[alinoé] Mes Critiques en 2012

Modérateur: Dunandan

Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar Heatmann » Jeu 23 Fév 2012, 23:11

pis manhunter c'est un sacrer film tres riche , un vrai puzzle psychologique qui a tout juste recement livrer ces dernier secret niveau couche de lecture

suite au commentaire audio de Mann sur l edition speciale DC en dvd , il lache des ptite info troublante et au final en remettant le puzzle en place , ca revele une toute autre intrigue superposer sur celle plus en surface ...

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Exilé - 9/10

Messagepar alinoe » Dim 26 Fév 2012, 13:54

Exilé

Réalisé par Johnnie To

Avec Anthony Wong, Francis Ng, Simon Yam, Nick Cheung, Roy Cheung, Lam Suet

Polar et Western, HK, 1h40- 2006

9/10

Résumé : Wo a quitté le milieu pour se retirer avec sa famille à Macao. Quatre tueurs venus de Hong Kong se retrouvent devant sa porte, deux d’entre eux ont pour mission de le liquider et les deux autres sont venus pour empêcher son meurtre…


Exilé n’est pas la suite de The Mission et pourtant tout concourt à créer un lien entre ces deux œuvres majeures de Johnnie To. En premier lieu, la présence au générique des mêmes acteurs dans des rôles quasi similaires de tueurs à gages, en second lieu une totale similitude des thématiques principales : des hommes qui doivent choisir entre le respect du code d’honneur de la triade et la loyauté envers des amis. La scène d’introduction de Exilé au cours de laquelle deux équipes de professionnels se jaugent et s’opposent est un véritable reflet de la scène finale dans le restaurant de The Mission avec les mêmes enjeux et la même tension. La scène où Cat tire sur une cannette pour éloigner le sergent Chan rappelle la dextérité de la scène de foot avec une balle de papier dans The Mission et fait le lien avec la scène des chapeaux entre Le Manchot et Mortimer dans Et pour quelques dollars de plus. Car dans Exilé, To joue non seulement avec les références de ses propres films, mais il va beaucoup plus loin, en mariant les codes de ses polars urbains à ceux du western spaghetti.


L’ombre de Leone plane sur le film, dans les dialogues, dans les duels, les règlements de compte et dans les couleurs d’ocres qui baignent les paysages de Macao dont le style architectural entre influence orientale et portugaise devient le cadre idéal de ce western urbain. Un homme joue de l’harmonica autour d’un feu de camp, des « pistoleros » / tueurs à gages attaquent un convoi d’or, la bande originale s’harmonise avec chaque action et rappelle les mélodies d’Ennio Morricone. Le final d’Exilé est un véritable hommage à celui d’ Il était une fois dans l’Ouest. Dans les deux films, la femme de petite vertu rafle le magot. Dans ce contexte en pleine mutation, fin de l’Ouest sauvage et avancée de l’esprit d’entreprise / rétrocession de Macao et nouvelles alliances du crime organisé, les chasseurs de primes / les tueurs à gages avec leurs codes d’honneur appartiennent au passé et sont voués à disparaître.


Bien sûr Johnnie To n’oublie pas ses fulgurances formelles et l’on retrouve sa dynamique de l’immobilisme si particulière dans trois exceptionnelles scènes de « gunfight ». Le temps se dilate et chaque mouvement semble se figer dans un instant de flottement qui pourrait symboliser l’incertitude ambiante de la rétrocession. Chacune de ces trois scènes de « duel » est un exercice de style totalement maîtrisé qui contraste merveilleusement avec le chaos qui règne sur les lieux (appartement, restaurant ou hôtel) mis en valeur par des jeux de lumières et de fumées. La dimension tragique et le lyrisme de la violence qui nimbent ces trois grands moments du film, rappellent par quelques aspects le western crépusculaire de Peckinpah. Des moments de bravoures à la violence sans concession qui enchaînent avec des moments profondément sereins (emménagement, repas, séance photo, feu de camps) et confèrent au film une aura presque surréaliste, une touche d’humour et un intense sentiment de désenchantement. Macao apparaît comme un territoire cloisonné où les adversaires sont fatalement obligés de se croiser dans un ballet de plus en plus dangereux et funeste (restaurant, appartement du docteur, hôtel). Une impression de claustrophobie parcourt le film.

