[Alegas] Mes Critiques en 2013

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Jeu 25 Avr 2013, 14:37

Ouais mais là encore, qu'est ce que t'en sais que le film est connu pour tout le monde. Parce que pour toi ça peut paraître évident vu que, comme tu disais, c'était un film que tout le monde avait vu au moins une fois à la téloche. Sauf que là aujourd'hui, un mec comme moi qui s'intéresse au cinéma peut ne jamais entendre parler du film avant d'arriver sur un forum. Ça veut pas dire que le film est un oublié c'est certain mais faut pas le brandir en étendard comme un film comme Ben-Hur ou Gladiator qui, eux, sont réellement des films qui parlent à tout le monde.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Scalp » Jeu 25 Avr 2013, 14:44

Logan a écrit:Toi t'as pas du lire le dernier post de Spike/William sinon tu ferais moins ton malin :nono:


Même pas envie de répondre, surtout que bon si on veut s'intégrer on s'intègre, Jack Spret en ai la preuve dernièrement.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Jack Spret » Jeu 25 Avr 2013, 14:46

Sans me mettre en avant, c'est ce que j'ai tenté de lui faire comprendre dans ma réponse :super:


"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ?
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20 000 lieux sous les mers - 6,5/10

Messagepar Alegas » Jeu 25 Avr 2013, 15:24

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20 000 Leauges Under The Sea (20 000 Lieues sous les Mers) de Richard Fleischer

(1954)


Seconde vision, pas revu depuis ma tendre enfance. Je me souviens l'avoir vu à l'époque parce que je commençais tout juste à appréhender l'univers de Jules Verne, et forcément à l'époque j'avais ce que j'étais venu chercher, à savoir un film d'aventure efficace et bien mené. Avec des attentes différentes, je revois forcément le film à la baisse aujourd'hui car si le côté aventure est toujours aussi prenant, je ne peux ignorer le fait que le film soit une production Disney et que cela s'en ressent beaucoup trop. Ainsi, les grandes lignes du livre original sont reprises, mais on en vient à ignorer la presque totalité des thématiques ambiguës qui émanaient principalement du Capitaine Nemo. Du coup, l'implication en prend un coup et il est difficile de comprendre totalement les motivations du personnage alors que dans le livre tout est limpide.

On est donc face à une adaptation édulcorée, qui sent bon le divertissement familial entre de l'humour à foison, un minimum de violence et quelques rajouts de mauvais goûts (l'otarie, WTF ? :shock: ) qui a quand même la qualité de rendre la vision du film agréable et simple. Kirk Douglas et Peter Lorre sont très bons même si leurs personnages virent trop dans la caractéristique du sidekick, James Mason en Nemo c'est de la très bonne idée sur le papier mais finalement c'est l'une des ses prestations les moins marquantes, en grande partie à cause de l'écriture sacrifiée du personnage. Enfin Paul Lukas dans le rôle d'Aronnax c'est une grosse erreur de casting, forcément un français avec un accent d'Europe de l'Est ça le fait moyennement. Quand à la réalisation de Fleischer, c'est du travail honnête mais cette fois-ci sans éclats (production Disney oblige, les obligations ont du être nombreuses) et le film a même tendance à mal vieillir sur certaines séquences clés (le combat contre le calamar). L'adaptation ultime de ce roman génial reste donc à faire, en espérant que Fincher y arrivera de son côté (même si avec Disney c'est pas gagné).


