#Réalisateur# David CRONENBERG

[zirko]

C'est vrai que c'est bizarre comme méthode de visionnage !

[zack_]

crash il fait pas l'unanimité

Je parle pas de Crash mais de History of violence Niko!
J'ai pas vu crash donc je peux rien dire

Regardes le, je te le conseille et je suis toujours de bon conseil, par contre pas en accéléré hein.

J'ai jamais vu un film en accéléré pour ma part ni même coupé un film au milieu!
Même si c'est a chier, je me force
Je le verrai à l'occasion, j'ai voulu le voir mais j'ai vu le Crash mais pas de Cronenberg

edit: vu crash et c'est prétentieux à mourir

[angel.heart]

-Les Promesses de l'ombre : 8/10
-A History of Violence : 8,5/10
-Spider : 3,5/10
-eXistenZ : 4/10
-Crash : 5/10
-Le Festin nu : 7/10
-Faux-Semblants : 9/10
-La Mouche : 9,5/10
-Videodrome : 9/10
-Dead Zone :9,5/10
-Scanners : 8/10
-Chromosome 3 : 8,5/10
-Rage : 8/10
-Shivers : 8/10

[moricenlive]

Excellent

[Moviewar]

- History of Violence 9/10
- Les Promesses de l'ombre 8,5/10

j'ai du retard dans sa filmo dis donc...

[francesco34]

J'aime plutôt bien Cronenberg...

Les Promesses de l'ombre : 7.5/10
A History of Violence : 7,5/10
eXistenZ : 6/10
Crash : 4.5/10
Le Festin nu : 5.5/10
Faux-Semblants : 8/10
La Mouche : 8/10
Videodrome : 7.5/10
Dead Zone : 8.5/10
Scanners : 6.5/10
Chromosome 3 : 5/10 lointain souvenir

[Kakemono]

Les Promesses de l'ombre : 7/10
A History of Violence : 6/10
eXistenZ : 9/10
La Mouche : 10/10
Videodrome : 7,5/10
Dead Zone : 6/10
Scanners : 9/10
Chromosome 3 : 2/10
Rage : de vagues souvenirs lointains.
Shivers : 6/10

[angel.heart]

Rohlala ste pauv note à Chromosome 3!
Il déboite bien pourtant ce film!

[Kakemono]

Bin non.

[Alegas]

A Dangerous Method : 5,5/10
Les Promesses de l'ombre : 9/10
A History of Violence : 7/10
Crash : 5/10
Le Festin nu : 3/10
Faux-Semblants : 3/10
La Mouche : 8/10
Videodrome : 6/10
Dead Zone : 3/10
Rage : 5/10
Frissons : 7/10

[Mark Chopper]

Bilan chiffré de mon cycle David Cronenberg + liens vers mes critiques (en cours) :

Stereo : 1/10
Crimes of the Future :
Frissons :
Rage :
Fast Company :
Chromosome 3 : 5/10
Scanners : 5,5/10
Vidéodrome : 9/10
Dead Zone : 6,5/10
La Mouche :
Faux-semblants :
Le Festin nu : 5/10
M. Butterfly :
Crash :
eXistenZ : 8/10
Spider :
A History of Violence : 7/10
Les Promesses de l'ombre : 5,5/10
A Dangerous Method :
Cosmopolis : 9/10
Maps to the Stars : 8/10

[Jed Trigado]

Un gars qui a parfois fait de grands films, c'est indéniable, mais dont je hais le personnage, qui n'est pas loin d'un Haneke dans le sens où il n'a pas hésité à cracher sur le cinéma d'horreur quand la presse bobo s'est interessé à lui, en réalisant des films de psychanalystes hautains et sans saveur :

