[Heatmann] Mes Critiques en 2010

[Heatmann]

grand polar the pledge , fin geniallisime , plein de truc a denicher dans ce film j ai un super bon souvenir de l image du dvd , mais un blu serait evidement le bienvenue

[zack_]

Moi pas je l'ai pas compris la fin. Insomnia j'adore et pour allez dans la comparaison j'aime aussi beaucoup Photo Obsession.

[Heatmann]

le meutrier il etait dans la voiture en feu au bord de la route , plus le film avance plus le film te fait croire que nicholson a tort , qu'il a perdue son instint , et enfait non , il avait raison tout le long , et le tueur allait vraiment venir dans la park , del toro etait bien innoncent , et a la fin nicholson murmure " he was goin to come "

[zack_]

ah ouai mais

j'ai tellement pas accroché que je me rappel de rien donc ton spoil me parle pas mais merci

[Heatmann]

UNSTOPPABLE

6.5/10

Vraiment un pur film d'enterteinment a l'ancienne , le film ne delivrer jamais rien d'autre que son concept et la recette dont il provient , pas de surprise, alors oui un film assez previsible si on reste objectif , mais tres satisefaisant tout de meme . Unstoppable etait annoncer , presentie et monter comme une reatualisation de Runaway train , avec un soupson de Speed, un film catastrophe shooter tout "in camera" facon blockbuster 90's , tout en effet pratique , peu de cgi , et avec Sir tony scoot derriere la camera, et ben le film fait exactement tout ca, ce que l'on est en droti d'imaginer ou d'attendre d'un tel melange de talent , et ben on l'as , rien de plus , rien de moin , au moin vous etes prevenue !
Alors ce unstoppable c'est quand meme je pense un film qui plairas surtout aux grand friand de la tony scoot touch' , et les nostalgique et grosse production qui font du bruit quon a eu au milleu des annes 90 . Bon ca atteint pas le niveau d’adrénaline de Speed, chef d’œuvre d’action non-stop qui a redéfini la notion de rythme de ce genre de films , mais ca fait bien son effet quand meme ! d'ailleur le dernier du genre avant ce T scoot je voit meme pas ce qu il y a eu .

Ca dure 1h30 donc pas le temp de trainer, des le debut, Tony scoot film ces depots ferovieres avec un panach et une classe affolante , ces tics et gimmick visuel sont immediatement en place et reconnaissable, mais la il poursuit sur la ligner de deja vue et pelham dans le sens ou c'est quand meme plus "classic" et structurer , enfin toujour avec son approche tres explosif aussi hein , enfin c'est plutot proche d'un spy game ou enemy of state au niveau des jump cut et tavelling circulaire que de la frenesi stylistique de man on fire ou domino. et pis alors ce unstoppable au niveau du contrat des couleurs , c'est une prouesses , les couleurs petent et sorte litterallement de l'ecran , la palette est vraiment intense , un regal pour les yeux . Le train est rapidement partie sur ca folle lancer, sans pilote a bord et sans que aucun frein n'est ete fixer non plus , donc ca limite les possibiliter et option pour arreter la machine . A peu de chose pres c'est quand meme tres proche du film Konchalovskiy . le train s'emballe et ici il a aussi una cargaison de produit toxique hautement explosif . les autorites sont mobiliser pour securiser les passage de village et croisement routier, et Scott il aime bien quand y a plein de patrouille de polices et des helicos qui s'exitent . la ont a aussi une rosario dawson qui vient faire le minimum , et gere tout depuis sont poste d'auguilleur , un role derrier un bureau avec plein de platine remplit de bouton qui clignotte donc ..

Enfait denzel et chris pine sont meme pas vraiment les perso principaux , le vrai personnale central du film c'est vraiment le 777 , le train . filmer comme un pur monstre de metal , massif, rapide, inaretable , intimidant . la ou le ruaway train a pour lui vraiment plus de matiere , de densiter et surtout des vrai perso interressant , ici , unstoppable a pour lui vraiment une forme qui tue , une realisation tout en mouvement , ultra dynamique, haletante , meme si au final le tot de destruction du film est relativement timide, sur le chemin du train , il n'y a pas temp de peripeties et de d'explosion que ca . Washington et pine on leur petite intro , rapidement ont voit ce qui les separe, les roles sont assez grossier et consensuel . Denzel c'est le vieux de la vielle , le pro du train , le rocky balboa des cheminot , on lui fait pas, il connait le moindre boulons,et en plus il a les syndicat derriere lui et vient d'etre virer , ah et pis il a des pti probleme relationel avec ces filles , du roles typique de grosse prod US quoi , et pis il est assis dans sa cabine tout le long, pas du grand denzel donc , mais lui aussie est pro et fait le taf . Pine lui c'est encore plus cliches . sa femme la quitte, il peut pas voir son fils, il a donc plein de truc a prouver, et en plus au boulot , les papy aiment pas le rookie quoi , enfin du dej vue 1000 fois et leur evolution sera vraiment minime . leur relation tres previsible et pis ils commence vraiment a croiser la route de la destiner du 777 vraiment que a partir de 45 minute , avant ils sont meme pas concerner .

