[Heatmann] Mes Critiques en 2011

[Scalp]

Ce film a un petit statut un peu surprenant, c'est bien mais voilà alors qu'il est souvent cité comme une valeur sure du genre.

[Heatmann]

exactement , j m attendais a mater a un truc genial , ca a une grosse reput , un film hyper bien conciderer et citer comme la rolls du film de mercs, bon c est sympa et bien grinsant , mais bon comme tu dit , voila quoi , jamais je peut mettre 7 .
je prefere le Navarone 2 meme , le norht sea highkack avec moore aussi et sea wolf avec peck et niven ( du meme real d ailleur ) , ou meme l expres de von ryan ... mais bon , un bon pti moment quoi , je verrai pas le 2 par contre

[Scalp]

Pas vu le 2 mais il a une sale répute, Navarone 2 j'aime beaucoup aussi ( petit coté nostalgique pour celui là c'est le premier film de guerre que j'ai vu ).

[Heatmann]

ben navaronne 2 je l ai decouvert y a pas si longtemp et il a bien marcher direct, donc il viellit tres bien me reste a voir le dog of war avec walken la , surement ce soir d ailleur , et la aussi , il a une belle reput donc j en attend quand meme au moin mieu que wild geese ( qui reste sympa quand meme hein )

[Scalp]

Sympa sans plus le Walken aussi, 6, allez 7 grand grand maxi.

[David Banner]

J'ai vu ce film la 1ère fois en 85-86 quand j'étais en vacances chez mon grand-père et grand-mère, j'étais môme mais y a bien des scènes qui m'ont marqué

Quand Roger Moore fout la dope sur la tronche du mec style M.Ironside dans la série V avec la poudre rouge ou le gars qui s'en sort pas à la fin, le perso de Harris je crois...

[Alegas]

L'ENFER DU DIMANCHE

10/10

Oliver stone ( enfin celui jusqu’a alexender quoi ) n’est pas un realisateur comme les autres , des ces 1er films et tout au long de sa carriere il a creer un peu de polemique et surtout beaucoup de reflexion en choississant toujour des sujet d’actualites , des sujet fort non sans taboo , il choisit toujour des sujet qui l’on toucher ou qu il a vecut pour y insuffler sont experience personnel , et les resultats sont pour presque la quasis totaliter , des oeuvre qui marque , subversif , tres stimulante , il y a toujour un peu le partie pris de stone himself , il a pas la langue dans sa poche et se sert de sont art pour le dire . Any given Sunday c’est tout ca a la fois et un peu a part aussi . Ouai comme pas mal d autre acteur ou realisateur , Stone est un artiste de cinema oui , mais ca vrai passion premiere est ailleur . Stone est un cingler de foot US et ce depuis sont enfance, bien avant qu’il ne reviennent du vietnam et se disent qu’il doit en parler au cinema .
Ainsi , en plus de decrire et illustrer un sujet toujour propice a sont dynamitage comme on il en a l’habitude , il nourrit aussi un reve , un projet , un film sur lequelle il a bosser, rechercher, appronfondie , depuis bien plus longtemp que n’importe laquelle de ces autres œuvres , et pis faire un film enfin sur sa vrai passion qu’il connait si bien , c’est un peu l’aboutissement pour stone qui commencait a avoir epuiser les sujet sensible ( bon sont epoper sur alexendre aussi il y pensait depuis des decenie et sera lui aussi un immense film stonien dans toute se splendeur et decadance ) .

Oliver stone et john logan ( putain mais j’adore ce scenariste quoi ) créer un saga sportive et humaine vertigineuse , une plonger dans les coulisses du football professionnel comme il n’a jamais été montrer avant , ultra realiste , dans ces bon et mauvais coter . aussi bien les Fondamentaux sportif , que les dynamique d’equipe , de collectif , les relation entre les different coach ( head , defense , attaque et coordinateur ) et les proprio , les aspect extern avec les agent et les journaliste , les homme politique et les enjeu financier qui sont lies au resulta sportive et inverssement , bref , c’est complet , d’une richesse intimidante, en vivant au cœur de cette equipe sur une petite moitier de saison et 1 tour de playoff , on se prend dans la face un nombre de personnage chacun representatif d’une epoque , d’un style de football et de figure recurrent de l’histoire de la NFL , comme un Ultime resumer qui peut aussi faire office d’introduction , de presentation sans taboo, de compte rendu et de constat , sur ce qu’est la NFL a la fin des 90’s . alors evidement vue le nom de stone et sont envie d etre aussi fidele au jeu qu’a ces derapage, il a pas recut l’avale de la NFL pour exploiter leur nom , leur equipe , mais c est tout comme hein .