NOTE : 6,5/10
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Grandmaster (The) - 6,5/10

Messagepar Alegas » Ven 26 Avr 2013, 00:01

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The Grandmaster de Wong Kar-wai

(2013)


Un peu déçu de ce film qui, sur le papier, avait tout pour être excellent. Entre un casting béton, un réalisateur adepte de la perfection visuelle et la collaboration de grands noms comme Yuen Woo-ping, il y avait vraiment de quoi attendre un grand film. Et pourtant, la vision de The Grandmaster donne la réelle impression d'être devant un gâchis, une esquisse d'un film qui aurait pu être bien plus. L'ambition de Wong Kar-wai était visiblement d'offrir au spectateur une grande fresque de quatre heures sur l'histoire de la Chine de la première moitié du vingtième siècle à travers la destinée des derniers grands maîtres de kung-fu. Au final, on se retrouve avec un film de moins de deux heures, et qui ne fait qu'effleurer les personnages qu'il représente. Pire encore, si les nombreuses ellipses sont loin d'être gênantes (elles ont toujours fait partie du style du réalisateur) le fait d'avoir des personnages sacrifiés comme La Lame a vraiment de quoi handicaper le film, le privant ainsi de thématiques intéressantes sur lesquelles le récit aurait pu rebondir. Du coup, le film arrive rarement à se renouveler, et les séquences marquantes par leur émotion se font vraiment rares. Certes, quelques scènes se détachent vraiment du lot (tout ce qui touche au personnage de Zhang Ziyi) mais c'est finalement bien peu comparé à la totalité du métrage, surtout lorsque l'on s'aperçoit à la fin du film que Wong Kar-wai avait effectivement de la matière à offrir bien plus (à ce titre, le best-of post-générique est extrêmement rageant).

C'est d'autant plus dommage que Wong Kar-wai se débrouille vraiment bien avec un genre de film qui ne colle pourtant pas avec ce qu'il a tendance à offrir habituellement. Si les combats sont loin d'être aussi bons et lisibles que ceux de la trilogie Matrix (pour reprendre un exemple de film où Yuen Woo-ping a travaillé avec des acteurs aux pratiques de kung-fu inexistantes), le fait est que l'esthétique propre à Wong Kar-wai permet au film de posséder un style qui lui est propre, avec notamment des inserts appréciables qui ont pourtant tendance à devenir redondants à force. Tony Leung en Ip Man c'est une bonne idée de départ, l'acteur est quand même bien meilleur qu'un Donnie Yen en terme de jeu, mais l'écriture du personnage connaît exactement le même problème que le film de Wilson Yip, à savoir qu'on est face à un personnage auquel on ne peut s'identifier étant donné qu'il est présenté comme un saint. Finalement, c'est Zhang Ziyi qui tire le plus habilement son épingle du jeu, puisque Chang Chen n'apparaît que dix minutes à l'écran alors qu'il en impose de façon immédiate. Déception donc, et je suis vraiment surpris de voir que Wong Kar-wai est heureux du résultat final alors que l'on est bien loin de l'intention de départ. J'espère donc un jour voir cette fameuse fresque de quatre heures, même si je me doute que cela n'arrivera sûrement jamais.


NOTE : 6,5/10
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Inside - 4/10

Messagepar Alegas » Ven 26 Avr 2013, 12:18

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La Cara Oculta (Inside) de Andrés Baiz

(2011)


Un film qui part avec un sacré potentiel au niveau de l'intention, mais qui se révèle extrêmement bancal dans son déroulement, la faute notamment à un script qui est finalement une fausse bonne idée. Tout d'abord, le gros problème du film vient de la façon dont il est vendu car à moins de ne s'être jamais renseigné sur le film et de ne pas avoir regardé l'affiche ou la jaquette, on devine le twist au bout de quelques minutes alors qu'il est la base même de la réussite du métrage. Du coup, la première partie qui laisse penser à un film de maison hanté tombe rapidement à l'eau, puisque l'on devine déjà les origines des mystères de la maison, et c'est d'autant plus dommage que cette partie est clairement la meilleure du film, le reste étant condamné par une écriture de personnages assez catastrophique. Tout le reste du métrage paraît donc insipide au possible, jamais on ne ressent la détresse ou la claustrophobie (et puisque la comparaison est inévitable, Panic Room était bien plus réussi de ce côté là) et le final qui se devine longtemps à l'avance achève définitivement le potentiel d'un script qui aurait pu être des plus intéressants avec la volonté de jouer sur plusieurs genres. La mise en scène est, à l'image du film, insipide. C'est propre mais ça ne dégage absolument rien, et ça n'est pas aidé par un casting où tout le monde joue mal. Clairement pas un film recommandable malgré son pitch intriguant, je serais quand même curieux de savoir ce que ça aurait pu donner avec quelqu'un comme Jaume Balaguero aux commandes.


