[Alegas] Mes Critiques en 2013

Modérateur: Dunandan

Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Ven 11 Jan 2013, 18:48

Ouais pareil je reconnais rien de Kim Ki-duk là dedans, et vu qu'il est aussi producteur ça m'étonnerait pas que ce soit juste pour vendre.

Et ouais pour un premier film c'est vraiment bien mais sérieux à partir du moment où le gangster quitte le tournage y'a une grosse baisse de rythme à mes yeux. Et puis Front Line est tellement génial que j'avais surement placé la barre un peu trop haute (même si, en l'état, c'est très loin d'être une déception).
"Our films were never intended for a passive audience. There are enough of those kinds of films being made. We wanted our audience to have to work, to have to think, to have to actually participate in order to enjoy them."

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Scalp » Ven 11 Jan 2013, 18:49

Oue Secret Reunion c'est moyen et pas très bien réalisé.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Ven 11 Jan 2013, 21:53

Secret Reunion j'ai en effet rien lu de transcendant dessus mais bon, y'a Song Kang-ho, ça doit pas être au moins intéressant.
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Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare - 7/10

Messagepar Alegas » Ven 11 Jan 2013, 22:55

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Seeking a friend for the end of the world (Jusqu'à ce que la fin du monde nous sépare) de Lorene Scafaria

(2012)


Une très belle surprise qui laisse quelque peu déçu devant le fait que le film n'ait pas rencontré le succès qu'il méritait, la faute à des producteurs qui ne savaient tout simplement pas vendre le film autrement que comme une énième comédie avec Steve Carell. Et c'est d'autant plus dommage que Seeking a friend for the end of the world se révèle être une très belle romance douce-amère qui nous venge des produits habituels et formatés du genre. Entre ce film et Ruby Sparks, autant dire que l'année 2012 a plutôt été fructueuse à ce niveau là, et que le public n'a, hélas, pas suivi. On se retrouve donc en face d'un tout premier film, celui de Lorene Scafaria, scénariste qui livre là un travail vraiment admirable. Bien entendu, tout le succès du métrage repose sur son principe, à savoir proposer au spectateur une relation naissante entre deux êtres qui se ressemblent bien plus qu'il n'y paraît, le tout sur une ambiance de fin du monde du plus bel effet et qui, en plus, paraît très réaliste puisque la totalité du métrage se base sur le principe d'en montrer le moins possible.


Le plus étonnant est de constater à quel point cette fin du monde est vraiment bien exploitée, et notamment dans les relations changeantes entre les êtres. Violence, orgie, ignorance de ce qui nous entoure ou tout simplement réflexion profonde sur soi-même et son passé, le film de Scafaria est finalement bien plus élaboré qu'il n'y paraît, se basant principalement sur l'évolution entre les personnages de Carell et Knightley, qui évoluent de façon crédible et subtile, pour aboutir à un dernier quart d'heure d'une beauté poignante, le tout soutenu par une mise en scène qui sait s'effacer derrière son sujet tout en proposant une vision différente des genres auquel le film se confronte. Rajoutons à cela une bande-son réussie, un Steve Carell qui prouve à quel point il peut-être un excellent acteur dramatique, une Keira Knightley qui incarne une manic pixie dream girl à l'écriture étonnamment subtile et un Martin Sheen qui se fait bien trop rare sur les écrans, et on se retrouve avec un premier film de qualité. En espérant que Scafaria pourra continuer sur la voie de la réalisation, ce qui n'est pas forcément gagné.


