[Heatmann] Mes Critiques en 2011

[Heatmann]

ouai cuttroath c est plaisant et spectaculaire mais legerement maladroit quoi , ca va , en bluray ca doit etre super beau et mettre encore plus en valeur les decor et les paysage .

dredd par contre c est pourri hein

[Alegas]

Traquée

7/10

Le ridley scott le plus confidentiel , passer completement inapercue , et pourtant comme toujour chez l’artiste, il y a plien de bon truc a prendre dedans . un polar fortement teinter de romance qui finalement s’avere ( recurrent chez scott ) etre tout simplement un vrai film noir dans la tradition et le respect scrupuleux du genre .
Donc pour le spectateur lambda il n’y a pas grand-chose de remarquable ici, c’est vraiment un script ultra classic du genre, pour les amateur de film noir , c’est un bel hommage . un thriller passionel hautement atmospherique . Tom berenger est vraiment super classe et fait preuve de fragiliter et d un coter petit flic comme messieur tout le monde que je lui connaissait encore pas . un flic de petite classe, vivant dans les queens , un quartier populaire et pauvre, il a un fils et un femme aimante ( lorraine bracco super a l’aise avec l’accent new yorkais ) , une famille parfaite . il accepte de bosser de nuit sur une mission un peu a la con pour passer le grade de detective . proteger une nana en attendant qu elle temoigne d un meutre dont elle a été temoin . le trcu qui fait tourner ce polar en thriller noir et romance passionel , c est que c est une bourgoise de la haute societer elitiste de NY , des gens qui vivent dans leur hotel particulier luxueux de manhattan, vivent entre eux , sortent en soirer priver dans des club selecte . la pauvre mimi rogers eccope donc du role de la femme fatal , drole d idee vue comment elle est moche . c’est un peu dommageable car sa relation avec berenger en garde du coprs est bien ecrite , serieuse , bien construite , et sont personnage suffisament develloper et torturer pour que leur inevitable attirence ne soit pas telephoner mais plutôt naturel .

Scott prend sont temp a depaindre ce choc des couche social , mais oublie pas sont enquete . les figure recurrente , les themes et code du film noir sont tous la . les 4 protagoniste , le tueur , la temoin , le flic et sa femme ont des liens qui se resert .
un peu comme dans sea of love avec pacino auquelle il ressemble beaucoup , sauf que la en plus on a biensure la remarquable et superbe realisation de scott a la place de celle fonctionel de brest . scott se contente pas de cette disproportion social facile ( un peut surligner quand meme avec la music classic et les interieur qui ressemble a des muse bourrer d’antiquiter )
Scott choisit ici un peu le securiter , en donnant a sont film presque la meme identiter visuel que celle de blade runner ( et qu on retrouve aussi plus tard dans black rain ) , transposer dans un decorum contemporain urbain . la plupar du film est nocturne , les ruelle sont sombre , eclairais par des faissaux bleuter , beaucoup d effet de fumer et de vapeur , les neons flashy , on passe de la 5em avenue au arriere court de brooklyn avec des eclairage et de lumiere ultra sophistiquer . un film tres elegant , visuellement accrocheur et styliser a mort avec des cadrage chirugicale . plus les relation deviennet conflictuele et instable et plus les personnage se revele , le final est bien tendue et puissant en emotion , une conclusion satisfesante . Au vue de la filmo general du mec c’est sur que le film reste une creation presque mineur , mimi rogers est pas mal miscaster quand meme ( enfin sont interpretation est bonne , mais elle a une tronche de mec quoi ! ) , mais de manière general ca reste un bon film de cinema traditionel bien aboutie , un peu trop classic dans le fond surement , mais sublimer par la forme .

