Le complexe du castor - Jodie Foster
Beau, juste et réellement intelligent dans sa façon d'aborder son sujet.
Une excellente surprise.
8/10
Kaboom - Gregg Araki
Plutôt cool.
7/10
Woman's snake curse - Nobuo Nakagawa
6,75/10
Matango - Ishirō Honda
Une sorte de Kaji eiga où le monstre serait ici remplacé par un bon gros enfoiré de champignon hallucinogène.
Un peu couillon mais ça a son charme.
6/10
Stray cat rock : sex hunter - Yasuharu Hasebe
Du sympathique pinky violence. Le début est un peu relou car un peu trop psychédélique pour moi ( après une matinée de taff ça assomme un peu ) mais la seconde partie du film est quand-même bien cool même si ça manque tout de même de sang et de boobs.
Autre petit regret, le perso de Meiko Kaji est traité de façon un peu trop vulnérable à mon gout et moi Meiko là où je la kiff vraiment c'est dans ses persos de femmes fortes, sans peur et sans pitié, du genre à imposer sa loi...
6,25/10
Wet & rope - Kôyû Ohara
6,25/10
Stake land - Jim Mickle
À la fois road movie, film de vampire et film de zombie dans un contexte post-apocalyptique, c'est loin d'être totalement maitrisé mais putain que c'est beau, nerveux, sans concession dans l'horreur ( c'te putain d'intro ! ) et donc particulièrement jouissif.
7,75/10
La marque - Val Guest
Légère déception pour cette seconde vision. Si ça reste une très bonne série B de SF parano je ne me souvenais pas que c'était narrativement aussi inaboutie avec de nombreuses ellipses et autres facilités scénaristique.
Heureusement, réal et bande son sont au top et le rythme particulièrement soutenu fait que l'on a jamais le temps de se faire chier.
7,5/10
Les monstres de l'espace - Roy Ward Baker
Celui-ci par-contre est exactement tel que je m'en souvenais, c'est à dire intéressant est plutôt bien torché mais selon moi totalement plombé par des décors et maquettes particulièrement vulgaires, ce qui fait que tout sonne faux et il est donc difficile de vraiment rentrer dans le film.
6/10
Silent rage - Michael Miller
Bon ptit film fantastique dans la veine du cinoche de Larry Cohen ou des premiers Romero. Une caméra en vue subjective qui aide bien à l'immersion, une certaine efficacité à proposer des scènes chocs et un Chuck en forme.
De quoi passer un bon moment.
6,5/10