A retenir également, les interprétations inspirées de Simon Yam déjanté et charismatique, de Francis Ng tout en intensité presque mesurée, à la limite de l’explosion, de Nick Cheung entre fatalité et détermination, d’Anthony Wong celui qui doit choisir et réussit à transmettre tout un panel d’émotions contradictoires tout en restant quasiment impassible. S’ajoutent Lam Suet et Roy Cheung en partenaires à la fidélité sans failles, Richie Ren l’élément comique du film et Josie Ho la femme dont le désir de vengeance déclenchera un engrenage fatal.

Exilé est une œuvre magistrale qui mêle subtilement polar et western, action et mélancolie, humour et tristesse, nostalgie et liberté sur fond d’amitié fraternelle.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar Killbush » Dim 26 Fév 2012, 15:18

Excellente critique très pertinente, comme toujours :super:
Starting to see pictures, ain't ya?
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar Mark Chopper » Dim 26 Fév 2012, 15:49

Yep, ça c'est de la bonne critique qui donne envie de revoir le film :super:
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Voyeur (Le) 1960 - 7/10

Messagepar alinoe » Mer 29 Fév 2012, 16:46

Le Voyeur

Réalisé par Michael Powell

Avec Carl Boehm, Anna Massey, Moira Shearer, Maxine Audley

Thriller, UK, 1h37- 1960

7/10


Mark Lewis, opérateur sur un plateau de tournage, fait aussi des extras comme photographe de nus vendus sous le manteau dans des kiosques à journaux. Fasciné par l’image, obsédé par la peur, la caméra toujours à portée de main, il filme l’agonie de ses victimes…

Découverte de ce film considéré aujourd’hui comme une œuvre majeure dans la filmographie de Michael Powell et dont la légère tendance « snuff movie » avant l’heure et le côté « slasher » mirent un terme à la carrière du réalisateur. Je peux comprendre le choc que représenta à l’époque cette étude de la perversion de l’image et de la violence sexuelle qui disait au public que le cinéma est l’art du voyeurisme (le tueur visionne ses meurtres assis dans un fauteuil de réalisateur et son antre à tout d’un studio de montage). Cependant, aujourd’hui, à l’heure de l’ultra médiatisation et du règne de la télé réalité qui permet à chacun de mettre en scène sa vie, ses passions… voire même sa mort devant l’œil de la caméra, le pouvoir de choquer ou le côté malsain et perturbant des choix de mise en scène du film sont considérablement amoindris.

Il reste essentiellement un film qui propose une mise en abîme sophistiquée des névroses d’un serial-killer et qui semble nous alerter sur le pouvoir trompeur de l’image. La scène d’introduction subjective plonge le spectateur dans l’objectif de la caméra, il devient littéralement un voyeur qui observe la peur qui submerge la victime qui se regarde mourir. La caméra et la lumière qui captent l’attention du public dans les salles obscures et sont sources de fascination deviennent des instruments de perversion et de mort. Une image trompeuse, comme celle de ce jeune homme (prodigieux Carl Boehm) charmant et plutôt timide, tout à la fois victime et dangereux meurtrier qui réussi à susciter la répulsion mais aussi de la sympathie alors qu’il est pleinement conscient de ses actes criminels. Powell nous fait ressentir de l’empathie pour son serial-killer. Le Voyeur n’est pas un thriller, c’est un film qui oscille entre sordide et romantisme et semble nous interroger sur la nature du voyeurisme. Qu’êtes-vous prêt à regarder pour satisfaire votre curiosité ?

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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar Kakemono » Mer 29 Fév 2012, 19:19

Un Powell avec une excellente réputation mais que j'ai trouvé un peu décevant pour les mêmes points que tu soulignes. :super:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar Alegas » Mer 29 Fév 2012, 19:31

Son défaut en fait c'est de pas être à la hauteur de son intro. C'est finalement la seule réelle scène marquante du film, non seulement par sa technique mais aussi sa façon malsaine de montrer le voyeurisme, le reste du film est un peu trop sage sur les deux points.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar alinoe » Jeu 01 Mar 2012, 20:17

Bilan du mois de Février


11 films vus dont 6 découvertes
Moyenne : 7,57


Découvertes


-7h58 ce samedi là (DVD) : 6/10
- Le Doulos (DVD) : 8,75/10
- Le Casse de Central Park : 4/10
- La Taupe (Ciné) : 7/10
- Le Voyeur (DVD) : 7/10
- The Artist (Ciné) : 9/10


Films revus

- Double détente (Blu Ray) : 7/10
- Assaut (Blu Ray) : 8,5/10
- Le Sixième sens (DVD) : 8/10
- Le Cercle rouge (Blu Ray) : 9/10
- Les Aventures de Tintin : le secret de la Licorne (Blu Ray) : 9/10