[Hannibal]

dredd par contre c est pourri hein

oui justement c'est pour ça qu'il me tarde de te lire

[Rotwang]

Oui c'est pas mal du tout Traquée.
Par contre si Mimi Rodgers n'est pas un canon absolu, ce n'est pas non plus un thon en boite et je trouve qu'elle fait très bien la bourgeoise. Mais bon j'ai longtemps considéré Debra Winger comme la plus belle femme du monde, j'ai peut-être des goûts de chiotte mais je les assume.
Pour info Sea of love c'est de Harold Becker pas Martin Brest

[Heatmann]

non mais justemetn comme je dit , elle joue bien Mimi , et t'as raison , elle fait tres bien la bourgeoise deconnecter de la dur realite , par contre dans le film tout les role masculin sont subjuger par sa beauter , et ca , j ai bcp de mal a y croire
un physique bien atypique et pas vraiment fatal a mon sens .

ah oui autant pour moi , brest/becker, 2 mec assez proche que je confond souvent, sea of love, midnight run , city hall , scent of woman , tout plein de de truc pas super perso dans la forme , mais que j aime bien

[Heatmann]

LA LOI DU SANG

6/10

Un tout pti film dans l’ambition et la concretisation , passer inapercue et toujour rester inconnue , a part quelque festival et une reconnaissance d’estime des quelque spectateur , et pourtant , ce film a bcp de chose a faire partager ..
un film temoignage , un regard sur le passer de la part de ted temme et denis leary , copain qui on grandit ensemble entre boston et NY dans leur communauter irlandaise d ou ils sont originaire . Un film qui ne ce veut presque jamais un recit de fiction dans le sens traditionel . Presque un film egoiste et trop personnel , en effet monument avenue est presque un quasi documentaire/testament nostaglique sur une epoque et des choix qui font evoluer une vie , et un etat d’esprit , comment grandir , s’affirmer et reagir frontalement face a un dynamique social en marge de la legaliter . Concretement ca donne un film qui parle de la vie de ces gens , un film tres personnel donc , qui pourrait forcement deplaire et passer tres loin au dessus de la tete de la plupart des spectateur attendant un film de genre avec un recit construit et des enjeu bien determiner . rien de tout cela ici , mais des le depart c est un choix et un partie pris , disont que c’est quand meme plus cinematographique qu’un film de pote qui chronique leur jeunesse et leur culture , mais en gros c est ca


Ted demme et leary ( et tout le reste du cast qui se retrouve dans tous les meme film , dans leur serie aussi ) declineront leur environnement et anecdocte dans plusieur film et nourrira meme leur 2 serie tv qui sont l’aboutissement de tout cela , the job et rescue me . monument avenue c était un peu le 1et jet , un brouillon presque amateur tellement c est fait avec des bout de ficelle et la paraticipation de copain en figurant , et filmer sur les lieux meme . d’un œil exterieur on pourrait rapidement qualifier le film de mean street du pauvre , c est un peu ca mais encore une fois , c était pas le souhait du projet .


Le film fonctionera evidement surtout beaucoup a l’affection et a l’identification , a ce pti jeu , sur un panel restrai je l admet , la progression et les peripeties resonne comme une echos qui nous impliquera et captivera immediatement , et ce , paradoxalement , meme dans les scenes les plus etires et totalement constatere . les magouille et le train train quotidiens pas vraiment over dramatiser et les longues soirer de defonce et de discussion sterile et sous moult emprise toxique pourront decourager , moi jme suis sentie comme a la maison et resentie ce que voulais raconter leary et demme , et ainsi de suite tout le long du film qui succombera quand meme vers la 2em moitier du film a une dramaturgie plus classique , reprenant des code du polar et film de gangster afin de ficeller les personnage et aboutir a une fin , sinon on aurait pue deambuller avec la bande a leary comme ca pendant longtemp ! ca vire a la tragedie familliale et les lien d amitier et de solidarite masculine sont a fleur de peau .


Bon par contre c est assez pauvre techniquement ce qui fait bien baisser la note , et les effort on été concentrer sur une retranscription authentique de cette culture et ce folklore tres localiser , le cast est hyper impliquer et se fond dans la masse et le decors, de meme pour les dialogues qui on rien d’educlcorer ou de forcer , ca sonne vrai puisque ca l était , forcement , reste que c est filmer au plus vite pour cause de budget et filmer chez dans les lieus d habitation sans soutient de studio force a faire qu une ou 2 prise ! le decorum et la picturalite du film en souffre un peu , encore une fois par souci de realisme , moi ca me rebute pas au contraire.
Bref moi j aime , un pti moment nostalgique , une tranche de vie dont on est temoin , un film qui se veut plus un message , un constat , un feeling , un resentie , qui visera une poigner seulement , plutôt qu’un film de cinema fait a des fin artistique prouver