Tout au long de sa carriere de scenariste et de realisateur , stone posait ces pti clin d’œil au foot , ces ptites reference dans chacun de ces films , ici , il peut s’en donner a cœur a joie ! Il place déjà sont equipe a Miami ( les sharks ) , ville que stone aime plus que tout ( c’était déjà lui qui avait replacer l’action du remake de scarface en floride pour le coter decadent , tropical , ensoleiller ) et qui offre un cadre visuellement hautement cinematographique et evocateur . Et le parcours des sharks est calquer sur celui des 49ers des 80’s ( avec en vedette la legende Joe montana , tient tient montana ! ) . la plupart des personnage du film ( joueur ou staff ) sont aussi baser sur des perso reel , le premier etant Cap rooney merveilleusement incarner par un dennis quaid touchant , charismatique , un leader naturel dont les doute , l’experience et la luciditer le rende indispensable , baser sur Dan marino ( d’ailleur il ont shooter dans la maison de marino ) le celebre QB des dolphins .

Le casting a ce titre , est un pur boucherie fantasmique . Stone offre le role principale , celui d’un coach aillant connue les plus grande gloire, qui viellisant se trouve decaller avec la jeune generation , a un Al pacino qui inssufle une interpretation tout en nuance et en puissance contenue ou non , depiter, nostlagique , amer, et explosion de temperament , Tony D’amato est lui aussi un amalgame de plusieur coach mais en majeur partie baser sur vince lombardi ( l’annes derniere d’ailleur il y avait un projet de biopic sur lombardi avec Deniro dans le role ). Les dialogues pondue pour l’occasion emprunt forcement de bcp de jargon technique propre a ce sport sont aussi tres mordant et pour le personnage de pacino tres depressif, philosophique , un regard sur une vie , une carriere motiver par un seul but et passion , un personnage complexe qui se revele de plus en plus au film du film .Le passage obliger du speech motivateur avant le match hyper important et ici elever au rang de lecon d’acting et de mise en scenes . le fameux Monologue sur les inches prend au tripes, apres avoir passer déjà 2H avec les sharks , on se trouvent dans le lookeroom a ecouter Pacino et suivre ces directives . Le montage, les choix musicaux , ces plan sur ces visage inspirer , c’est de toute beauter , et l’ecriture est aux pti onions , les mots et metaphore de pacino resonne et prennent un sens et une dimension si touchant et evocatrice qu’il arrive a nous faire crier par soutient et on est pres a sortir faire un foot dans le jardin ! allez on admire ca encore une fois juste pour le plaisir :

tout y ait , acting, montage, musique ... on ecoute et on fremit

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Cameron diaz n’auras presque jamais été aussi juste dans sa carriere ( pas dur ) , elle saisit completement l’essence d’un perso de christina paniacci , qui a autant heriter du club de son papa que de sa poigne de decisionaire et de sa paire de couille . Elle est carrement super credible en patronne tyrannique ultra ambitieuse mais encore une fois , vue la richesse de profondeur de chaque perso, cela ne s’arrete pas la, elle cache aussi une tragedie familliale , un complexe , un manque , qui sont develloper lors de scenes plus intimiste .
James Woods fait encore un de ces second role dont il a le secret , un jolie numero qui reste en tete , le medecin general de l’equipe qui vit lui aussi selon les mœurs de ces star et payer pour arranger ces evaluation . la corruption est partout , et meme si il a peut de temp a l’ecran , il trouve parfaitement sa place dans ce schema choral et apporte encore plus de mordant , de cynisme et d’energie si tent ai que le film en est besoin !


Jamies foxx alors pas encore sous les spotlight d’hollywood , il a déjà sont bagoue et sa confiance en soit , Willie beamen c’est un peu l’histoire de plein de jeune QB black , sont trajet est un peu le point de depart du script et ce qui serviras d’evolution et fait avancer tout le monde , bref en pit branleur qui prend vite la grosse tete , mais qui au contact de tout ces sensei du foot prendra finalement plus de plomb dans la tete que d’ego perso , il se debrouille parfaitement bien . LL cool J est lui aussi comme un poisson dans l’eau , du bling bling , du muscle , il en est capable , et les attitude du rapeur sont adapter au contexte flamboyant de ces coulisses acerbe et sans demi mesure . meme cette andouille de matthew modine arrive a etre bon c’est dire ! La putain de vielle ganache de Jim brown vole la plupart des scene ou il apparait , une force de la nature comme on en fait plus , sa facon de coacher et s’adresser a sa defense c’est priceless ! Meme quand il parle par rien que sa presence fait trembler de respect et pis il a lui aussi quelque jolie scenes de picolle avec pacino et des moment plus emouvant avec sont alter ego sur le terrain , le seul et unique Lawarence taylor !! alors la c’est carrement jubilatoire, bon entre parenthese ca a toujour été mon joueur favoris en NFL , donc le voir dans any given Sunday avoir un role assez consequent et jouant sont propre role ( tout le perso de shark a été ecrit et baser sur le vrai LT et toutes les allusion et reference au perso sont veridique ) ce fut la cerise sur la gateau . Et putain ce salaud joue bien , faut dire que lui aussi c est un monument quoi , pour rappel c est juste un des plus grand joueur de l’histoire en general et LE meilleur defenseur que la NFL est jamais connue, il detient quasiement tout les record en defense et a sont poste qu il a d’ailleur totalment revolutioner et la ligue a meme du changer quelque regler a cause de lui au debut des 90’s suite au blessure qu’il infligait ! Shark est un personnage fort , il echappe pas a l’appat du gain , mais sont sacrifice pour se jeu et ces equipier coute cher, il est pres a payer le prix , LT est inoubliable , thanks again !

