laisser le rationalisme de côté quand on regarde un Lynch
Voilà pourquoi j'ai du mal avec ce genre de réalisateur comme j'ai du mal avec un Myazaki!
Mon coté newtonien et cartésien prend le dessus...
laisser le rationalisme de côté quand on regarde un Lynch
Anakin a écrit:Niko06 a écrit: ouais... c'est sur qu'un réalisateur qui fait des films pour lesquels il ne donne pas les clefs et qui font beaucoup réfléchir ça n'est pas du goût de tout le monde...
C'est un cinéma pour ceux qui aiment bien se passer de la pommade lorsqu'ils ont enfin compris le film (ou lorsqu'ils ont vu l'interview du réalisateur après le film). Cela permet de la ramener au cours d'un dîner, de paraître pour le plus subtile des cinéphiles, et de briller en société. Mais où est le plaisir du cinéma dans tout ça ? Il n'y a plus que le plaisir d'étaler sa culture et de se masturber le cerveau avec un artiste déglingué.
Ron Howard a écrit:J'ai une formation de scénariste et donc pour moi l'élément clé d'un film c'est son histoire. Si on a pas d'histoire à la base, on obtient, certes un cinéma uniquement sensoriel, mais on perd une fondation qui fait toute la richesse et la solidité du cinéma. Je déteste semer mon spectateur. Spielberg fait du cinéma sensoriel aussi (Rencontres du 3ème Type par ex) mais n'oublie pas la base scénaristique, car il possède lui toutes les bases du cinéma. Ce qui ne l'empêche pas d'être "sensoriel" ou "complexe".
Ron Howard a écrit:Je ne connais pas Angelo Badalamenti et sa musique ne m'a jamais attiré dans ses films. Pourtant j'écoute près de 150 compositeurs de musique de film depuis 20 ans, couvrant toute l'histoire du cinéma.
je quote Ron mais ça remonte à l'année dernière!
dunandan a écrit: Puis j'oubliais de dire que Logan me faisait penser à Burton avec sa méchanceté légendaire concernant certains films/réalisateurs/acteurs
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