[Heatmann]

Les Chemins de la liberté

8.5/10

Epique et intimiste a la fois ? oui c est possible , peter weir le prouve avec maestria . une odyssee epique dans ces proportion . une grande aventure classic , humaine et naturel . et intimiste car le petit groupe de protagoniste reste souder et concentrer et leur liens et survit commune , leur progression , reste le sujet principale du film .
Baser sur une histoire vrai hors du commun , alors que ce soit tres libre ou proche des fait et des perso je m en tape carrement , que les perso et leur trauma et trouble soit un peut accentuer , ben ca me gene pas , au contraire , ca rajoute de l’intensiter . le pti jim sturgess qui doit coute que coute rentrer chez lui hanter par une culpabiliter qui le ronge et hyper determiner et plus motiver que jamais ( sa femme qui la balancer sous la torture ect…) est tres bon pour un role tres demandeur , il s’ent sort avec les honneur, farrel qui joue un criminel qui reigne sur le goulag polonais infester de sale tete qui troque et tue a tir l’arigot est aussi vachement bon comme toujour depuis quelque annes, il choisit vraimenr bien ces realisateur et projet , et pis the boss ed harris est un vieux sage , pas besoin de parler bcp pour imposer sa vision , un meneur qui a vecut et qu on ecoute et suit , sont visage capte la camera comme peut d acteur , et sont charisme naturel deborde de partout . des polonais un brin joueur et qui on toujour le mot pour rire et detentre l’atmosphere dans le moment les plus difficile , bref un pti groupe qui semble avoir été ecrit pour assurer une dynamique et une ierarchie . on en est consciente , mais ca gache jamais le plaisir et la fascination de ces 6500 km laborieux , ou la solidariter et le force de survite exalte .
La violence et l’insalubriter precaire des camp glaciales en siberie saissisent d’entrer de jeu , on repere vite fait les caractere et motivation de chacun . pour echapper a cette enfer ainsi que d autre raison exterieur , notre pti groupe s’evape ( dommage on voit pas trop comment ) lors d’une tempete de neige qui couvrira leur fuite et empechera les garde de les suivres vut que leur mort semble assurer .

Ce putain de periple est completement dingue , la force de cette histoire rend le film si captivant , car au fond c est juste un groupe de mec qui se rendent de A a B quoi , sauf que c’est a travers une nature et des moyen qui decouragerait les plus temeraire des warrior ! les forets du nord de la russie sont sombre et peut riche en vivre naturel , rien a bouffer sous cette neige et glace , le lac baikal semble jouer a cache cache , sans carte ni boussole c est chaud s’y retrouver . les plaine de mongolie sont infester de moustique , le desert de gobi est pire qu’un champ de mine , ca semble sans fin et les condition sont proche d’un volcan en eruption constante .. l’hymalaya se dresse enfin comme l’ultime rempart a franchir avant la liberation au tibet qui s’illustrera comme un havre de paix avant que chacun ne prenent leur propre route back home .
En route evidement les peripetie sont nombreuse et conserve un rythme eprouvant , jamais on aura aussi bien resentie les besoin de protagoniste , moi devant the way back j’avait froid , puis chaud, faim , soif , la fatigue immense , l’envie de jeter l’eponge , se jeter sur une carcasse de cerf a moitier decomposer .. bref un boulot aussi bien due au acteur , leur maquillage , leur intensiter qui fait que leur variation d’etat physique est totalement credible , et pis une imagerie naturel d’une puissance inoui ! sans parler pour l’instant de la mise en scenes , mais simplement du fait de filmer en decor naturel hostile et dont les ambiance et atmosphere sont rendue presque palpable grace a un mixage sonor tres vivace et sensoriel , de meme que pour tout ce qui impersiptible a l’ecran mais dont on semble etre contient . ben ouai en matant the way back , les ruisseux , le vent , les oiseau , la neige qui s’enfonce , tout est fait pour etre transporter au cœur de ce groupe , et c’est reussit , et en ca, le film prend au tripe . On a meme l’impression de sentir l’eau du puit nous desalterer , le soleil qui tape et fait gonfler les pied , bref un trip sensoriel et emotionel qui fonctionner et rend l’immersion total .

