Avec Boyle je savais que 127 serait un film nerveux (dans le sens: montage, cadrage et musique) et que ça se prendrait pas la tête à pousser une intrigue. On est avec le personnage, on ressent ce qu'il ressent, il repense à sa vie, son ex, ses parents, et son brin de folie qui commence à émerger suite au manque de nourriture, d'eau et surtout de solitude, face à la Mort et tout seul au fond d'un gouffre il doit lutter et survivre jusqu'a se couper le bras tel le loup qui se ronge la patte pour se dégager d'un piège à loups: tu pensais que Boyle il raconterait quoi à part ça? (bon ok c'est pas une fine écriture et le film reste en surface et ne part pas assez loin dans le ocncept qu'il met en place mais 127 heures tu vois le trailer t tu lis vite l'histoire vraie le film était super prévisible: sur la fin je veux vbin accepter que ça part en couilles les bons sentiments, la niaiserie etc..) Putain mais c'est "humain" bordel. Buried c'est la même chose sauf qu'on te met pas du tout cette introspection mais on te fout une intrigue minable sur fond de guerre et de critique de l'Amérique etc..c'est naze. C'est juste techniquement une tuerie. Le film aurait pu s'arrêter à pleins de moments qui déchirent où le mec accepte sa mort etc..mais non. La lumière ud portable se rallume à chaque fois et c'est repartit : ya 15 coups de téléphones dans le film, une péripétie qui sert à rien (le serpent) et 3x le réalisateur fait genre le film se fini là mais en fait ça repart avec un "allo? Allo? mais pourquoi? je veux ma femme et sortir d'ici". C'est du pareil au même les 2 films.
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Bon la fin de Buried est mieux. ET encore. J'aurais préféré qu'il termine son film quand plus personne ne peut aider le mec dans le cercueil et que celui-ci est abattu, il repose le portable sur son torse, travelling arrière vertical et là "fin". C'était masterpiece.
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