[Heatmann] Mes Critiques en 2011

[Heatmann]

ouaip , la pour gone la 2fois et en blu j ai ultra kiffer et me lache sur la note , trop ma came jvais le prendre le bouquin , mais je lit peu et pas vite et la je vient d en prendre 2

[zack_]

Évites les contraction stp heatman (blu...)

[Tyseah]

Évites les contraction stp heatman (blu...)

L0L!

[kenshiro]

FAIL

[zack_]

ouai enfin rien à voir quand même

[Heatmann]

Évites les contraction stp heatman (blu...)

en quelle honneur ? devient pas trop dictatorial , c'est quoi qu'est genant a dire Blu au lieu de blu ray ? tout le monde comprend ces abreviation . j'invoque le 1er amendement mon cher zack

[Eikichi Onizuka]

ouai je suis plutôt du genre a dire BR également je pense pas que ça dérange trop.

[Heatmann]

ouai voila, ou BRD , ou DTC ou WTF

[Eikichi Onizuka]

[zack_]

Ouai enfin c'est un exemple car tes critiques je l'ai lis à 50% après j'arrive plus entre les majuscules inexistantes ou les mots indéchiffrables... Même si je reconnais qu'il y a du mieux (mais Firefox est ton ami!)

[Heatmann]

un style unique et inimmitable au moin c es tpour ca que je met la note en gros et des images

[zack_]

[Heatmann]

GONE BABY GONE

8.5/10

Affleck revient a ces 1er amour , l’ecriture de scenario , ces quartier d’enfance tourmenter a boston , une facon de se resourcer apres une 1er partie de carriere qui tournait au vinaigre . pour rester en terrain connue et garder le feeliong at home et garder la fillioation , il file le 1er role a son frangin casey , gone bab gone sera une vrai reussite et le debut d’une nouvelle carriere pour un futur realisateur tres prometteur .
Affleck prend pour base un roman d’auteur reputer et en vogue a hollywood , dennis lehane , ecrivait du south boston cheri de ben , il y a donc en fond un récit édifiant de kidnapping qui tourne mal, mais c était aussi surtout un pretext pour que son premier film soit la description d’une communauté et des gens qui la composent. D’entrer de jeu , Le magnifique générique donne le ton de la vision d affleck , humain et proche des démunis. De reputation on se dit que Boston est d’apparence calme, une ville universitaire ou la communauter irlandaise boit des canon au pub du coin , eh ben depuis un moment au cinema , on nous montre autre chose, les gangsters organiser de departer, les pédophiles , flic borderline et omerta local de mystic , et enfin les kidnapping de gone baby ( affleck enfoncera le clou avec ces braquage made in charlestown ) on un peut ternie l’image d’intellectuels de la ville des celtics .



bon c est normal qu’on retrouve dans Gone Baby Gone pas mal de thématiques de Mystic River , la frontière entre le bien et le mal ect. Au debut on se dti que le couple des jeunes detectivte privees sont un peu des gentil modèles à suivre, ca va vite monter autre chose. Le film pose un pessimisme pesant , Personne n’est épargné . les pute junkie , les flic ripoux qui se font justice eux meme. Affleck est plutôt bien a l’aise aider par son casting sans faute pour decrire des personnage et des mentaliter complexe, il est aussi plutôt douer et inspirer pour un 1er film pour emballer des petite d'action, notamment celle qui clôt le deuxième tiers du film de belle manière, pas de gros artifice mais du bon rentre dedans realiste et apres .