Les paysage filmer avec un respect et une classe phenomenal comme on sait weir le faire si bien sont la cerise sur la gateau , il filme toujour en plan large , cadrer et rend epique et formellement haut decut de tout reproche , chaque image de sont film . en grand naturaliste et humaniste , il a biensure choisit cette histoire , ces perso et leur etat d’esprit en toute consience , et du coup aller cherche le national geographique pour un soutient financier et logistique , ca se voit , et ne rend le film que plus majestueux et repectable .
La rencontre de saoirse est bien ammener et dynamise tout ca . elle va reveller encore plus les instinct de chacun , et calmer les temperament mis a rude epreuve .
Les liens tisser entre chacun , au vue de ce qu’ils partage , sont forcement fort, touchant et les pertent ne sombre dans aucun sensationalisme ( comme tout le film d ailleur ) . un film extreme , des paysage epoustouflant , une mise en scene imparable qui force l’admiration , de leger bemol qui empeche le film d’etre aussi devastateur que sont film d’avant ( master et commander ) , on a l’impression que weir ne sait pas trop comment finir sont film . le fait que l’hymalaya soit expdier me gene pas , on a déjà bien bourlinger avant comme ca , entre les immensiter glacial et brulante , les relief abrubt , le sable et le boue , ca aurait été redondant , mais bon une fois au tibet , ca pietine un peu et on dirait que le david lean reincarner qu’on avait c’est transformer en edward swick avec ce final ou strugess rentre a la maison , enfin rien de mechant hein , en plus des qualiter evidente du film formellement , et dramatiquement ( caracterisation de perso tip top , theme universelle evocateur , realisme cruelle , magnificiance de chaque cadre , plan , sequence romanesque , bravoure communicative , une fresque heroico-humaniste qui fait du bien tellement on en a plus vue des comme ca depuis longtemp ..) j ai uber kiffer quoi , merci merci peter weir quoi !!

[Scalp]

ca pietine un peu et on dirait que le david lean reincarner qu’on avait c’est transformer en edward Zwick

belle formule.

[Heatmann]

ben c est vrai , ce la seul legere reserve que j ai a partir de l arriver au tibet ( la transition gobi himalaya tibet ca me va tres bien ) on dirait que weir aussi etai epuiser ou alors avait claquer ces 30 petit millions ( putain le film a bien etirer et rentabiliser sont budget quoi ) parceque c est precipiter et en decallage avec le reste de la qualiter du film , pas grave , un ti peut dommage , mais c est juste pour dire quoi

[Heatmann]

JUDGE DREDD

4/10

un film que j’avait finalement vue tres peu de fois mais que je me plaisait a defendre et soutenir coute que coute, en me basant juste sur un vague souvenir nostalgique et attachant d’un actioner SF comik book style , et mon coter fan hardcore de sly fesait que j’etait sur de moi , et ben ... on peut dire que la prod chaotique avec sly qui tue toute ambition de cannon , ca se resent .

alors déjà evidement le perso , qui devrait etre une sorte de machine inaretable insensible qui bute a tour de bras , dans un futur decadant , ben c’est pas trop ca . Sly fait une caractures absolument pas subtile , il grimace comme un neuneu et articule trop toute ces replique . apres les 2 jolie succe demolition man et cliffhanger il se croit revenue au sommet et court-crcuite tout le tournage et le projet pour en faire un sly show


les apparence sont trompeuse , on pourrait meme croire le film tout public , alors qu’il a bel et bien recut un classement R , genereux sur ce coup la . la ville , les cgi , les maquette , en 95 avec 70 million ils on reussit a faire un truc qui semble avoir été recycler de l’avant blade runner approximatif . cette societer dystopique aurait du etre decadente et abrasive, ultra violente et extremiste , mais non , c’est limite fun

c’est charcuter de partout , aucune surpise a l’horizon , hyper previsible et finalement assez pauvre en action . l’intro avec les emeute c’est des feux d’artifice et une presentation des perso et de cette societer expedier en 10 minute .

