[nicofromtheblock] Mes critiques en 2011

[nicofromtheblock]

Genre y a pas Olivia Wilde dans tes beautés du mois ?

Je n'ai pas trouvé qu'elle était particulièrement bien mise en valeur dans Cowboys & aliens.
Et puis, il faut faire une sélection : j'aurai aussi pu y mettre Rosamund Pike, Emma Stone, Mila Kunis, Jillian Murray, Danielle Campbell, Lily Collins ou encore Dominique McElligott ...

[nicofromtheblock]

GLORY DAZE
Rich Wilkes - 1995
6,5/10

Pour sa première réalisation, le scénariste de Airheads continue dans la comédie générationnelle. A noter qu’on retrouvera Rich Wilkes quelques années plus tard dans un genre totalement différent en tant que scénariste sur xXx …

Avec Glory daze, il suit une bande de 5 potes qui vivent leurs derniers jours en colocation avant la remise des diplômes et leur entrée dans la vie active qui les orientera sur des chemins différents. Ils vont donc profiter pleinement de ces derniers jours de "liberté" tout en pensant à leur avenir.

A la manière de American graffiti ou de Dazed & confused, Glory daze est une comédie imprégnée de nostalgie qui marque le passage de l’insouciance de la vie étudiante aux responsabilités de la vie d’adulte. Sans être un modèle d’originalité, le film remplit son cahier des charges avec ses passages humoristiques, les remises en question des personnages et sa fin nostalgique d’une époque révolue. Chacun se retrouvera un peu dans cette histoire universelle.

Côté casting, on retrouve Ben Affleck dans un rôle dans la lignée de celui de Mallrats tourné la même année. Il y joue un mec qui vient de se faire plaquer et qui n’arrive pas à tourner la page. Il aimerait ne jamais avoir à quitter la fac et essaye de convaincre ses potes de prolonger leur colocation d’une année. A ses côtés, Sam Rockwell joue son meilleur ami qui est sur le point de déménager pour vivre avec sa copine. Pour compléter l’équipe, Vinnie DeRamus joue un jeune artiste dessinateur qui n’a aucune confiance en lui, French Stewart est un étudiant qui traine sur les rangs de la fac depuis des années et Vien Hong est un jeune qui n’a pas de projet d’avenir et qui vit au jour le jour. La touche féminine est apportée par Megan Ward et Alyssa Milano. Enfin, on a le droit à quelques apparitions de Matt Damon, Brendan Fraser et Matthew McConaughey.

Pour ce qui est de la musique, il faut signaler que le réalisateur était un adepte de la scène punk-rock 90’s. Du coup, on a le droit à une bonne BO : NOFX, Bad religion, The Vandals, The Mr T Experience, Mudhoney, …

Au final, même si le film n’apporte pas grand chose de nouveau au genre, on passe un bon moment devant cette petite comédie. A noter que le DVD zone 2 est recadré en 4/3, ce qui est assez désagréable à regarder.

[pabelbaba]

Pour ce qui est de la musique, il faut signaler que le réalisateur était un adepte de la scène punk-rock 90’s. Du coup, on a le droit à une bonne BO : NOFX, Bad religion, The Vandals, The Mr T Experience, Mudhoney, …

Eh, mais ça m'intéresse! Y'a un DVD avec des stfr?

[nicofromtheblock]

Le film est sorti en zone 2 sous le titre "Une virée d'enfer".
Il y a une édition qu'on trouve facilement mais je crois qu'il n'y a que la VF ou la VO sans sous-titres.



Perso, je suis tombé par hasard sur une édition avec des sous-titres dans un magasin d'occaz mais je n'arrive pas à la retrouver sur le net ...

[zack_]

Rah la gueule de Milano et Affleck sur l'affiche de ta critique
Des fois y a du bon de vieillir

[nicofromtheblock]

SUPER
James Gunn - 2010
6,5/10

Après avoir commencé comme scénariste pour la Troma (Tromeo & Juliet, Terror firmer), James Gunn est passé au niveau supérieur en passant derrière la caméra avec le bien sympathique Slither. Pour son second long-métrage, il se penche donc sur l’univers des superhéros tout en gardant le ton si particulier de ses expériences passées.

Super raconte l’histoire de Frank, un loser travaillant comme cuisinier dans un petit resto pourri et dont la femme vient de le plaquer pour le caïd du coin. Suite à sa rencontre avec une jeune geek fan de comics, il va se mettre en tête de devenir Crimson Bolt, un superhéros qui fait respecter la loi … ou plutôt sa loi.

