JOHN RAMBO
8.5/10
Depuis son flamboyant come back avec le touchant et juste grandment reussi rocky balboa , Sly est devenue le pourfendeur d'idees recut et de moquerie que son nom evoquait jusqu'alors . et quand , en toute logique et pour le plus grand plaisir de ces fan , il annonce faire un rambo4 , c#etait pas san seveiller les doutes et attaque facile des pseudo snob et tete pensantes de la critique pro .
si on fait donc l'effort de ce debarrasser de ces idees recut viellote , retrograde , il faudra bien admettre que le cinema de Sylvester Stallone est peut-etre plus subtil qu’on a bien voulu le croire ! et oui ! Si l’ide de remettre le perso de John Rambo sur les rails du film VRAI d’action aurait pue preter a rire , Sly a eu le bon gout , et son experiance sur le sujet est quasis divine , de ne pas prendre son sujet avec derision mais ou a la vas vite , et au contraire, d’approfondir le plus serieusement possible le caractere torture de se veteran de moult conflit et combat qui le rend bien .
et ce , sans oublier de livrer quelque moment de bravoure , de barbarie , qui repousse les limite d'alors et emballe un putain de film d'action sauvage , dans une jungle superbement filmer , de simages d'une grande finesse , cadrer avec soins , eclairer avec elegance , on en prend plein les eyux , plein les oreilles comme on en a pas pris depuis un bail avant ca .
Avec son dernier rocky , sly fut sincere, le perso etant un veritable mirroir du bonhomme et ce , depuis le 1er episode , et reflete l evolution de sa carriere de la meme maniere que l'evoution de balboa , le resulta on le connait , je vais pas repeter la liste de qualitatif , mais c'est un vrai succe critique , chose tres rare pour sly , et succe coimmercial, on a tous ete tres emus par cette richissime star dechue qui s’apitoyait sur son propre sort , que la vie a separer de son ame soeur , puis a un dernier moment de gloire . tout comme le rocky 5 d'laors, sly reprend son autre perso culte , john rambo , qui meme si il enchaine 2 tres bon episode , c'etati achever sur un number 3 moin satisfaisant ( moi je l'aime bcp rambo 3) , bref sly veut finir ca en beauter et redorer l'aura de son perso comme pour son boxeur .
le parralele qu'il y avait entre balboa et le vrai sly etait absent avec Rambo , mais la naissance de ce 4 dans les circonstance qu on connait ca changer ca, rambo/sly vit une retraite pas si paisible dans le nord de la Thaïlande ou il chasse des cobras pour des fermes a serpents, c'est un bien leger frisson en guise de reminiscence de sa vie passer . Cette routine tristounette se voit trouble un beau jour par une bande de missionnaires qui lui demande de les guider jusqu’a la frontiere birmaneou l’arme commet des genocide parmi la population rurale, il va au debut refusere mais lorsque son discours nihiliste et desenchanter ( belle interiorisation de sly , on sent le desaroie dans ces yeux ) se heurte a celui d’une jeune femme idealiste ( julie benz tres mimi et convaincante en femme determiner , une bonne alternative a maria bello par exemple ), fermement decide a sauver les paysans birmans, il accepte.
Qu’estce qui pousse Rambo a aller se compromettre dans l’enfer birman qui a coup sur le replongera en pleine tuerie sanglante ? et on attend tous un peu ca quand meme aussi ! et ben je pense La meme pulsion qui contraint et pousse Stallone a faire ce film ! le fait que quelque par, c’est inscrit en lui. L’un est une implacable machine a tuer, qui ne vit que pour et par la violence , il l'explique bien dans le beau discour en voix off lorsqu'il forge sa machette . L’autre est une eternelle star de films d’action, qui ne vit que par et pour l’exhibition de sa musculature, et de ces envie de donner le plus d'humaniter a ces perso en apparence brutos only . L’un comme l’autre ne peut en demordre. .
de par la simplicit absolue du scenario . des mechant m des gentils, des massacre injuste , des capture, rambo au millieu, un bande de mercenaire un peu en manque de leader , un mission de sauvetage et par la meme occasion tuer tout les mechant . point , il remet au gout du jour le film d’action bourrin a l'ancienne, avec une rage , une furie qu'on avait pas vut depuis des lustre. parceque comment que ca se presente les vrai film d'action violent et bourrin des annnes 2000 ? Si on se base sur les deux meilleur exemples les plus recents, 300 de Snyder et Apocalypto de Gibson ( la c'est de tete et des coup de coeur , si vous avexz des exemple plus probant , allez y ! ) , on constate qu’il est moins question du spectacle de la violence que de se mettre en valeur grace a elle. Tous deux, que ce soit par l’utilisation des technologi numeriques new wave pour 300, ou le cadre cinematographiquement vierge de la civilisation maya pou apo , utilise la minceur de l’argument du film ( une chasse a l'homme et une adapt de comics guerrier ) pour faire la promo de leurs propres mises en scene et le direction extreme de leur concept . Stallone , meme si il est pas forcement moins narcissique, est par contre a l'opposer de cette mentalit.
Seul son sujet l’interesse, son John Rambo et sa rage contenue ( pareil que la fameuse " bete" qu'il a tjrs en lui qu'il evoque dans balboa dans un dialogue avec paulie ) avec pour unique enjeu du film, de savoir quand cette derniere eclatera. d'ailleur il prend ce retour aux sources au mot : la violence, la brutalite, et la fascination malsaine qu’elles suscitent ( entre le massacre du village au debut par la troupe de mechant , c'est assez radicale , tout y passe , femme enfant , vieux , ca coupe, tranche les tete , jambe, jette dans le feu , c'est efferene ), deviennent la matiere premiere du film, pousse ici dans ses retranchements les plus extremes. Les scenes de boucherie tant attendues ( et y asussi le jeu d'eviter les mine dans les maracage ), qui firent le succes des precedents Rambo, explose dans une apotheose et un climax jamais vue ! apres avoir ete temoin d'une superbe infiltration nocturne du camp enemeis pour liberer les otage ( super montage, belle ambiance de nuit claire, le snipe en soutient , sly furtif , ca pete ) .
le film est Mene tambour battant, ca court de partout , degaine des arc et de desert eagle , l'aventure a le gout sale des meilleurs survivals des annes 70 avec un traitement de la violence sec et realiste , mais aussi un perso emouvant gracea un sly en grande forme physique et qui a paufiner ces dialogues et a presque jamais ete aussi bien diriger que par lui meme .
Stallone, c’est evident hein , n’est pas la pour flatter l’intelligence du spectateur , il file une patate monstrueuse pendant une heure trente et remplit toutes ses missions qu'il c'etait fixer sans viser trop haut , au moin sa evite tout deception , il ne s’attache pas a un discours predeterminer et attendue par le scenario ( un peu l’anti-Inarritu quoi !! et hop une attaque gratos !) et entre le pessimisme de Rambo et l’humanisme de la jeune missionnaire, il tranche pas ,le long champ/contrechamp final entre les deu est assez beau et en dit long , de jolie non dit comme souvent dans ce dernier opus. Sa modestie de cineaste et d'homme humble , ben oui il est jamais pretentieux , on sait a peu pres ce qu'il veut faire et livrera , et ca s’accommode parfaitement de la sobriete de son ambition ( jusque boucler la boucle avec d'ailleur le plan final evocatif et parfait ) et laisse le film parler de lui-meme . et ca , c'est plu strop souvent que ca arrive de nos jours