L'etalon Noir
7/10
Un classique toujours aussi beau et magique, un récit d’un grande simplicité mais aux thème fondamentaux qui plonge dans les recoins de nos instinct et l’imaginaire ancestrale, du coup, pourtant datant de 1979 , le temps a aucune emprise sur black stallion .
A mi chemin entre War horse (référence évidente a la limite de scène recopier dans sa 1er partie , mais c’est pas un mal , Steven l’a revendiquer et on comprend pourquoi ) , cast away et life of pie pour ce qui est de sa partie central façon survival animalier , la quête de compréhension , d’amitié , de respect de l’animal et forcement rite de passage a l’adolescence sont ici mêler a une pure aventure faite d’île déserte , de bateau qui sombre ( scène toujours aussi puissante , graphique qui impressionne encore comme un bon film catastrophe ) de sauvetage improbable avec retour héroïque et découverte d’un nouvelle figure paternel qui prend les trait d’un vieil homme cachant un secret dans sa grange , bref , il y a du stand by me aussi ici même si ici c’est plus un conte ayant un contexte réaliste comme une légende ou bedtime story a raconter au coin du feu .
Régulièrement citer comme une source d’inspiration et même un modèle du genre par des cinéastes comme Spielberg et Scorsese pour ce qui est de la narration par l’image et la photographie Hautement réfléchis, picturalement édifiante de beauté plastique, le film réussit encore de nos jours a nous stupéfier par la leçon de cinéma qu’il inflige.
Faut dire que pendant 50 minute le film est quasi muet , et puis de toute façon sur la totalité du film , les scène de dialogues sont réduit au strict minimum , il y en a une poigner au début et quelque échange verbaux dans la 2eme partie , mais sinon tous passe par un montage et un cadrage qui sert de langage filmique et par un énorme travaille de mixage sonore avec des bruitages et musique racontant tout ce qu’il reste a raconter .
Bon alors ici les enjeu et la dramatisation sont réduit au minimum , c’est clairement l’optique du film et pas gênant , mais bon le coter expressionnisme et naturalisme fait qu’on regarde ça subjuguer , un flot d’émotion simple et touchante mais il n’y a pas plusieurs niveau de lecture ici , et la 2em partie une fois revenue a la maison chez maman , même si elle continue dans l’image de la découverte et l’émerveillement , ben c’est beaucoup moins classe et cède a la faciliter et prévisibilité . Une fois la relation établit avec le perso de mickey rooney ( vraiment superbe interprétation ) et le but de la course hippique en place , le film se conclut rapidement et sans l’étincelle qui marque sa 1er partie . alors la course est filmer de façon magistrale aussi ( variation entre vue a la 1er personne super immersive et toujours ces travelling ultra cadrer et visuellement proche de peinture équestre ) .
Le gamin qui est au centre évidemment du film est pas du tout tête a claque comme ça peut souvent être le cas , il a du être caster pour ces qualités de monteur parc que toute les « cascades » sont filmer en plan large sans doublure , c’est assez épatant , mais dans la 2em partie j’ai pas trop compris pour il la joue autiste , clairement on voit que ça arrangait bien la production qu’il n’est pas a ouvrir trop la bouche ! le black stallion quand a lui est sublime , vraiment , par contre les bruitage date un peu et on dirait plutôt un cochon qu’on égorge .
Comme je le disait , si celui-ci est un peu la version war horse de stand by me , alors ca suite judicieusement intituler the return of the black stallion change carrement d’oriantation et la on a un pur produit 80’s estampiller amblin avec des aventure a la indiana jones et goonies entre l’enfant et sont cheval , c’est different mais bien cool aussi .
Bref , un film que tous les enfants de 10 ans doivent voir a tout prix pour continuer de rever et s’evader pendant 1h40 d’onirisme et optimisme qui fait du bien et que tout les papa amateur d’aventure devrait regarder en leur companie pour se rendre compte ce qu’est une lecon de cinema qui raconte une histoire et le met en image a la perfection . Dommage qu’il n’y est pas plus de matiere , de profondeur et que la derniere partie sonne comme une concession faite au producteur pour pas trop sortir un OFNI , sinon on avait un chef d’œuvre .