le projet de des jumeaux est pas trop mal , ca conserve un peu d’interet , surtout que Assante s’en donne a cœur joie , il vole carrement le film a sly , un acteur toujour intense , vive rico quoi , fallait buter dredd et faire la suite bien badass et radical : judge rico

van sydow en figure paternel gache sont talent ici avec un role bien naif , et jurgen lui est toujour aussi bon , d’ailleur j’ai bcp aimer ce trio qu il forme avec Rico et le robot qui a une bonne tronche entte un terminator , celui de robocop 2 et celui de hardware !

le sidekick scheider …… alors exasperent au possible

Finalement le passage chez les cannibale reste presque le meilleur moment , un bref interlude qui a un peu de la gueule , la famille m’as bien plue , bien wtf et extreme ( enfin pour le film quoi ) , ca se fight un peu , quelque gros gun , des punchline moin pourrave que les autres , dommage c’est court et fait un peu peripeties rajouter en court d ecriture .
Bon pis le final relever un peu le niveau avec les clone et les reglement de compte mais le mal est déjà fait , surtout que malgre la court dure

[Scalp]

C'est classé R ?

[Heatmann]

aussi dingue que cela puisse paraitre ouai

[Scalp]

C'est quoi ce R bidon

[Heatmann]

"Rated R for continuous violent action"

ce a quoi je repond : n'imp c'est pas super continuel niveau action quoi , c est pas tres genereux , et pas trop violent , c est bcp suggerer et hors champ ...

[Heatmann]

STREET KINGS 2 MOTOR CITY

4/10

Bon ben tres decut car c’est tout simplement bien nul ! alors déjà le titre bien vendeur qui induit grave en erreur , oportuniste et mensonger , ca m’enerve bien . Street kings 2 ?? mon cul ouai ! non franchement ca pourrait s’appeler tout et n’importe quoi ce truc mais surtout pas street kings 2 ! ca a rien , mais alors rien avoir le 1er . alors oui , ok ca parle grosso modo de flic pourri , et encore pas vraiment , mais c’est tout . aucun lien , pas du tout le meme traitement , ambiance , enfin rien avoir , ils on coller ce titre pour vendre le film , et la deception est encore plus forte . un pauvre hollywood night vue 10 000 fois et qui vire a la moral de bas etage .

Des le debut on se rend compte de la supercheri , un duo de flic sans originaliter , bon pour un polar urbain ca peut passer si au moin ca se revele prenant , mais non , la en plus d’enfiler une enquete de corruption pourrie et sans interet , on se tape aussi un devellopement de personnage au raz des paquerette a base de match de baseball des gosse et de barbeque familliale .
Liotta tapine dans des bouze depuis un moment maintenant , la il erite du lead role …..et ben non !! ca aussi on y croyait ! et enfait il est un peu le 2em role le plus important du film certe, mais c est surtout le fadasse et mauvais shawn hatosy qui est le perso principale . on se demande comment le directeur de casting c est dit que ce serait une bonne idee de filer le role d un detective de la criminel de detroit a ce clone pisseux de timberlake . liotta en a rien a foutre , il est a moitier endormie dans toute ces scenes . Tu croit pendant un moment que c est un gros bad motherfocker comme dans Narc , mais non , enfait c est un gentil , il a deraper 1seul fois et pour la bonne cause , apres l’enquete twist de partout et brode du vent , c’est tres tres peperre , rapide passage aux strip club, une descente dans un repere de pimp , des deal de coke le tout dans une molesse ambiante plombante .

Le pauvre chris fisher en bon yesman pour sony home entertainement n’arrange rien , des effet over styliser gratuit , il a un script et des perso de merde et le sait puisqu’il nous avait bien surpris avec sont bien sympa Dirty , la il essaye de combler avec un tape a l’œil en totale decallage , le bande son hip hop a aucune raison d etre la , bref on sent que tout les artifice du clipeur ont été utiliser pour eveiller un interet . bref on est treees loin de dirty ou meme street of blood, mais c est un peux mieux que caught in the crossfire, ca se regarde vue que ca dure 1h20 et que ca reste un univers famillier que les amateur du genre aime , mais bon c’est mauvais quoi . fait chier !!