Alors ca se transforme vite en rebelle contre les grosse societer , l 'heroisime est exaltante mais le finale un poil trop puritain, d'ailleur sur bien des point , si on rem place le train pas une asteroide , unstoppable est tres proche d'Armageddon dans sa structure , devellopement et themes . Mais Scott est toujours autant un virtuose du cadre et du rythme, en bon spécialiste de l'outrancier maitrisé plus fin qu’il n’y parait il nous balance malgré tout un pur concentré d'action ultra efficace, même si cousu de fil blanc pour nous livrer un film maîtrisé de bout en bout sur la forme , à l’efficacité imparable, qui ne nous laisse pas une minute de répit , du pop corn movie pur et simple ! Sur d'autre ressemblance et similitude dans les caractristique des 2 perso , leur role et leur interaction , on pourrait aussi etiquetter ce unstoppable de "perfect storm version train " en plus light quand meme . denzel c'est le vieux loup de mer comme clooney et pine/whalberg c'est kif-kif . Dommage que les persos sont si fade et effleurer , quand il titille des vrai projet ambitieux comme man on fire on a vue comment ca peut terminer en perle ! sinon le score d harry gregson williams est comme d'hab super trepidant et classe .

[zack_]

Bravo Scotty
Par contre ca vole pas si haut en note...

un film catastrophe shooter tout "in camera" facon blockbuster 90's

L'argument qui tue
Même si ca rivalise pas avec Speed tu me donne grave envie
Je le prendrai en BD dès sa sortie

[Heatmann]

j'aurai volontier mit plus, le coeur y ait sur la forme absolument rien a reditre, mais franchement le perso de denzel et celui de pine c'est vraiment trop leger, cliches et effleurer, alors pour ce genre de film c est pas genant , mais y a quelque approfondissement de perso d ecrit qui aboutissent pas , et pareil pour la destruction finalement assez timide , sinon du tout bon ouai

[Waylander]

La séquence ou on découvre ce qui s'est réellement passé pfff comment c'est du grand cinéma.

J'ai vu Mother et j'ai jamais vu de séquence si excellente que ça même celle dont tu parles. Il est où le grand cinéma dans Mother? (surtout que la scène n'a rien de techniquement bluffant et ya pas de cliffangher qui tue c'est juste q'uon voit ce qui s'est passé quoi).

C'est un petit film, un petit drame très bien interprété et touchant à la réalsiation académique très jolie, bonne photo mais c'est tout quoi.

[Heatmann]

ben non cest pas tout , ont en a pas la meme perception voila tout . perso tout ce que je pense et comment je voit le film est dans ma critique , et on a ete nombreux dans ce cas la d'ailleur , ca t'as rien fait de special certe , mais n'en fait pas un film "simpliste" pour autant , c'est juste une difference de sensibiliter , et je parle pas de sentiment

[Waylander]

C'est quand ça t'arranges toi l'objectivité.

J'ai pas dit que le film était simpliste.
C'est même un des films intimistes les plus subtils que j'ai vui car rien n'est expliqué, rie n'est clairement "définit".
C'est juste que techniquement et surtout la scène dont Scalp parle je vois pas trop ne quoi c'est du grand cinéma.

[Heatmann]

ben non pas du tout , tu balance ca n importe comment , ta reflexion tu te la garde , faut que t arrete avec tes vieux prejuge a mon encontre ..
et le je parle meme pas d objectiviter en plus , je parle de perception personnel , tu trouve que c est " un pti film bien mai c est tout " ( jte cite ) et moi jte repondais juste que c est ta perception des choses et que bcp y ont vue un superbe thriller, rien avoir donc avec ton attaque gratos et infonder sur l'objectivite .
le " chacun ces gout " ca fait depuis le debut que je le prone , alors t es gentil mais ton roll eyes tu l'as pas voler tient :

[Waylander]

Nan mais viens pas donner tes leçons sur Freddy (par exemple) pour ensuite défendre les films que t'aime avec l'argumente du "chacun ses gouts". On le sait ça mais toi tu parles de ça que quand ça t'arrange et que quelqu'un n'aime pas un de tes films cultes alors arrête un peu.
En plus j'ai pas dit que c'était juste un petit film sympa je dit juste que je vois pas en quoi LA scène que cites Scalp fait partie du "grand cinéma. Ss too.

[Scalp]

Bein c'est du grand cinéma et pis c'est tout, ça paye pas de mine mais c'est sans faute niveau cadrage, montage et tension, du grand cinéma quoi.

[Waylander]

Ouais c'est sans doute normal vu que niveau forme ça prend pas de risque, c'est académique/maitrisé/sobre tout ce qu'il faut pour faire croire que c'est bien réalisé alors que c'est juste basique.

[Scalp]

Le basique tu aimes quand ça t'arrange ( non parce que bon Malick niveau réal voilà quoi ) bon le film ça fait quasi un an que je l'ai vu donc j'ai pas la scène en détails mais si elle m'a marqué c'est que sacrément bien branlé ( bein oue j'ai LE gout ultime quand même )