NOTE : 7/10
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Guilty of Romance - 6/10

Messagepar Alegas » Sam 12 Jan 2013, 21:31

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Guilty Of Romance de Sion Sono

(2011)


Première incursion personnelle dans le cinéma de Sion Sono, et la découverte a été quelque peu étonnante devant un cinéma bien plus extrême que ce a quoi je m'attendais. Si l’œuvre en soi ne m'a pas totalement convaincu à l'heure où j'écris ces lignes, j'ai néanmoins le pressentiment que ce Guilty Of Romance sera sûrement bien plus évocateur après avoir vu les films précédents du réalisateur, d'autant que cette même œuvre est aussi la conclusion d'une trilogie thématique caractéristique à son auteur. Pourtant, je reste vraiment enthousiaste suite à la vision de ce film qui, malgré des parti-pris qui diviseront certainement, sait captiver son spectateur avec un récit pas forcément évident à présenter. Ainsi, en captant l'évolution sexuelle et la découverte des sens d'une jeune femme mariée autant à un écrivain célèbre qu'au mode de vie dans lequel il l'enferme, Guilty Of Romance prend le parti d'une crudité évidente, aussi bien visuellement que sur les thématiques qu'il aborde. Cette crudité offrira d'ailleurs certains des meilleurs moments du métrage, le tout sur un script où l'on en vient à se demander si ses bases ne sont pas carrément autobiographiques, l'actrice principale ayant été elle-même mannequin avant sa rencontre avec le cinéaste.


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Néanmoins, si la première heure se révèle excellente, le reste (notamment à partir du moment où la maître de conférence rentre en jeu) peine véritablement à captiver, partant dans des trips parfois agaçants et qui aboutissent sur un final franchement ridicule dans la façon dont il est amené. Sur la forme, pour un premier film avec de véritables moyens, on sent une réelle maîtrise des outils cinématographiques, que ce soit dans la capacité à interpeller le spectateur via le plan-séquence (fixe ou non) ou dans le caractère sublime de certains plans via la photographie, mention spéciale évidemment à la découverte des cadavres. Enfin, difficile de parler du film sans évoquer la sublime Megumi Kagurazaka qui, en plus de dévoiler sa plastique mémorable, sait proposer une palette de jeu variée. Un film à revoir certainement une fois le cinéma de Sion Sono assimilé, car en l'état, la seconde partie m'a clairement pris au dépourvu.


NOTE : 6/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Mark Chopper » Sam 12 Jan 2013, 21:41

Je pense que Love Exposure te parlera plus que celui-ci :super:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Alegas » Sam 12 Jan 2013, 21:50

C'est celui qui complète la trilogie avec Cold Fish ?
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Mark Chopper » Sam 12 Jan 2013, 22:15

Oui. Dans l'ordre (même si les films n'ont pas d'autre lien que thématique) : Love Exposure, Cold Fish et Guilty of Romance.
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar osorojo » Sam 12 Jan 2013, 22:40

Ouais, mate-toi Love Exposure, j'pense que tu peux kiffer bien plus que Guilty of romance qu'est ptet un peu trop frontal pour toi dans certaines de ses thématiques. Cold Fish, ça peut aussi te plaire, c'est de la violence plus graphique (enfin, c'est bien frontal aussi quand même) ^^
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Star Wars Episode IV : Un nouvel espoir - 8,5/10

Messagepar Alegas » Dim 13 Jan 2013, 03:25

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Star Wars (La Guerre des Étoiles) de George Lucas

(1977)


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"Han Shot First"


Tout d'abord, avant d'écrire les futures critiques de ce qui est l'une des sagas fondatrices de mon amour pour le cinéma, je tiens tout d'abord à remercier du fond du cœur le fameux fan Harmy, qui a permis a toute la communauté Star Wars de bénéficier désormais des versions originales de la trilogie dans les meilleures conditions possibles, à savoir en haute-définition tout en conservant intacts les trucages et plans d'origine. Un travail de titan, dont le résultat est à peine croyable, et qui permet non seulement à des fans comme moi-même de découvrir enfin les véritables films (comme beaucoup d'autres, je n'avais jamais vu autre chose que les versions de 1997) mais en plus de contrer enfin la volonté de George Lucas, réalisateur sincère mais dévorés par ses ambitions depuis plusieurs années, au point de renier totalement l'homme qu'il était auparavant, ainsi que l'héritage visuel de sa trilogie qui, pourtant, le caractérisait au yeux du monde. Un grand merci donc à ce fan qui m'a permis enfin de redécouvrir la trilogie tel que je le souhaitais, et j'invite donc les lecteurs à se procurer d'urgence ces versions disponibles aisément sur le net.