NOTE : 4/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Ven 26 Avr 2013, 12:20

(Tiens d'ailleurs on a oublié d'en parler au Bomcast :eheh: )
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Scalp » Ven 26 Avr 2013, 12:36

Oue bein j'aurais tenu 10 secondes sur ce truc.
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Etrangleur De Boston (L') - 6/10

Messagepar Alegas » Sam 27 Avr 2013, 01:54

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The Boston Strangler (L’Étrangleur de Boston) de Richard Fleischer

(1958)


Un peu déçu vu la réputation du film et aussi à cause des premières minutes qui m'ont laissé espérer un film de Richard Fleischer où celui-ci imposerait un style qui le caractériserait. Disons le d'office, c'est, parmi les œuvres que j'ai pu voir, de loin le film où Fleischer prend le plus de libertés concernant la forme et la façon de raconter son histoire. Alors que l'on aurait pu avoir un film d'investigation classique avec un serial-killer antipathique, The Boston Strangler prend son spectateur à revers en changeant totalement de ton une fois la première heure passée. Le film d'enquête où les suspects se succèdent devient alors une sorte de drame social pour ensuite virer dans le thriller psychologique (d'ailleurs cette façon de présenter le serial-killer comme un protagoniste fait clairement penser au Peeping Tom de Michael Powell) et si la surprise joue clairement en faveur du métrage (même si le fait que Tony Curtis joue le personnage soit l'un d'être un twist) cet aspect fait tout de même du tord au film dans sa globalité, en donnant l'impression d'être une œuvre qui ne sait pas vraiment ce qu'elle devrait être finalement.

Le mélange des genres est une entreprise à saluer, bien évidemment (et d'autant plus pour un film de cet époque), mais le fait est que l'alchimie fonctionne moyennement, avec une première heure peu captivante et une seconde qui met trop de temps à dire ce que l'on sait déjà en tant que spectateur. Quand à la forme visuelle, Fleischer se permet de livrer une image granuleuse et une mise en scène proche du documentaire. Un choix qui contraste finalement avec ce qui viendra par la suite, notamment dans la partie psychologique ou tout simplement l'utilisation abusive du split-screen qui en devient peu marquante. Tony Curtis dans le rôle principal est vraiment excellent et donne une réelle humanité à son personnage, Henry Fonda est très bon, comme souvent. Un film qui tente d'en faire trop et qui, du coup, devient bancal sur bien des aspects. Reste tout de même une œuvre étonnante de la part de quelqu'un comme Fleischer, et qui a du en inspirer plus d'un (et notamment Hitchcock pour son Frenzy).


NOTE : 6/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Dunandan » Sam 27 Avr 2013, 02:23

C'est marrant la manière dont on peut recevoir parfois différemment les ingrédients d'un film. Sur moi ce mélange des genres a très bien fonctionné, et j'ai tout spécialement aimé cette façon de présenter les différents points de vue d'un même évènement (victimes, tueur, inspecteurs).
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Killbush » Sam 27 Avr 2013, 21:25

Ta note pour Scrooge me fait plaisir :super:
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Croods (Les) - 8/10

Messagepar Alegas » Sam 27 Avr 2013, 21:38

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The Croods (Les Croods) de Chris Sanders & Kirk DeMicco

(2013)