Films du mois

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Espions sur la Tamise - 7,5/10

Messagepar alinoe » Ven 02 Mar 2012, 20:50

Espions sur la Tamise

Réalisé par Fritz Lang

Avec Ray Milland, Marjorie Reynolds, Hillary Brooke, Carl Esmond, Dan Duryea, Percy Waram
Espionnager, USA, 1h24- 1944

7,5/10

Résumé : Londres durant le Blitz. Lors d’une fête foraine, Stephen Neale gagne un gâteau qui va l’impliquer, malgré lui dans une bien mystérieuse série d’évènements…

Un film d’espionnage à l’intrigue et au suspense très hitchcockien qui rappelle par bien des aspects Les 39 marches (complot, organisation secrète, faux coupable) et la première version de l’Homme qui en savait trop.

Fritz Lang participe à l’effort de guerre en proposant cette œuvre de propagande qui partage une certaine parenté avec les films de la série Sherlock Holmes interprétés par Basil Rathbone et Bruce Nigel (atmosphère légèrement gothique avec des ruines et des marais embrumés empruntés aux films de monstres du Studio Universal, mêmes acteurs de seconds rôles, un ton décalé parfois loufoque qui contraste avec le contexte dramatique : la Seconde Guerre Mondiale). Le film est parcouru par une belle galerie de personnages farfelus : faux aveugle, voyantes, détective privé qui refuse d’être assimilé à Sherlock Holmes ou encore tailleur à l’impressionnante paire de ciseaux qui évoquent les goûts du réalisateur pour les atmosphères étranges (séance de spiritisme, caprice du hasard, paysages nimbés de fantastique…) et surtout pour les apparences trompeuses. Nul n’est vraiment ce qu’il paraît être, pas même le héros hanté par un passé trouble. La psychanalyse s’invite dans le scénario, à travers le travail de reconstruction du personnage principal qui sort d’un long séjour dans un asile. Son désir de s’affranchir du poids de son passé devient une allégorie de l’Angleterre qui voudrait se libérer du fardeau de la menace nazie.

Les rebondissements se succèdent sur un rythme soutenu avec comme toile de fond la vie quotidienne des londoniens sous le feu des bombardements. En quelques images, Fritz Lang parvient à nous retranscrire l’atmosphère du « Blitz » entra fatalisme et surréalisme : les rues dévastées, les immeubles en ruine, les usines en feu, les habitants qui sortent en pyjama avec animaux de compagnie, oreillers, couvertures, nécessaires de toilette… pour dormir jusqu’à la fin de l’alerte dans les sous-sols du métro).


Le film est magnifié par la photographie d’Henry Sharp entre expressionisme et film noir qui lui confère une ambiance mystérieuse et inquiétante avec ses contrastes, ses jeux de miroirs, d’ombres et de lumières qui mettent en valeur les paysages nocturnes, les décors, les visages et de superbes femmes fatales. Ray Milland est parfait dans le rôle de Stephen Neale, un homme ordinaire confronté au danger et accablé par les apparences, Erskine Sanford est génial dans le rôle d’un détective privé truculent, Percy Waram campe un inspecteur peu banal et Hillary Brooke est sublime en femme fatale. J’ai un peu plus de réserve sur Marjorie Reynolds dans le rôle de la femme salvatrice dont la prestation est bien inférieure à celle de ses homologues hitchcockiennes (Madeleine Caroll ou Nova Pilbeam) et je trouve Carl Esmond et Dan Duryea quelques peu transparents dans leurs rôles respectifs. Je regrette aussi la scène finale qui ressemble à un ajout de dernière minute et qui ne s’accorde pas avec le ton du film.


Espions sur la tamise n’est pas une oeuvre majeure dans la filmographie de Lang, mais le film mérite cependant d’être découvert et d’avoir une place de choix parmi les films d’espionnage de l’époque.