Affleck prend un soin minutieux pour bien décrire avec authenticité les quartiers pauvres de Boston, ses gueules meurtries et son odeur de souffre . Visuellement ce freak show irish est epatant , ca cree d’entrer une vrai identiter , une crédibilité tenace . mais c est pas que ca , il y a aussi tout le fil rouge de l’intrigue , ce kidnapping , un suspence hypnotique , une variante sur le film noir avec un duo de detective privees , une mere alcoolique et toxico ( superbe decouverte amy ryan ) , des flic corrompue ( ed harris , pas besoin d en dire plus , son nom suffit ! pis freeman quoi ) qui on tout les vice. Pas de pathos convenu a signaler . la voix off en intro rappelle les code du genre . plus l enquete avance et plus la ville revele ces secret sa crasse , les Mensonges et faux-semblants sont au cœur d’un nœud narratif fait de dealer , des criminels et des pédophiles , a force de fouille dans la merde ils vonte finalement en trouver , et de la bien sordide , ce qui les placera devant des choix plus que difficiles a la fin a twist moralement ambigu et estomaquante .tout y est ou presque , on se crorait devant un film d’un bon realisateur qui tourne enfin son grand film apres plusieur essaie , pas devant le 1er essaie de ben la gimauve qui a tuer matt murdock au cinema , c est tres fort ca !!



La ville est ici un vrai perso, a coter de cette gamine qui a disparue il y a aussi un dilemene de reussite rurale , le bonheur et la determination social et urbaine en jeu et en questionement , tout ca joue dans le rapport à l’éducation , on voit que les rues sont vraiment maintenant transformées en terrain de jeu et pis le langage propre et codé conditionnent les gamin tout petit et les ghettoise . du coup on comprend la volonter final de McKenzie , ca parait plus juste et moin choquant .
Il y a pas a dire ben realiste un excellent film , bien doser entre adaptation , implication personnel et pas un bete copier coller, un traitement qui s etend sur plusieur genre et ton , des personnage fin et subtile , un casting en beton , une BO de gregson williams sand defaut , et le grand john toll qui aide bien ben pour les angle , plan , cadrage , pour mettre en evidence le boulot de reperage et la prod design aboutie. Sans avoir la profondeur et l'émotion de l'œuvre d'Eastwood, Gone Baby Gone montre le talent evident d'Affleck pour la mise en scene et conter des histoire qu’il reecrit ( du coup je vais me revoir will hunting moi tient ! ) avec des perso qu’il connait et s’identifie presque , et pis son amour pour les quartiers mal famés de Boston, d'où il est issu, qu'il filme avec une lucidité et une sinceriter qui transpire de la pellucule. Dès les toute premières minutes Affleck propose un portrait saisissant de cette communauté ( il continuera son approche dans the town , un vrai pti dyptique comme dit way dans sa critque de gone ) qui se nourrit de la misère environnante et donne donc le ton et la mesure pour le film qui se voudras sombre et troublant.



Affleck s’inspire de personne , peut etre un peu de clint au vue du boulot fait sur mystic ( presque une trilogie officieuse avec town et Gone ! ) , il raconte sont histoire touffue et fluide, rien n’est noir ou blanc. La corruption est de partout , les vrai gens fondamentalement bons sont rare mais present , les moral sont chambouler et tester. Et nous le bon spectateur , ben on est plonger en plein de cœur de tout ca mais sans y avoir grandit comme tout le monde a l’ecran ! du coup le choc , la fascination est d’autant plus develloper ! casey affleck lui est comme un poisson dans l’eau et c est le cas de le dire, il est excellent , à la fois physique et émotionnel. Pis face a lui on a un harris viscéral et magnétique . Monaghan est moin fade que d’habitude mais c est pas encore une bonne actrice pour autant , surtout quand on voit rebecca hall par la suite , la ca fait chier . freeman est peu present mais quand il a un vrai role dans un vrai film , il montre son experience du metier et enfin amy ryan est éblouissante, pris dans un cercle vicieux de violence et dependance ..




Affleck a misé juste et remporte tout les laurier en faisant de ce projet d adaptation le sien a 100%, et apres cette franche reuissite , il nous laisse sur undilemme déchirant , choisir entre la droiture ou le bonheur ? reflexion pertinente de l’ex a jlo !

[Tyseah]

La critique sandwich se propage!

[Heatmann]

trop d'images ? mais vue que j arrivait pas a m'arreter d'ecririe vue comment j ait kiffer le film , ca fesait un peu moche et pas aerer de laisser un gros pave