Nouvelle surprise étonnante de la part du studio Dreamworks Animation qui, depuis How to train your Dragon et Rise of the Guardians, donne la réelle impression d'atteindre un niveau de qualité supérieur et de s'imposer comme un sérieux concurrent à la production Disney/Pixar. Ainsi, pendant que ces derniers continuent depuis quelques années de proposer la même formule à base de suite de succès passés (Cars 2, la suite de Monsters Inc.) ou de films originaux sabordés durant la production (Brave), Dreamworks se permet de proposer des œuvres à des années lumières des licences Shrek ou Madagascar dont la volonté est de simplement divertir le jeune public, des œuvres plus réfléchies, plus posées et surtout qui tentent de faire grandir le spectateur. C'est donc d'autant plus étonnant que la campagne marketing fait paraître The Croods comme un film uniquement basé sur un humour enfantin, aidé par un character design pas forcément inspiré, et pourtant, exactement de la même manière qu'avait pu le faire Rise of the Guardians l'année dernière, le film est beaucoup plus subtil et ambitieux que cela.


ImageImageImage


Là où beaucoup appréhendaient un film basé simplement sur deux adolescents avec la famille en arrière-plan, The Croods se révèle être finalement un film sur la cellule familiale. Certes, quelques personnages sont en retraits (difficile de faire autrement) mais le fait est que chaque protagoniste possède une place importante dans le groupe, ce que le film fait tout de suite comprendre à l'aide d'une scène de chasse particulièrement fun et maîtrisée sur la forme. Mais The Croods est aussi un film sur le changement, qui viendra en la personne d'un être plus évolué (à ce niveau là, le film reste très intelligent et propose le sujet de façon claire à son jeune spectateur) dont l'influence vient très probablement de Rahan, puisque l'on retrouve ce même personnage solitaire, orphelin mais débrouillard dont le seul but est d'atteindre le soleil, symbole d'un monde meilleur. Et c'est finalement la rencontre de ces deux mondes qui rend le film véritablement intéressant, puisqu'il est avant tout une pure œuvre d'aventure où l'émerveillement prend le pas sur l'obscurantisme (le film étant aussi une vision surprenante de l'allégorie de la Caverne de Platon), avant de se transformer en lutte pour la survie où les liens entre personnages deviendront beaucoup plus tendues.


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Bourré de séquences magnifiques (la découverte du cosmos et le climax final à la puissance émotionnelle indéniable), d'un humour loin d'être enfantin (le gimmick de la survie de la belle-mère) et aidé par un casting vocal de premier ordre (mention spéciale à Nicolas Cage, dont le personnage est clairement le plus intéressant du film), The Croods est aussi un film indissociable de son réalisateur principal, à savoir Chris Sanders. How to train your Dragon devait beaucoup à la mise en scène dynamique de ce dernier, et là encore le réalisateur atteint un niveau jamais encore atteint chez Dreamworks. La réalisation est tout simplement sublime, magnifiant chaque scène qui devient rapidement une succession de petites idées géniales, et l'utilisation de la 3D est toujours faite à bon escient. The Croods, certainement le meilleur film d'animation que l'on aura cette année et à mes yeux le plus beau que Dreamworks ait livré jusqu'à présent. En espérant que le studio va continuer sur cette pente ascendante qui pourrait bien changer la donne pour les années à venir.


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NOTE : 8/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Sam 27 Avr 2013, 21:39

Killbush a écrit:Ta note pour Scrooge me fait plaisir :super:


Roh mais celui là comment je me suis pris une petite claque. :love:
Le plus abouti de Zemeckis au niveau de la forme en performance-capture, et le conte est juste très bien adapté avec la noirceur qu'il faut. Le passage dans le passé en plan-séquence de 10-15 minutes j'étais tout simplement sur le cul.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Killbush » Sam 27 Avr 2013, 22:04

Et ouais ça tue Scrooge, je crois qu'Heat aime bien aussi celui là :super:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Scalp » Dim 28 Avr 2013, 09:03

Vous êtes mignon tout les 2.
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