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Star Wars fait bien évidemment partie de ces films qui, dans mon enfance, m'ont particulièrement marqués au point de ne plus penser qu'à cet univers. Comme des millions d'autres fans avant moi, j'ai clairement fait partie d'un véritable culte de la saga, au point d'acheter le moindre produit dérivée et de devenir, à ma façon, une véritable encyclopédie vivante de Star Wars. Néanmoins, avec l'âge et surtout avec l'arrivée de la prélogie, force est de constater que la saga a finalement perdue de sa valeur dans mon inconscient, allant même jusqu'à rejeter de nouvelles visions par les nouvelles versions proposées par George Lucas. Je m'attendais donc, ne les ayant pas revus depuis des années, de ne plus retrouver la magie d'antan et revoir forcément les films à la baisse. Et pourtant, quelle surprise que de constater que Star Wars fait partie de ces films qui s'attachent tellement à l'affectif qu'il ne vous lâche plus jamais. Certes, revoir ce première épisode à l'heure du tout numérique a presque de quoi faire sourire, mais c'est véritablement de par ce charme évident que Star Wars est toujours autant un plaisir à le regarder et ce, même si l'on connaît la moindre péripétie ou le moindre dialogue par cœur.


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Il est tout de même important de replacer le film dans son contexte quelque peu particulier. Troisième film d'un réalisateur ayant grandi dans l'ombre de Coppola, idéaliste d'un cinéma d'auteur qui finira par vouloir créer un empire cinématographique via sa boîte de production Lucasfilm après avoir connu un douloureux échec avec la mauvaise réception de son THX 1138 ; Space opera d'aventure à l'heure où le genre se limitait soit à la série B fauchée ou à 2001, A Space Odyssey, le tout réalisé pour 11 millions de dollars, soit presque rien vu les intentions visuelles du métrage. Bref, Star Wars avait tout pour être un énième projet foireux, et c'est véritablement la foi de Lucas en son récit qui va finalement rendre le tout aussi culte qu'on le connaît aujourd'hui. Revendication évidente d'un cinéma d'aventure aux thématiques fondatrices, Star Wars est aussi une brillante introduction dans un univers que l'on ne nous présente jamais. Le spectateur est ainsi transporté de force, dès les premières secondes, en plein milieu d'un conflit galactique, et est confronté à des noms aussi obscurs que Tatooine, l'Empire Galactique, les Jedis, l'Alliance Rebelle ou encore la Force. Une volonté risquée, mais qui finalement porte ses fruits puisque c'est cette absence de présentation qui rend l'univers aussi authentique. On se plaît donc à suivre les aventures de Luke Skywalker, jeune fermier qui va quitter sa planète pour découvrir un univers en guerre, et même si les bases du récit sont évidemment inspirées par d'autres (un film d'Akira Kurosawa ou encore un certain ouvrage nommé Le Seigneur des Anneaux), on reste tout de même dans une aventure inédite malgré quelques péripéties inévitables.


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La grande force du script tient évidemment dans quelques brillantes idées qui feront la force de la saga, notamment tout le mythe autour des Jedis (géniale invention que celle du sabre-laser) et de la Force, de personnages attachants comme Han Solo, ou encore de menaces réelles comme l’Étoile Noire et surtout Dark Vador, véritable image du mal qui sera véritablement exploité dans le second opus. Le film a néanmoins quelques menus défauts, notamment celui de proposer un simple récit d'aventure là où il y avait possibilité d'offrir quelques chose de plus profond, une tragédie spatiale qui commencera réellement à se créer dans le deuxième film. Ainsi, on pourra regretter que cette approche fasse de Star Wars une sorte de gigantesque introduction à un récit de plus grande ampleur, même si l'on peut aisément imaginer que le risque du flop financier du film faisait sûrement craindre à Lucas que son film avait de grandes chances d'être un one-shot.