Le maitre en action

Lauren holly represente les femme de joueur, elle aussi en peu de scenes impose rapidement grace a une ecriture fine et sciseller et une interpretation tout en poigne une identiter bien tremper qui a doit vivre dans un monde de fric , de mec , mysogine . aaron eackhart recuperait un pti role que tom sizemore avait commencer a tourner mais a du laisser tomber pour cause de probleme medical ( over dose ? ! ) .
Elizabeth berkley est bonne, charlton heston passe en cameo et john ncgingley est la comme dans chaque film de stone .
Tout cette accumulation de personnages est necessaire pour créer cette saga dense et exhaustive , le scenario est vraiment un pur bijou , sur plus de 2h30 stone rend largement hommage au jeu avec des tres nombreuse et longue ( et tent mieux ) sequence de match et de strategie et il reussit aussi a equilibrer dans un fluiditer captivante avec tout les annexe , en se focalisant sur quelque semaine seulement de la vie de ce club , on passe par tout les aspect dans un feu d’artifice constant . Stone ne se renie pas , il a sont style , sa facon de raconter ces histoire, c’est pas le plus subtil dans le sens ou il ne cherche pas a cacher des message ou des sous texte dans des metaphore visuel ou des double sens , non , Stone c est un realisateur tres demonstratif, visuel , tout ce qu il veut dire est afficher cash a l’ecran tel qu’il est et any given Sunday est l’aboutissement de cela .

Un film epique du debut a la fin , il represente et decrit ces joueur comme des gladiateur moderne ( paf on met ben hur bien en avant ) , on film la foule comme le colysee , avant alexander , stone fait son peplum , il sera moderne et tout aussi violent et intense . pour allier sont fond riche en themes actuelle ( corruption , ego , ambition , interressement , decadence ) et eternel ( heroisme , sacrifice , loyauter , solidariter ) ainsi que de vrai valeur bien enfoie en profondeur qui reemerger vers la fin du film et qui brise cette facade qui pourrait paraitre materialiste et simpliste en appararence , Stone , sont DP et sont monteur vont illustrer tout ca par une mise en scenes immersive, virevoltante , brutale , intense , et maitriser jusqu’au bout des doigt , la plus belle demonstration formel de stone , un spectacle ebourrifant qui se renouvelle constament et offre un panel qui donne le tournie . Any given Sunday en met plein les yeux et les oreilles et c est peut de le dire . On est jeter d’entrer dans le film par une intro en plein court de match , en court de saison , pas de presentation classique , c’est le chaos et déjà la , la camera mobile et omnipresente et les raccord explosif ainsi que les effet de ralentie , arret du temp , le son qui s’alourdi , nous font debouler dans un choc des corps brutal et sublime a visioner . quand on parle d’intro choc, faut remater any given Sunday ! chaque match serai ainsi montrer comme des combat de gladiateur et dans le style toujour demonstratif de stone, le perso de james woods l’explique et l’ennonce parfaitement lors de sont altecation avec pacino pendant l’entrainement devant le journaliste. Stone a toujour été enrager, energique ( enfin encore une fois jusqu a alexender ) , et ici il relanche pas la pression pendant la durer fleuve de sa saga . Un putain de film epique au sens propre du mot . les images sont d’une force saississante, le montage est un travaille d’orfevre totalement allucinant , des prise de vue et des effet de style qui scotch les retines .

petit clip sympa

[youtube]6wx6xzpu5ZU&feature=related[/youtube]

