , ty sheridan
Genre: drame - thriller
Origine: USA
Sortie: 2013/2014 ?
Synopsis: Joe Ransom ( Cage ) descend les bouteilles aussi vite qu'il brûle sa vie. Joe est peut-être irresponsable, il n'en est pas moins un travailleur acharné. C'est dans une forêt, où il est employé à abattre les arbres, qu'il fait la rencontre de Gary, un adolescent de 15 ans, et de son père, Wade, un alcoolique bon à rien. Pour Gary, tout n'est pas perdu ; il est encore temps pour lui d'emprunter le droit chemin, à condition d'échapper à l'emprise néfaste de son père. Joe l'engage ainsi à ses côtés et, contre toute attente, les deux hommes finissent par sympathiser. Le chemin de la rédemption, dans une petite ville du Sud, sera jalonné de soirées en solitaire, de travail réalisé à la sueur du front, de premières bières et de fous armés.
Le film vient juste d'etre projeter au festival de venise , et les reviews sont dingue , et ca parle deja bcp d un prix d'interpretation pour Nic et meme d'oscars
The Hollywood Reporter :
Soutenu par les performances, brutes et pourtant habilement dosées, de Nicolas Cage et Tye Sheridan, le film capture à la fois la rugosité et la compassion pour ses personnages en souffrance, qui sont les caractéristiques de l'écriture du romancier Larry Brown.
ThePlaylist :
Il n'y a là rien de vraiment nouveau, mais voilà une oeuvre puissante et nuancée, qui navigue avec assurance entre différents registres et genres, et contient une performance riche et encourageante de la part de Nicolas Cage, ainsi qu'une nouvelle et excellente prestation de son jeune partenaire Tye Sheridan
Variety
Doté d'une barbe grisonnante, d'une légère bedaine et couvert de tatouages, Cage est plein d'énergie, imprévisible, une performance géniale qui permet à la pudeur fondamentale de Joe d'éclater au grand jour.
Le Monde
Excellente réalisation de David Gordon Green (...), Joe a des chances de figurer au palmarès de la Mostra.
Première
Ce mélange d’artifice et de réalisme râpeux est ce qui fait l’intérêt de ce film dont les forces l’emportent quand même largement sur les faiblesses.
Télérama (Louis Guichard)
[le personnage] est émouvant quand l'acteur se contente d'être un présence massive, échouée, avec un regard légèrement vitreux. Mais à la troisième quinte de toux au milieu d'une phrase, voilà revenues les pires simplifications de la méthode Actors Studio.