Même s’il ne joue pas tout à fait dans la même catégorie que ces 2 autres, j’ai trouvé que le film n’arrivait jamais à la hauteur de Kick-Ass mais était quand même bien plus sympa que Defendor. Là où le premier joue à fond la carte de la surenchère pour rendre le tout plus fun, celui-ci reste dans le réalisme d’un bout à l’autre. Et alors que le second s’oriente rapidement vers un ton plus dramatique, celui-ci reste toujours sur le ton de l’humour noir jusqu’à nous mettre mal à l’aise par moments.

D’ailleurs, cette utilisation de l’humour noir m’a beaucoup fait penser aux films du duo Matt Stone/Trey Parker. Le traitement de la religion à travers le personnage de "The holy avenger", héros d’une série TV des plus bidon et moralisatrice, m’a rappelé le traitement de la religion mormonne par les 2 acolytes dans Capitaine Orgazmo. De même, le fait que héros soit tellement antipathique qu’il en devienne presque un antihéros est typique des créateurs de South Park. Rien de tel que de prendre un loser comme héros afin de pouvoir à la fois l’icôniser et se moquer de lui.

Sur le fond, le réalisateur se permet quand même de poser des questions sur la légitimité d’un superhéros et pousse le spectateur à s’interroger sur la frontière entre le bien et le mal. En effet, Crimson Bolt a une définition très particulière de ce qu’est la loi. Il n’hésite pas à tabasser un mec qui s’incruste dans une file d’attente (en même temps, qui n’a jamais eu envie de le faire ?) mais son costume de superhéros lui donne une certaine légitimité pour le faire. C’est en celà que le film met mal à l’aise malgré le fait que ça soit traité sur le ton de la comédie.

Niveau mise en scène, il faut avouer que James Gunn s’en sort pas mal. Sa façon de cadrer est un peu étrange par moments mais son film est bourré de bonnes idées : le générique de début en animation, l’utilisation d’onomatopées typiques des comic books (à la manière de Scott Pilgrim), ainsi que d’autres idées liées à ses hallucinations.

Pour ce qui est du casting, Rainn Wilson est un excellent choix. Dans le rôle du grand bonnet loser, il est parfait. Et le décalage physique avec sa superbe femme jouée par Liv Tyler est encore plus flagrant. Dans le rôle de la jeune geek qui devient l’acolyte de Frank, Ellen Page est également excellente. Passant de Libby, la fille un peu garçon manqué à Boltie, la sidekick sexy à la forte libido, on sent qu’elle est un peu dérangée. D’ailleurs, là aussi, on aura une scène qui met un peu mal à l’aise où elle viole carrément le héros … Dans le rôle du bad guy, Kevin Bacon cabotine pas mal mais ça correspond bien à ce personnage de petite frappe qui se prend pour un gros caïd de la drogue. Dans l’ensemble, le casting s’en sort très bien.

Au final, j’ai beaucoup aimé le ton du film qui joue à fond la carte de l’humour noir. Ma déception viendrait plutôt de la fin que j’ai trouvé un peu trop gentillette. En tout cas, j’aime beaucoup ce genre d’humour assez décalé et ça prouve qu’on peut encore innover dans le genre ultra-balisé du film de superhéros.

[nicofromtheblock]

BEAUTY
Oliver Hermanus - 2011
7/10

Le cinéma sud-africain s’exporte assez mal. A part Disgrâce, je n’ai pas souvenir d’autres films sud-africains sortis en France. Avec Beauty (son titre original Skoonheid est en afrikan), le réalisateur Oliver Hermanus pour son second film, nous plonge dans l’Afrique du Sud post-Apartheid et nous raconte l’histoire d’un afrikaner pur souche (blanc d’origine néerlandaise).

Cet homme à une vie en apparence des plus banale : mari et père de famille modèle , il est patron d’une usine à bois. Mais derrière ces apparences se cache un homme aux profondes frustations. Outre ses tendances racistes, il fait une fixation malsaine sur son neveu, un bel apollon dont il a du mal à cerner le penchant sexuel. Il était risqué de faire reposer son film sur un personnage si peu attachant mais le réalisateur arrive à en brosser un portrait parfaitement crédible.

