[Alegas] Mes Critiques en 2013

[zack_]

7.5 A Roger! Rien que pour la réal ca vaut clairement plus tout comme l'idée! Putain de film! Putain de Zemeckis! Faut que je défonce un Wacho pour me défouler!

[Alegas]

Comme je le dis, l'idée est pas originale en soi. Ça avait déjà été fait comme concept.

[zack_]

Non mais la technique est bien différente. Ici ce n'est pas qu'un dessin qui réagit devant l'acteur et rajouté mais c'est aussi des décors qui réagissent en fonction du dessin, le tout filmé en motion control. Je pense pas qu'un film est déjà fait ça avant. A te lire on dirait qu'on a vu ça tout les matins au cinéma. Outre le concept y a un véritable environnement toonesque avec un Bob Hoskins au plus haut de sa forme!

[Alegas]

Ah non par contre les interactions tu as bien raison c'est inédit pour le coup (encore qu'en chipotant, Mickey tirait bien la veste du compositeur dans Fantasia) et c'est bien ça que j'adore dans le film.
Après si je mets pas plus, c'est plus une question de script un peu trop simpliste dans son déroulement.

[zack_]

Simpliste mouai et encore. Et puis le juge interprété par Christopher Lloyd!
Mais bon si Mickey il a tiré sur la veste je m'incline


mais tant pis tu coucheras pas avec si l'occasion se présente.

[Alegas]

Jessica. (mon rêve c'est d'avoir une statuette d'elle sur mes étagères)

[zack_]

Perso j'ai celle là (25cm):


Merde ca me donne envie d'avoir celle là de 50 cm

[Alegas]

Lawrence Of Arabia (Lawrence d'Arabie) de David Lean

(1962)

Une grosse claque. Typiquement le genre de films dont on repousse la vision pour une raison ou une autre (dans ce cas précis, la durée du métrage) alors que l'on sait très bien que l'on va voir un classique instantané qui arrive encore à concurrencer la production actuelle. Grande fresque épique qui est avant tout le reflet d'un homme pour le moins énigmatique, Lawrence of Arabia est un film assez étonnant dans le sens où il se révèle bien plus intimiste qu'il n'y paraît. Finalement assez avare en action, le film de David Lean se veut tout d'abord être une film sur la découverte, l'ambition et la chute d'un homme qui en demandait sûrement beaucoup trop dans sa volonté de changer le monde en le marquant durablement de son empreinte. Ainsi, l’œuvre est clairement divisée en trois partie (chacune correspondant aux thèmes décrits ci-dessus) et même si chacune a sa vision propre d'un même univers, le fait est que l'ensemble est d'une cohérence tout simplement géniale.

En ce qui me concerne, j'ai tout de même une large préférence pour la première qui laisse s'exprimer le style contemplatif de Lean qui laisse durer ses plans pour marquer chaque séquence d'une ambiance spécifique (la scène du puit est l'exemple même de cette volonté), et même si les deux autres parties sont excellentes, le fait est que l'ellipse temporelle qui les sépare nuit un peu à l'évolution du personnage dans le sens où l'on a l'impression d'en découvrir un nouveau (une volonté qui marche très bien du point de vue du personnage du journaliste, mais qui nuit un peu à l'attachement vis à vis de T.E. Lawrence). En terme de mise en scène, rien à redire, le film est tout simplement parfait (avec plein de très bonnes idées comme ce raccord avec l'allumette et le lever de soleil) et encore aujourd'hui très impressionnant dans son ambition visuelle. L'autre gros point fort du film, c'est évidemment Peter O'Toole qui est énorme dans le rôle titre, vraiment une très grosse performance. C'est difficile de parler d'un tel film lorsqu'on le découvre pour la première fois, donc je vais la faire courte : Lawrence of Arabia n'est ni plus ni moins qu'un très grand film, l'un de ceux que chaque cinéphile doit voir au moins une fois dans sa vie.

NOTE : 9/10

[Heatmann]

maintenant refait uncharted 3

[Alegas]

Tu m'étonnes, ça va prendre une toute autre ampleur maintenant.

