[oso] Mes critiques en 2013

[Jed Trigado]

Je tiens à préciser que ce n'est pas Jack qui m'a soufflé la vanne.

[angel.heart]

Jack, sort de ce corps.

EDIT : grillé.

[Scalp]

Oh putain le level qu'on atteint, ça fait peur par moment.

[Jack Spret]

Nice shot, Jed.
J'y aurais pas pensé
Mais bon, ça vaut quand même juste un

4/10

[osorojo]

Un putain de film!

Par-contre c'est bien d'avoir un bagage Tobe Hooper, avant de découvrir ce diptyque.

Tu conseilles quoi de Tobe Hooper en priorité, à part Massacre à la tronçonneuse que je n'ai toujours pas vu (et oué, faut que je le chope) ?

@Jed : toutes les influences ne sont pas bonnes à prendre

[Mark Chopper]

Massacre à la tronçonneuse 2 (grosse influence de Rob Zombie).

Il faut se tourner vers les blu-ray uk.

[osorojo]

J'ai pu de sou, j'vais me tourner vers les compagnies virtuelles

[Mark Chopper]

L'idéal, c'est de trouver une qualité VHS, ça colle à l'imagerie crade

[osorojo]

Tututu, Je prends que du 4k, sinon ça sert à rien

[angel.heart]

Le très bon ( et très barge ) Massacre à la tronçonneuse 2 est effectivement une grosse influence pour Zombie, une scène lui rendant directement hommage dans The Devil's Rejects.

[angel.heart]

THE COLLECTION

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Marcus Dunstan (2012) | 4/10
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Suite directe de la bonne surprise qu'était The collector, un bon petit slasher moderne, The collection s'avère lui aussi décevant que son aîné était punchy. Et si le bodycount est pourtant généreux, c'est pour mieux cacher le vide que renferme le reste du film. C'est bien simple, à part quelques mises à mort pas trop mal torchées, il n'y a strictement rien à se mettre sous la dent, mis à part peut être quelques plans bien sentis, mais qui restent bien trop rares pour élever le film. On se retrouve donc avec une bobine d'1h15 qui ne sait pas où aller sinon dans une surenchère gratuite qui fait illusion pendant un quart d'heure mais finit bien vite par lasser. A tel point qu'au bout d'un moment, peu importe ce qui se passe à l'écran, c'est sans surprise, passif que l'on suit le film.

En bref, the collection est à oublier rapidement. Bien dommage, il était en effet légitime d'attendre un peu plus du rejeton d'un film qui avait su surprendre par son jusqu'au boutisme, son savoir faire et son inspiration. Tout ce qui manque finalement à cette suite insipide. Même la bonne surprise de retrouver Bubs en commando énervé ne sauvera pas les meubles, tant ce dernier semble aussi perdu à l'écran qu'il était terriblement habité dans The Wire.

Je viens de le voir est effectivement c'est très décevant. Bon je suis quand-même à 6/10 ( pas mal d'idée que j'ai bien aimé ) mais sérieux, c'est quand-même très con...

[osorojo]

Oue, moi ça m'a gavé, tout n'est pas jeter c'est clair, mais c'est tellement paresseux. C'est con, y avait matière

[Dunandan]

L'ASSASSIN HABITE AU 21

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George Henry Clouzot (1942) | 7/10
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La projection de l'assassin habite au 21 fait le même effet que ces envoûtants romans policiers à la sauce whodunit que je lisais pendant les vacances quand j'étais plus jeune. Une galerie de personnages amusants, tous potentiellement coupables pour un huit clos tendu qui multiplie les fausses pistes afin de nous égarer sur le chemin de la vérité. George Henry Clouzot apporte à ce jeu d'esprit stimulant sa science de l'image, à l'aide de noir et blancs très justes comme à son habitude et une mise en scène, pas forcément surprenante, mais on ne peut plus soignée, qui apporte une véritable plus-value à son essai. Toutes ces jolies propositions offrent à l'assassin habite au 21 une base on ne peut plus solide, qui aurait pu totalement exploser si les acteurs avaient été dirigés de façon moins théâtrale et si la narration avait été un peu moins convenue dans son dénouement.

En effet, si le film repose intégralement sur son twist final, il est difficile de s'enthousiasmer plus que de raison quand on le sent venir. Ce fut mon cas, et la faute est beaucoup plus du fait de la direction d'acteur bien trop maniérée que d'un script pas complètement solide. Ces trois personnages si différents qui se complaisent à se livrer des duels verbaux intarissables nous font découvrir le pot aux roses bien trop tôt. Alors qu'on devrait complètement tomber des nues lors de la révélation finale, on se laisse simplement convaincre que nos hypothèses étaient fondées. Un peu plus de subtilité dans le jeu des acteurs, dans ces différences les caractérisant qui sont bien trop marquées et cette absence de profondeur des potentiels tueurs que l'on ne soupçonnera jamais et le film aurait probablement eut un impact tout autre.

C'est un peu déçu que j'ai contemplé le générique final, j'attendais peut être un peu trop de l'auteur du salaire de la peur. A défaut d'avoir reçu une nouvelle baffe, j'ai tout de même pris du plaisir devant cette bobine une nouvelle fois très maîtrisée par un réalisateur qui sait mener sa barque. La première moitié du film est assez savoureuse, la partie undercover du flic pasteur m'a beaucoup fait rire, et la précision des dialogues qui sont débités à l'écran est toujours un régal à nos tympans. Dommage par contre que cette symphonie de la langue française soit si souvent massacrée par l'insupportable Suzy Delair qui en fait beaucoup trop et m'a presque gâché à elle seule ce moment pourtant plutôt réussi dans son ensemble.

[Logan]

Un peu radin.

Tu verras Delair et le film en général passe beaucoup à la seconde vision

[osorojo]

Ue je sais pas, elle est difficilement supportable sérieux