Il faut noter également que le film est interdit aux moins de 16 ans et on comprend assez vite pourquoi. Quand le personnage retrouve ses amis pour boire une bière entre potes, on se dit qu’en bons racistes qui se respectent, ils vont aller tabasser un peu de "négro". Quelle n’est donc pas notre surprise quand on découvre qu’en fait, ils se retrouvent pour des petites partouzes entre mecs … Cette scène est assez glauque et met tout de suite le film dans une autre perspective.

Le réalisateur prend son temps pour mettre en place son personnage et nous faire découvrir progressivement sa personnalité névrosée jusqu’à une scène de viol bien marquante. En même temps, on a presque de la pitié pour ce personnage qui n’arrive pas sortir de cette fixation et qui atteindra un point de non retour quand il découvrira que son neveu flirte avec sa fille …

Deon Lotz est vraiment impressionnant dans le rôle principal. Avec son jeu tout en retenue, il arrive à nous mettre mal à l’aise. On sent vraiment bien l’évolution de son personnage au fur et à mesure que le film avance. A ses côtés, Charlie Keegan joue simplement le beau gosse qui ne se rend pas compte de l’effet qu’il fait sur les autres. C’est le genre de personnage un peu naïf qui va tomber de haut en découvrant les sentiments de son oncle "préféré" à son égard. Quant aux personnages féminins, ils sont assez effacés et participent donc à cette perte de repères familiaux.

Au final, Oliver Hermanus nous livre un film sans consession qui met en valeur le mal être de ces blancs qui ont vu leur vie bouleversée par la fin de l’Apartheid. Servi par un acteur de grand talent, on ne peut qu’assister impuissant à cette misère sociale et sexuelle qui aura des effets traumatiques sur les 2 personnages principaux.

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PURE
Lisa Langseth - 2010
7/10

Jusqu’à maintenant, le cinéma suédois avait pour chefs de file Lukas Moodysson et Roy Andersson. Il faudra maintenant aussi compté sur la réalisatrice Lisa Langseth. Pour son premier film, elle fait déjà preuve d’une grande maitrise et nous livre un bien joli drame.

Pure nous raconte l’histoire d’une jeune fille de 20 ans qui veut à tout prix sortir de sa petite vie de ratée suite à sa découverte du "Requiem" de Mozart. Avec une mère dépressive et un copain totalement "beauf", elle se sait destinée à une vie de merde. Mais grâce à un concours de circonstances, elle va être engagée comme réceptionniste dans la salle de concert de sa ville. De nouvelles portes s’ouvrent alors à elle …

Le film met en valeur des différences sociales et les difficultés de passer d’une classe à l’autre. Malgré ses efforts, la jeune femme a du mal à concilier ses 2 vies surtout qu’elle est assez naïve. Obligée de mentir sur sa famille aurprès de ses collègues de travail et sujette aux moqueries dans sa famille qui ne comprend pas son attirance pour la musique classique, elle se retrouve perdue entre 2 mondes et va faire les mauvais choix.

Se liant d’amitié avec le chef d’orchestre, Katarina va entrer dans une relation d’élève à mentor et celui-ci va l’aider à se cultiver. Mais en contrepartie, il va profiter d’elle pour prendre du bon temps. Il va se servir de sa pureté et de son innocence pour se ressourcer. Tombant progressivement amoureuse de ce modèle, elle se fera jeter comme une mal propre quand celui-ci décidera de retourner avec sa femme.

D’un autre côté, son copain a beau être un gros "beauf", il reste profondément sympathique et compréhensif. C’est d’ailleurs lui qui l’a réhabilitée quand elle était considérée par tous comme une trainée qui couchait avec tous les mecs du quartier. Même si les choix de Katarina sont compréhensifs et rentrent dans une logique d’évolution, on ne peut pas reprocher les réactions de son copain. Quant à sa mère, elle a une relation très conflictuelle avec elle. Depressive qui fait des séjours réguliers en hôpital psychiatrique et se gave de médicaments, Katarina a peur de lui ressembler et son évolution caractérielle montrera que ses peurs étaient justifiées.

Dans le rôle principal, la belle Alicia Vikander dégage une vraie innocence. Elle arrive parfaitement à interpréter cette double face de jeune femme à la fois fragile et très motivée. De plus, sa beauté est bien mise en valeur par la caméra de Lisa Langseth et les gros plans sur son visage en disent long sur son caractère à fleur de peau. A ses côtés, Samuel Fröler s’en sort bien également. Il ne tombe jamais dans le stéréotype du mec profiteur. On sent qu’il a un bon fond même s’il se sert un peu d’elle pour retrouver son propre bien être. Cette relation n’a rien de malsaine mais met en évidence la naïveté de Katarina.