Les Promesses de l'ombre (2007) A part des facilités narratives qui sentent qu'il n'a pas osé aller assez loin, c'est du tout bon. 8/10
A History of Violence (2005) Le retour aux affaires pour Crocro, il a certes conservé une pointe de cynisme et foiré dans les grades largeurs le dernier acte, mais c'est bien fait mine de rien 7/10
eXistenZ (1999) Celui-là c'est viscéral, pointer du doigt de façon éhontée les gamers et les faire passer pour des junkies, des leçons de morale comme ça non merci ! 1/10
Crash (1996) Un film me fascinait étant gosse, mais qui se révèle étonnament bateau et grossier aujourd'hui. 3/10
Le Festin nu (1992) Un film casse-gueule, adapter un tel bouquin n’était pas une sinécure donc je reste gentil sur la note 5/10
Faux-Semblants (1988) Pour moi, ce film prouve qu'il s'est plus servi du genre, qu'il ne l'a défendu : Dead Ringers c'est le début de la fin pour lui, celle d'un réal trop conscient de ses thémas et obsessions, oubliant ainsi le public pour mieux aller flatter les festivals et autres critiques. 2/10
La Mouche (1987) Rares sont les réalisateurs qui y ont gagné à synthétiser leurs oeuvres : ici c'est un peu la porte d'entrée vers son travail, mais surtout l'un de ses films les plus aboutis. Vu et revu, mais le plaisir reste intact. 8/10
Videodrome (1984) Tout a été dit ou presque : film visionnaire, indémodable et unique en son genre. Certainement son film le plus important. 9/10
Dead Zone (1984) Chef d'oeuvre, en sortant de ses délires anatomiques, Cronenberg donne un second souffle à sa carrière et offre un rôle superbe à Christopher Walken 8,5/10
Scanners (1981) Mouais, à part les explosions de tête et le final traumtisant (Ironside et ses convulsions !), ça s'oublie vite, tout comme ses suites. 5/10
Chromosome 3 (1979) Un film très personnel, son plus incarné et aussi l'un des plus malaisants qui fonctionne toujours à plein sur moi 7,5/10
Rage (1976) Encore une oeuvre perfectible, mais illuminé par la superbe performance de Marylin Chambers 4,5/10
Shivers (1974) : une merde infecte qui reprend à mauvais escient les codes du film d'horreur 2/10

[Mark Chopper]

J'ai vraiment l'impression qu'il y a un malentendu vis à vis de Cronenberg depuis quelques années (ce soi-disant côté "je fais des films pour les critiques et je renie le genre qui m'a fait connaître"). Enfin, je verrai ça plus en détails (et avec des arguments) en revoyant ses films.

A voir si je me trompe ou pas.

[Jed Trigado]

Il m'a fallu du temps pour l'admettre, ado j'eprouvais pas mal d'admiration pour ses films mais aujourd'hui après l'avoir écouté pas mal et revu certains de ses films, j'en suis arrivé à la conclusion qu'il se servait du genre avant tout. Et c'est le genre de détail qui me dérange, comme le dirait notre ancien président "l'horreur, tu l'aimes ou tu la quittes" mais tu théorises pas dessus (en gros tout ses films à partir de Faux Semblants) et encore moins en faire ton beurre pour ravir les Cahiers du Cinéma.

Mais ca me surprend pas, le gars est issu d'une classe aisée, a fait pas mal d'études de médecine, du coup j'ai toujours l'impression de voir des rapports pour psychanalystes qui excluent d'emblée le cinéphile moyen, idem pour sa mise en scène trop froide et clinique, qui tient plus du gimmick que d'une réelle démarche artistique.

[Val]

Sans avoir vu beaucoup de ses films, il me semble que la filmographie de Cronenberg reste cohérente mais surtout évolue. Après avoir traité de la question de la chaire et de la contamination (Videodrome, La Mouche), la suite logique est de traiter la question de l'identité (Faire un film sur Freud n'est sans doute pas anodin, bien qu'en apparence éloigné du reste de sa filmo). C'est d'autant plus moderne que dans une société de plus en plus contaminée par les médias, le cinéma, la publicité, comment conserver son identité est devenue une problématique majeure. N'ayant pas vu ses derniers films, je ne peux pas juger de leur qualité, mais sur le papier, l'ensemble me semble cohérent. Mais je me trompe peut-être.