[Jack Spret]

Maintenant, lis Les sept piliers de la sagesse.
Là, ta claque sur Uncharted 3 sera surpuissante

[Alegas]

BILAN MAI 2013

Films vus :

125 : Upside Down, Juan Diego Solanas, 2012, Ciné VOST : 3,5/10
126 : Stoker, Park Chan-wook, 2013, Ciné VOST : 7,5/10
127 : I'm A Cyborg But That's OK, Park Chan-wook, 2006, Truc VOST : 4/10
128 : JSA - Joint Security Area, Park Chan-wook, 2000, Truc VOST : 8,5/10
129 : Edward Scissorhands, Tim Burton, 1990, DVD VOST : 6/10
130 : Jurassic Park, Steven Spielberg, 1993, Ciné 3D VF : 8/10
131 : Trainspotting, Danny Boyle, 1996, DVD VOST : 7,5/10
132 : Lilo & Stitch, Chris Sanders & Dean DeBlois, 2002, DVD VF : 4/10
133 : Nomads, John McTiernan, 1986, Truc VO : 2,5/10
134 : Le Président, Henri Verneuil, 1961, Truc VF : 7/10
135 : Trance, Danny Boyle, 2013, Ciné VOST : 6,5/10
136 : The Great Gatsby, Baz Luhrmann, 2013, Ciné 3D VOST : 7,5/10
137 : Sunshine, Danny Boyle, 2007, Blu-Ray VOST : 9/10
138 : Slumdog Millionaire, Danny Boyle, 2008, Blu-Ray VOST : 6/10
139 : Mama, Andres Muschietti, 2013, Ciné VOST : 3/10
140 : Any Given Sunday, Oliver Stone, 1999, Blu-Ray VOST : 7,5/10
141 : Who Framed Roger Rabbit, Robert Zemeckis, 1988, Blu-Ray VOST : 7,5/10
142 : Snitch, Ric Roman Waugh, 2013, Ciné VOST : 5/10
143 : Lawrence Of Arabia, David Lean, 1962, Blu-Ray VOST : 9/10
144 : Fast & Furious 6, Justin Lin, 2013, Ciné VOST : 5,5/10
143 : Only God Forgives, Nicolas Winding Refn, 2013, Ciné VOST : 4/10
144 : Inside Llewyn Davis, Joel & Ethan Coen, 2013, Ciné VOST : 7/10
145 : The Thin Red Line, Terrence Malick, 1998, Blu-Ray VOST : 10/10
146 : The Great Gatsby, Baz Luhrmann, 2013, Ciné 3D VOST : 8/10
147 : Die Hard, John McTiernan, 1988, Ciné VOST : 9/10
148 : The Hunt For Red October, John McTiernan, 1990, Ciné VOST : 8,5/10
149 : The 13th Warrior, John McTiernan, 1999, Ciné VOST : 9/10
150 : Star Trek - The Motion Picture, Robert Wise, 1979, Truc VOSTA : 3/10
151 : Die Hard With A Vengeance, John McTiernan, 1995, Blu-Ray VOST : 9/10



Découverte du mois :




Autres découvertes marquantes :

[Alegas]

Fast & Furious 6 de Justin Lin

(2013)

Sympa sans plus. Comme pour le cinquième volet j'ai décidément du mal à comprendre l'engouement autour d'un tel film qui, malgré sa générosité, manque clairement d'un véritable savoir-faire pour s'imposer comme un film d'action digne de ce nom. On se retrouve donc avec exactement les mêmes défauts que le précédent, à savoir un script écrit à la truelle. Nouveau bad-guy qui ne représente jamais une menace, ancien personnage qui souffre...d'amnésie (ça faisait longtemps qu'on nous l'avait pas faite celle là), une volonté de transformer le groupe en véritable famille mais qui ne fonctionne jamais, et des séquences d'action qui sont obligées d'en faire des tonnes pour être justifiée (et là encore autant les séquences sans CGI comme la poursuite de Londres passent bien, autant le climax final et le saut au-dessus du vide sur l'autoroute sont vraiment pas jolies à voir). Justin Lin livre du boulot correct mais contrairement à des mecs comme John McTiernan, ça n'est jamais de la mise en scène réfléchie et forcément ça se voit à l'écran. Alors autant je ne dirais rien sur la lisibilité puisque c'est quand même bien mieux que la plupart des productions actuelles de ce genre, mais le montage est vraiment le gros point faible de cet opus qui base justement ses séquences sur une alternance entre plusieurs points de vue. Clairement pas un film désagréable donc, mais faut quand même pas pousser le bouchon : le film sera oublié dans dix ans et ne sera jamais cité comme l'égal d'un certain Die Hard (kassdédi).

NOTE : 4,5/10

[Scalp]

Rendez vous dans 10 ans

[Heatmann]

clair

dans 10 ans , il sera toujour l'une des reference de l'action , puisqu'il l'est instantanement , cqfd . ( apres , on a le droit de pas aimer hein , mais faut pas occulter ce que fait le film sur le compte de ces pti gout perso , bisoux )