Tree of life
9/10
J’ai vue the tree of life … indeniablement une “ experience”, profondement egoiste et solitaire j’ai envie de dire , car c’est vraiment un trip personnel , j’ai pas vraiment envie d’en parler enfait . C’est un truc qui se vie de l’interieur , on y interpreter et vibre et reagit a ce qui les images nous evoque , et meme si le coter terre a terre critique revient un peu au galop au ¾ du film , faut reconnaitre que tree of life hante l’esprit et la corde sensible avec une intensiter viscerale . je me plis au “compte rendue” plutot que critique . Jamais cette annees et meme depuis tres longtemp un « film » ou temoignage artistique ne m’avait fait ressentir autant de chose , clairement le morceau de cinema qui ma bousculer les emotion et fait ressentir le plus de chose ..
Les fan pur et dur on rejeter la comparaison ou filiation , moi perso j’ai ressentie au cœur de tree of life ce que j’ai ressentie dans le passer dans les grande œuvre de kubrick , avec evidement la malick’s touch’. Pour moi c’est clairement le realisateur qui maitrise le mieux le placement et utilisation de music classic . Encore une fois comme dans The new world , ici il met du mozart , du bach et ca decuple la puissance et vibre dans nos entrailles .. rajouter a ca une demonstration de fluidites de camera , j’ai rarement été temoin d’une steadycam si ample , souple , virevoltante , on croirait qu’on vole entre les scene et les decors avec grace , peu de coupure , c’est vraiment elegant , majestueux , lent dans ces deplacement , toute les scene avec pitt et ces enfant dans leur maison ainsi que celle avec la mere dans le jardin , enfin tout ca quoi , c’est vraiment epoustouflant , on ne resent aucune contrainte technique comme si on traversait les element et qu’on allait ou on voulait , un feeling incomparable .
A coter de ces envoler lyrique on clash avec un estetique symetrique parfait avec les mise en images des passage mettant en scene sean penn . l’architecture prend alor la place 1er a l’ecran , des composition ultra sophistiquer , des jeu de reflet , de contre-jour , bref on pourrai decomper tout le film image par image et remplir une gallerie photo avec , une merveille pour les sens c’est evident , et visuellement l’impact y est la plus frapante . En plus ce que j’ai bien aimer c’est que justement ca se la joue pas beau en etant « facile » avec une photo ultra travailler a la kakou , c’est l’inverse , c’est beau mais c’est « pur » , pas d’effet trop tape a l’œil , comment embellir ce qui l’est déjà avec le minimum de respect .
Malgre une narration presque abstraite et des choix de montage qui recelle moult secret j’ai quand meme été tres vite absorber par le film , tout le debut c’est un must , tout ce qui est presentation et devellopement des perso de facon classic vole par le fenetrer , avec la pudeur et justesse de malick , ici , on en a franchement pas besoin . un scenario vide ? non , c’est juste que pour une fois le travaille ne nous est pas macher et livrer comme a de simple zombie hypnotiser par l’ecran . Meme la fameuse transition a l’opera galactic facon big bang qui debouche sur la toute petite partie dinosaure-cellule-evolution-creation c’est vachement classe et un mec sans la phylosophie de malick aurait facilement pue rendre ca indigest , ici ca coule presque de source .
Les aller retour avec penn et pitt sont un poil destabilisant vers la fin du film , quelque symbolique et metaphore un poil appuyer ou alors a l’inverse un peu trop evasive … jusqu'à la c’était vraiment presque parfait niveau trip interne , apres les 1h30 je trouve que ca pietine et perd de puissance jusqu'à la barre des 2h pour enfin finir sur 10 tres tres belle minute sur la place … le coter drame famillial s’imbrique sublimement dans ce grand tout qui nous entour et nous fait , j’ai rarement sentie autant de sinceriter dans la representation d’un famille au cinema , aussi dysfonctionel soit-elle . Pitt est tout bonnement epatant , reelement estomacant , je croit que c’est LE film ou j’ai jamais vue brad pitt a l’ecran , mais belle et bien ce père qui montre mal sont amour pour ces fils, un personnage fascinant qui est loin d’etre le simple père a la dure, il a vraiment plus que ca a dire pour lui , moi c’est directement a lui que je me suis le plus identifier , meme si il est tres facile de faire de meme avec les fils, ce qui prouve comment c’est tres fort , tout ca avec le minimum de dialogue . Pourquoi ? parcque malick film et retranscrit de veritable moment de vie aussi bien personnel a chacun que universel , des truc qui cause a tout le monde , du vecue sincere , enfoui et souvent meme oublier . malick capture des regards , des situation qui se passe de sulignage et d’explication academique , d’ailleur la mort du fils a la piscine et l enterrement qui suit aurait tres tres facilement etre bien plus pathos , lourdeau et incister dessus , mais la non , c’est fait est traiter au meme niveau que le reste et du coup quand eclate pitt a table quand sont fils lui demande de se taire, la on est submerger par un flot d’emotion tent c’est a fleur de peau et que les reaction qui s’en suivent sont humaine et veritable .
Tout les gosse sont geniaux , prenez ca dans le cul la bande de morveux de super 8 quoi !! jessica chastain elle ma clouer , quelle regard qui en dit long , la direction d’acteur sur se film ( tout comme elle l était dans thin red line et new world ) est tout bonnement hallucinante , impatient de voir affleck vue par malick et bale revenir chez le real pour un vrai 1er role .
Que dire d’autre ? ah oui le fameux message religieux qui me fesait tent peur que ca . eh ben enfait c’est vraiment soft de ce coter la , on peut vraiment y voir ce qu’on veut , c’est de la mauvaise foie pur et simple que d’avoir chier sur le film a cannes comme etant une evangile filmique bobo-arty-hippie . Serieux moi je suis tout sauf croyant , catholique ? kesako ? dieu ? non merci , on verra plus tard . et pourtant les breve allusion faite dans le film sont pertinente et encore une fois puisent dans l’inconscient commun et universel , car dans les moment les plus triste, les plus sombre, les plus noirs, les plus solitaire, les plus deseperer , quesqu’on fait au final ? on leve la tete au ciel en esperan une reponse, un soulagement , un signe …