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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar Kakemono » Ven 02 Mar 2012, 21:55

Un film que je dois voir absolument, j'adore Fritz Lang et si en plus ce film rappelle Les 39 Marches (mon Hitchcock préféré), c'est typiquement pour moi. :super:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar Scalp » Sam 03 Mar 2012, 07:54

Il a l'air pas mal celui là, faut que je me le mate.
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Délivrance - 5/10

Messagepar alinoe » Dim 04 Mar 2012, 09:35

Délivrance

Réalisé par John Boorman

Avec Jon Voight, Burt Reynolds, Ned Beatty, Ronny Cox
Thriller, USA, 1h49- 1972

5/10


J’avais le souvenir d’un film pénible et long, ce revisionnage à confirmer cette crainte. J’aime bien la première partie du film baignée par la lumière et la beauté des Appalaches ou par la richesse de l’univers sonore. Un retour aux sources nimbé d’une tendance rousseauiste malheureusement gâché par l’introduction de stéréotypes affligeants. Les autochtones forcément difformes et dégénérés par la consanguinité, un conflit entre l’homme civilisé et l’homme sauvage sans aucune nuance. Franchement déplorable ! A partir du moment où l’intrigue bascule dans le Survival basique avec des réactions et comportements peu crédibles et totalement clichés, j’ai commencé sérieusement à regarder ma montre. Boorman sait filmer la sauvagerie de la nature (rivière, forêt) mais pas vraiment la barbarie de l’homme (notamment la scène du viol bien plus ridicule que perturbante) et il ne parvient pas non plus à insuffler une ambiance oppressante ou une impression de danger et de peur, on ressent juste l’isolement et surtout un profond sentiment d’ennui. Ils sont où le suspense haletant et la tension insoutenable vantés par la jaquette ? Indéniablement aux abonnés absents ! Tout est tellement prévisible dans ce film (accidents, violence, blessure, mort). Malgré les évènements, il ne se dégage aucune empathie envers les personnages, tout simplement parce que le réalisateur s’intéresse plus à sa photographie ou à la mise en scène d’un environnement qu’à ses personnages. Les locaux sont des caricatures totalement grotesques ! Je ne trouve pas les quatre acteurs (Voight, Beatty, Reynolds et Cox) très convaincants. Les réactions manquent d’intensité ou versent dans la sensiblerie à outrance et certaines sont totalement incohérentes (une fracture ouverte qui semble peu faire souffrir, un homme bafoué dans sa virilité qui ne donne pas l’impression d’être vraiment affecté…). En matière de revanche expéditive et d’instinct de survie, il y a bien meilleur que ce film (Get Carter version 1971, Un justicier dans la ville, Mad Max, Kill Bill ou Il était une fois dans l’ouest).


Délivrance commence comme une parabole écologiste qui se mue en barbarie dont je retiens essentiellement la scène du banjo et quelques beaux paysages. Les pistes de réflexion sur le rapport de l’homme à la nature (cruauté, instinct primaire, l’homme livré à la nature puis à lui-même) sont noyées par des banalités et des poncifs horripilants. Ne fuyez pas la civilisation, ne tentez pas de vous purifiez avec l’air vivifiant de la nature et de vous confrontez à sa grandeur, restez dans vos jungles urbaines polluées où vous ne vous ferez pas sodomiser par des bouseux de Géorgie. Magnifique !!!
Précurseur du Survival, Délivrance, l’est sans doute, mais heureusement pour le genre, beaucoup des films qui lui ont succédés sont bien plus nerveux et ont su véritablement distiller tension et effroi.
Je préfère nettement la bonté naturelle héritée de Rousseau qui se dégage de la Forêt d’émeraude, que le pseudo discours hérité de Hobbes sur la nature, sans loi et sans justice où l’homme est un loup pour l’homme qui se dégage de ce si mollasson et si peu passionnant Délivrance.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Dim 04 Mar 2012, 10:33

As-tu vu La classe américaine ?

Sinon tu as mis parfaitement en valeur les raisons pour lesquelles on peut détester ce film, donc pas de soucis. Je l'aurais par contre rapproché de films tels que Massacre à la trançonneuse ou La colline a des yeux. Car finalement la similarité entre ces films est très forte, hormis l'univers écologiste du réalisateur.

Personnellement, je l'aurais donc plus vu à un niveau symbolique, mais c'est vrai que les personnages sont hyper caricaturaux, d'un côté comme de l'autre. Et j'aime Hobbes. :mrgreen:
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar alinoe » Dim 04 Mar 2012, 10:58

Je n'ai pas vu la Classe américaine.
Lorsque je dis "Précurseur du Survival, Délivrance, l’est sans doute, mais heureusement pour le genre, beaucoup des films qui lui ont succédé sont bien plus nerveux et ont su véritablement distiller tension et effroi". Je pense effectivement à Massacre à la tronçonneuse (1974) et La Colline à des Yeux (1977).
C'est pour l'aspect revenge's movie que je le rapproche de Get Carter et cie.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar Scalp » Dim 04 Mar 2012, 11:01

Euh la Colline a des Yeux de Craven c'est de la grosse grosse daube, c'est bien plus chiant que Delivrance quand même.
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