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Il est d'ailleurs intéressant de constater à quel point Lucas misait absolument tout sur son univers, au point d'y consacrer la presque totalité de son budget (notamment dans les décors, costumes et effets-spéciaux, ce qui sert plutôt bien des séquences cultes comme celles de la cantina ou l'attaque finale) et donc de renoncer non seulement à l'intégration de stars dans le casting (seul Peter Cushing et Alec Guinness avaient à peu près de quoi prétendre à ce titre) mais aussi à une mise en scène léchée (le film a même des faux-airs de série B avec ses transitions coulissantes entre chaque séquence). Car il suffit d'avoir vu THX 1138 ou American Graffiti pour se douter que la mise en scène très fixe de Star Wars est forcément dû à un manque de budget, mais heureusement le montage arrive à rattraper ce défaut, et notamment dans le climax final qui joue beaucoup sur la tension (les tourelles qui s'arrêtent de tirer dès que des chasseurs ennemis entrent en jeu) et la survie des personnages. Hélas, comme on pourra le constater plus tard, cette mise en scène fixe sera considérée par Lucas comme une marque de fabrique de la saga, au point d'handicaper nombre de scènes des films à venir.


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Enfin, comment parler d'un film qui doit énormément à sa composition musicale qui compte parmi les plus cultes de l'histoire du cinéma ? John Williams signait là le début d'une collaboration mythique, avec des thèmes devenus aussi connus que le film lui-même, mention spéciale au thème de la Force qui est certainement l'un des plus beaux jamais composés et qui rend magnifique chaque scène où il est placé (le coucher de soleil sur Tatooine ou encore les apparitions vocales d'Obi-Wan). En bref, un film sur lequel tout a déjà été dit et qui risque de fasciner encore et encore des générations par la suite. Un film d'aventure spatiale épique qui a définitivement changé l'histoire du cinéma, ainsi que la majorité des spectateurs qui ont eu la chance de découvrir une telle œuvre lors de leur enfance.


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"The Force will be with you, always."


NOTE : 8,5/10
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar yamaha » Dim 13 Jan 2013, 10:12

:super:

je rêve d' une sortie blu-ray !!

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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar osorojo » Dim 13 Jan 2013, 10:49

Belle critique, écrite, tu as !

Avec des captures finement exécutées en plus, un plaisir de parcourir ton avis :super: On y sent ta passion et on ne peut que se reconnaitre dans ce que tu dis si on est aussi fan de ce concept de la force qui est la pierre angulaire de la saga. Cette idée de héros au sabres laser doués de télékinésie était suffisante pour passionner le plus grand nombre dont je fais partie ! :D

Et j'ai eu la chance de les découvrir gamin, dans les années 90, après un passage dans une espece de foire fouille où mon père avait tilté en voyant ces 3 VHS en solde. C'est marrant, j'suis pas le genre à avoir une grosse mémoire ni à être nostalgique mais je me rappelle très bien cet après midi où on était rentrés chez nous avec les 3 cassettes ^^ Et cette claque que j'ai prise quand on les as matés en famille, je crois que c'est également l'une de mes premieres recontres passionnelles avec le monde du cinéma.

Alors quelques soient les défauts de cette trilogie, elle aura toujours une place de choix dans mon coeur de passionné :mrgreen:
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Jack Spret » Dim 13 Jan 2013, 11:30

C'est beau tout ce que vous dîtes :oops:

Je vais bientôt avoir l'occasion de me refaire la saga intégrale pour mon plus grand bonheur car l'un de mes amis n'a jamais vu Star Wars :mrgreen:
Il va avoir du mal à prendre sa claque comme nous tous mais c'est une lacune à combler obligatoirement quand tu as 26 ans :D


"- Ça vous dirait un petit échange dans la ruelle, derrière le bar ?
- Si c’est un échange de fluides corporels, je suis pas contre. Mais alors dans ce cas, tu passes devant."
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar osorojo » Dim 13 Jan 2013, 11:33

Héhé, par contre pas évident de savoir dans quel ordre montrer les films à quelqu'un qui n'en a pas vu un seul !

Prelo + trilo ou alors dans l'ordre de sortie ? :p
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Re: [Alegas] Mes Critiques en 2013

Messagepar Scalp » Dim 13 Jan 2013, 11:35

Le mieux c'est de pas regarder la prélo
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