[Scalp] Mes Critiques en 2011

[Waylander]

dans les 4 films ya quoi?

[Scalp]

Backdraft, Frost/Nixon après y a les Disparues mais j'en ai très peu de souvenirs donc si ça se trouve c'est nul, pour le 4 ème je suis un peu emmerdé, gamin j'aimais bien Horizon lointains mais bon si ça fait comme Willow je dois détester maintenant, donc pour le 4 ème je sais vraiment pas, Appollo 13 ptet pas revu depuis le ciné.

[Kakemono]

A part Frost/Nixon, je vois pas ce qu'il a fait de bon. Je met a part sa fille, hors compétition bien sûr.

[Heatmann]

Ouai c'est vraiment bien bon Backdraft , moi j aime vraiment beaucoup , comment il film trop bien le feu , du vrai en plus , c est heroique et epic ,et tout le cast tue , une des VHS que je matait le plus avec entre autre black rain aussi , et pis t as raison le score de zimmer defonce quoi ! presser de le revoir en HD .
" you go, we go "

et THE Best celle qui te donne envie de te jeter dans les flammes avec une hache

sinon ouai le script pour un gros blockbuster de cette epoque c est vraiment une bonne surprise paufiner et pas trop lambda . cast, real, effet , musique , panache, tout ca vaut au moin 7.5 vue l engouement , faut pas se frainer au prejuger rouquin et assumer son plaisir

par contre de howard le frost nixon j ai le bluray depuis la sortie qui traine et pas encore vue , mais je suis sur d aimer , en revenche the missing , son western , c'est vraimnent pas terriblehein , jte conseillerai pas de le revoir scalp , ou alors si , comme ca tu te rendra compte que ben enfait c est pas mal pourri quand meme j exagere un peu , me souvient ( revue ily a pas si longtemp , genre - de 2 ans ) que j avait plutot bien aimer jusqu au moment ou blanchette soigne le jeune indien avec tommy , dans une espece d'abri comme une grotte et a partir de la ca devient vraiment mauvais pour moi

[Waylander]

Bah the Missing c'est vachement bien pourtant.

[Heatmann]

ouai j'aime bien sans plus jusqu'au moment que je dit , apres j aime vraiment pas non

[Scalp]

Inside Phedon Papamichael - 2008

Une vague de suicide dans un bled paumé ( en fait y se suicide parce qu'ils ont vu le dernier film de Sofia Coppola )

Pourri de bout en bout, à sauver le générique de fin pas trop mal ( mais ça dure 20 secondes ).
Un film sans aucune inspiration qui se contente de mixer pleins de films : Emprise, les films de fantômes japonais, les films de doppelganger, la seule bonne idée c'est de placer l'intrigue dans une petite ville de chrétien extrémiste, pour le reste un air de déjà vu trop omniprésent gâche véritablement la vision surtout qu'il n'y ni sang, ni suspens, ni boobs, rien en fait les séquences de morts sont bien foiré.
Phedon Papamichael aurait mieux fait rester chef opérateur ( chez Stone notamment ) plutôt que s'essayer à la réalisation on bouffe du jump scars bien bidon à toute les sauces et le gars est incapable de mettre en scène une séquence de mort correct.
Le casting est porté par la nouvelle tête à claque du ciné us Thomas Dekker et il est juste insupportable, l'actrice principal est mimi mais bon ça veut pas dire qu'elle sait jouer, sinon y a la fille à Bruce Willis ( celle qui a une drôle de tronche ) qui crève au bout de 5 minutes.
Une belle merde.

1/10

[Heatmann]

ah papamichael c est un bon DP pourtant , c es tbien vautrer la

[Scalp]

Oue bien nase là ( et même pas un mot sur le pitch du film ? )

[Heatmann]

tu veut dire l attaque gratuite mais comprehensible a la jugulaire de sofia ?

[Scalp]

tient un petit papier très gentil sur le talent de Sofia

[Heatmann]

comme c'est long , pis c est ecrit petit pis j en ai vraiment rien a secouer de la sofia, pis la sur la photo elle meme encore plus laide que jamais

[Scalp]

Bon allez je te sors les meilleurs passage :

"Et de fait la carrière de réalisatrice de la petite Sofia commence mal. Virgin suicides est un navet insipide, la petite Sofia fait comme elle peut, pensant bien faire, elle inclut, dans la bande-son les tubes qu’elle écoutait en boom à la fin des années 70 — rappel : les années traumatiques, Papa fait sa crise du Viet-Nam — et nous parle de la désespérance de ces jeunes filles américaines trop gâtées par des parents trop riches et trop distants, on ne parle pas assez de cette désespérance-là, je vous l’assure"

"Dans la nouvelle vague pour les Nuls et le Cinéma en dix leçons et sans peine, elle lit sans doute que le réalisateur parle souvent de lui-même dans tous ses films, vaillante petite Sofia qui décide de délimiter scupuleusement le périmètre de son cinéma, un cercle de cinq ou six pouces de rayon autour de son nombril"

"Bref la petite Sofia qui, encore une fois, aurait sans doute fait une excellente esthéticienne ne sait absolument pas faire de films, elle ne sait pas parler d’autre chose que d’elle-même et elle aimerait tellement qu’on l’aime autant qu’elle s’aime elle-même. On aimerait bien lui proposer une aide charitable, lui faire la liste de tous les trous par lesquels son film prend l’eau, on n’en finirait pas. Dès le troisième plan ce n’est qu’une suite ininterrompue de plans prétentieux et ineptes"

[Heatmann]

de la musique a mes oreilles a lire ces passages

[moricenlive]

Bon allez je te sors les meilleurs passage :

"Et de fait la carrière de réalisatrice de la petite Sofia commence mal. Virgin suicides est un navet insipide, la petite Sofia fait comme elle peut, pensant bien faire, elle inclut, dans la bande-son les tubes qu’elle écoutait en boom à la fin des années 70 — rappel : les années traumatiques, Papa fait sa crise du Viet-Nam — et nous parle de la désespérance de ces jeunes filles américaines trop gâtées par des parents trop riches et trop distants, on ne parle pas assez de cette désespérance-là, je vous l’assure"

"Dans la nouvelle vague pour les Nuls et le Cinéma en dix leçons et sans peine, elle lit sans doute que le réalisateur parle souvent de lui-même dans tous ses films, vaillante petite Sofia qui décide de délimiter scupuleusement le périmètre de son cinéma, un cercle de cinq ou six pouces de rayon autour de son nombril"

"Bref la petite Sofia qui, encore une fois, aurait sans doute fait une excellente esthéticienne ne sait absolument pas faire de films, elle ne sait pas parler d’autre chose que d’elle-même et elle aimerait tellement qu’on l’aime autant qu’elle s’aime elle-même. On aimerait bien lui proposer une aide charitable, lui faire la liste de tous les trous par lesquels son film prend l’eau, on n’en finirait pas. Dès le troisième plan ce n’est qu’une suite ininterrompue de plans prétentieux et ineptes"

D'la merde.