Le languague visuelle est un pur perfection car c’est jamais de l’esbrouffe gratuite , tout est toujour en relation avec le rythme de la scenes, sont placement dans la chronologie du film , sa valeur emotionel . l’intro est plus chaotique et abstraite que le dernier match qui s’etend sur plus de 25 minute et qui fait preuve de plus de rigueur autant de la part de joueur que de la realisation . C est un parfait reflet de la forme et du fond , voila l un des secret de la puissance et la reussite du film ! Salvatore totino s’amuse avec de beau eclairage tamiser quand pacino deprime autour d’un Jd avec jim brown au bar du coin , il monte un clip R’nB qui s’enchaine hyper bien avec la structure narrative des scnes precedante . les entrainement , barbecue et meditation d’avant match dans les vestiaire sont plus calme , comme de pti havre de paix qu’ils sont . Les orgie nocturne sont demesurer et outrageusement demonstrative , et pis en dehors du speech de pacino , stone de paye aussi de jolie moment langoureux et juste beau comme se long epilogues alors que les credit defile , on est encore sous le choc de ces 155 minutes de folie et juste avant d’appuyer sur le bouton , on passe un dernier moment avec D’amato qui fait sont bilan et conlue de la plus belle manière .
Et aussi surpenant et over the top que cela puissa paraitre , tout les fait divers et peripeties du film sont toute baser sur de vrai fait survenue en NFL et ces coulisse ( l’œil , le crocodile , la voiture tronconer en 2 , le coach qui se barre avec la nouvelle star , toute les primes, le scandale des scanner falcifier ect ect ..) .
Et pis pour finir, que dire de la BO ? ben sorry met la encore c est Perfect quoi ! aussi bien tout les morceau de rap et R’nB obligatoire et bien choisit , y a aussi plein de magnifique morceau jazzy , une soundtrack qui decrit toujour tres bien ce qui se passe a l’ecran , les emotion et intention souhaiter . Ca va de jamiee foxx a dmx, swizz beatz ( le DJ des ruff ryders ), ll cool j , U2 , moby , trcik daddy , mobb deep , Missy ect.. et meme le score plus discret et lui aussi tres beau .

On any given Sunday you're gonna win or you're gonna lose. The point is - can you win or lose like a man?

That's what a leader's about: sacrifice. The times he's gotta sacrifice because he's gotta lead, by example. Not by fear and not by self-pity.


If you're gonna be a loser, raise your hand. IF you're gonna act like a pussy, raise your hand.

I don't get strokes muthafucka! I give 'em!

Bref un 10 completement meriter et absolument indiscutable tent any given Sunday reunit tout tout tout ce que j aime a titre perso et avec un nombre incalculable de bonus et kiff perso ( ben foot + stone + pacino + miami+ Lawrence taylor + woods + la BO ) et aussi une alliance parfaitement simbiotique entre la forme magistrale et virtuose et un fond d’une richesse qui donne le tournie Tel un alignement de planet qui n’arrive qu’une fois tout les je sais pas combien ! Bref je me retrouve dans chaque seconde, chaque image, chaque choix artistique d’any given Sunday , les themes et les personnage me cause , una ambiance et un univers fascinant qui scotche a chaque fois , en tent que cinephile c’est une vrai claque , enfin la c’est plutôt un uppercut ravageur , et pis comme personnelment c’est un chouchou indetronable .


puisque les images parlent plus que les mots , juste pour le plaisir, i love jim brown !

[youtube]871Is5e8va8&feature=related[/youtube]

[nicofromtheblock]

Ça va être difficile d'en faire une critique après ça
En tout cas, ça donne envie de le revoir.

[Alegas]

Jamais vu mais le casting et ta critique donnent furieusement envie.

[Heatmann]

C'est pas obliger d aimer le foot pour savoir apprecier le film mais ca peut aider, ou plutot les sport pros collectif . meme sans ca sinon y a moyen de mattre au moin dans les 8-9 tu verra

[zack_]

oaui enfin ca aide beaucoup - aimer le sport c'est aimer le film et vice-versa

[Scalp]

Sacrée critique

[Heatmann]

thx

oaui enfin ca aide beaucoup - aimer le sport c'est aimer le film et vice-versa

pas forcement , c est vrai si on aime le foot us on aimera le film encore plus, mais bon nombre de personne qui on rien a secouer du foot US on extremement apprecier le film aussi qui est bourrer de qualiter indeniable de dissociable de sont sujet

[Killbush]

Bon, tu viens de poser la critique ultime du film (j'étais pas motivé car trop dense mais là tu m'as achevé )
Tu as tout dit, un chef d'œuvre qui n'est pourtant pas très reconnu dans la carrière de Stone, un film que je considère comme un des films les plus complets et les plus passionnants des 15 dernières années !
A voir impérativement, même pour ceux qui ne connaissent rien au foot U.S (ce qui est mon cas)

[Heatmann]

ben voila , tu concretise ce qu on disait on peut reconnaitre la richesse, la densiter , l epiquitude ( nouveau mot ) du film meme sans rien connaitre du foot Us avant . le script , les perso , le mixage son , l ecriture , et la real , tout ca ca reste et c est universelle

j aime bien quand tu dit que c est un des film les plus complet et passionantn , c est exactement ca