Au final, voici un bien joli film suédois qui se présente comme un parcours initiatique d’une jeune femme qui, à 20 ans, sort enfin de sa bulle. Porté par une actrice à la présence assez magnétique, le film traite très justement de l’évolution sociale par la culture.

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POLISSE
Maïwenn - 2011
8/10

En tant que fan du travail de Maïwenn comme réalisatrice, j’attendais son nouveau film avec la plus grande impatience et je n’ai pas été déçu. Cette fois-ci, elle laisse tomber le côté introspectif qui faisait l’essence de son cinéma pour nous livrer une vraie fiction.

Avec Polisse, elle nous plonge dans la BPM (Brigade de Protection des Mineurs) qui si nous y étions. A travers le portrait des agents qui forment cette brigade, on découvre un univers oppressant auquel il est difficile de rester indifférent. Mélangeant habilement les enquêtes, les interrogatoires et la vie privée de ces policiers, la réalisatrice nous livre une sorte de patchwork du quotidien.

Il faut avouer que le concept du patchwork qui nous montre des morceaux de vie sans véritable fil conducteur, si ce n’est les personnages eux-mêmes, est le point fort du film. Mais il a aussi ses limites puisqu’on passe brusquement d’une affaire à une autre sans vraiment s’attarder sur le fond du problème. Du coup, on est un peu frustré sur certaines enquêtes dont on aimerait en savoir d’avantage. L’idée mériterait presque d’être déclinée sous forme de série tellement elle est dense.

L’autre défaut du film vient des parties qui décrivent la vie privée des personnages. Autant la partie professionnelle joue à fond la carte de la véracité en s’approchant le plus possible du documentaire, autant la partie vie privée ne sonne pas toujours juste et résume la psychologie des personnages à quelques clichés. Pour autant, la réalisatrice ne s’attarde pas trop là dessus et ça ne nuit donc pas trop à l’ensemble.

Il faut avouer que Maïwenn est une grande directrice d’acteurs et ça se ressent tout au long du film. Elle a une façon très spécifique de travailler et cela qui lui permet de capter des interactions entre les personnages au plus proche de la réalité. On sent que les dialogues ne sont pas totalement écrits et qu’il y a une part d’improvisation mais c’est ça qui rend le film si réel. De plus, elle n’utilise pas ses acteurs à contre emploi et leur propre personnalité sert leur personnage. Le meilleur exemple est Jérémie Elkaïm : il est souvent considéré comme un mauvais acteur car il a une façon de parler très posée qui sonne faux. Maïwenn intègre cela au personnage qu’il interprète et ses collègues se moquent de sa façon de parler.

On sent également les les acteurs sont sur la même longueur d’onde que la réalisatrice. Pour la plupart, ils avaient déjà joué sous la direction de la réalisatrice (Karin Viard, Marina Foïs, Karole Rocher) et on sent une vraie complicité ce qui est idéal pour retranscrire la vie d’un commissariat où chacun à l’habitude de cotoyer l’autre au point de le considérer comme un ami ou un membre de sa famille. Et je ne parle pas de la relation de confiance qu’il y a entre Maïween et Joey Starr : leur collaboration va au-delà de la simple relation de réalisatrice à acteur …

Enfin, ce qui fait également la réussite du film, c’est la capacité de la réalisatrice à alterner les scènes graves et les scènes comiques sans jamais tomber dans le pathos ou la caricature. Deux scènes résument parfaitement cet état d’esprit : une scène poignante où une femme sans abri est obligée d’abandonner son fils en pleur au commissariat et une scène d’interrogatoire avec une adolescente qui se transforme en fou rire général à propos d’une histoire de téléphone portable. Et puis, je ne parle de cette fin totalement imprévisible qui nous laisse bouche bée !

Au final, Maïwenn nous livre encore un film fort qui vient de graver durablement dans notre mémoire. Le casting est vraiment de grande qualité même si, pour une fois, elle aurait pu se passer d’y tenir un rôle. Je lui attribue un bon 8/10 pour le moment mais ça pourrait augmenter aux prochaines visions. Néanmoins, je garde une préférence pour ses 2 premiers films dans lesquels elle livrait une vraie part d’elle-même.

[Moviewar]

[Criminale]

Tout à fait d'accord !

Premier Maiwenn pour ma part et excellente réussite.

[nicofromtheblock]

Bilan du mois d'Octobre

31 films vus (26 au cinéma - 4 en DVD - 1 en DivX)

Moyenne : 6,26/10

Classement par pays :

USA : 20
France : 4
Afrique du Sud : 1
Angleterre : 1
Belgique : 1
Canada : 1
Chine : 1
Iran : 1
Suède : 1



Film du mois




Coups de cœur du mois




Films découverts (29 films)

- Super - James Gunn [DVD, VO] 6,5/10
- The new daughter - Luiso Berdejo [DVD, VOST] 5/10
- Bird - Clint Eastwood [Ciné, VOST] 7,5/10
- Dream house - Jim Sheridan [Ciné, VF] 4/10
- Drive - Nicolas Winding Refn [Ciné, VOST] 8,5/10
- Trust - David Schwimmer [DVD, VO] 7/10
- Fury - Fritz Lang [Ciné, VOST] 7,5/10
- Le skylab - Julie Delpy [Ciné, VF] 7/10
- Toast - S.J. Clarkson [Ciné, VOST] 4,5/10
- Apollo 18 - Gonzalo López-Gallego [Ciné, VF] 3/10
- What's your number ? - Mark Mylod [Ciné, VF] 5,5/10
- Another earth - Mike Cahill [Ciné, VOST] 6,5/10
- Adem - Hans Van Nuffel [Ciné, VOST] 6,5/10
- Bé Omid é Didar - Mohammad Rasoulof [Ciné, VOST] 5,5/10
- Skoonheid - Oliver Hermanus [Ciné, VOST] 7/10
- The artist - Michel Hazanavicius [Ciné, VOST] 7,5/10
- Till det som är vackert - Lisa Langseth [Ciné, VOST] 7/10
- Polisse - Maïwenn [Ciné, VF] 8/10
- Another silence - Santiago Amigorena [Ciné, VOST] 5,5/10
- Real steel - Shawn Levy [Ciné, VF] 6/10
- Paranormal activity 3 - Henry Joost & Ariel Schulman [Ciné, VF] 3/10
- The thing - Matthijs van Heijningen Jr. [Ciné, VF] 4,5/10
- Les adoptés - Mélanie Laurent [Ciné, VF] 6,5/10
- Su Qi-Er - Yuen Woo-Ping [DviX, VOST] 6/10
- Cedar Rapids - Miguel Arteta [DVD, VOST] 6,5/10
- The ides of march - George Clooney [Ciné, VOST] 7/10
- Killer elite - Gary McKendry [Ciné, VF] 5/10
- The adventures of Tintin - Steven Spielberg [Ciné, VF] 6,5/10
- Young Frankenstein - Mel Brooks [Ciné, VOST] 7,5/10

Films revus (2 films)

- Drive - Nicolas Winding Refn [Ciné, VOST] 8,5/10
- Badlands - Terrence Malick [Ciné, VOST] 7,5/10

Séries

- 2 broke girls 1x03 à 1x06
- The Big Bang theory 5x03 à 5x07
- Breaking bad 3x01 à 3x13
- How I met your mother 7x04 à 7x07
- How to make it in America 2x01 à 2x04
- New girl 1x03
- Suburgatory 1x01 à 1x04
- True blood 4x01 à 4x08
- Up all night 1x01 à 1x03

Beauté du mois

Deborah Ann Woll / Alexandra Breckenridge / Courtney Ford (True blood)

Alicia Vikander (Pure)



Bérénice Béjo (The artist)



Carey Mulligan (Drive)



Evan Rachel Wood (The ides of march)

[Kakemono]

Une critique de prévue pour Fury?

[ERNST STAVRO BLOFELD]

Très belle critique de Polisse Je voulais en faire une mais faute de temps j'ai laissé traîné. En lisant celle-ci je retrouve 95% de ce que je voulais dire. Tu as parfaitement éclairé les points forts et souligné les faiblesses du film. Après les basses attaques sur Maïween, ça fait du bien de lire quelque chose de censé sur le film le plus réaliste que j'ai vu cette année. Chapeau et bien écrit en plus.
Je pense que tu es le Bomien dont les goûts se rapprochent le plus des miens. Ce que j'apprécie surtout c'est que tu restes toujours nuancé et lucide dans tes critiques. C'est une qualité appréciable parce qu'elle se fait assez rare sur ce forum. Les délits de sale gueule et autres guéguerres d'ego prennent trop souvent le pas sur le cinéma.

[Logan]