[Scalp] Mes critiques en 2010

[Scalp]

7.5/10

Training Day Antoine Fuqua - 2001

"King Kong ain't got shit on me. That's right, that's right. Shit, I don't, fuck. I'm winning anyway, I'm winning... I'm winning any motherfucking way. I can't lose. Yeah, you can shoot me, but you can't kill me."

Un film toujours aussi plaisant malgré des défauts évidents d'écriture imputable à la Ayer touch. C'est clairement pas un grand film, mais on s'ennuie pas une seconde, y a de la bonne zic (quand ça balance le Dre quand il monte en voiture pfiou), ça sent un peu le bitume ( mais la dangerosité de LA aurait pu être encore plus ultime) et puis on a le show Denzel qui reste un plaisir, Denzel a souvent joué plus ou moins les mêmes rôles, les mêmes registres et là en bad guy on sent qu'en plus d'être mortel il y prend un plaisir monstre.
Si on met de côté les clichés sur les gangs en gros les blacks font tous de la muscu et les jeunes latinos c'est des chaudasses ( pas plus gênant que ça ) le gros problème c'est l'écriture du perso de Denzel, y a aucune nuance, d'entrée il nous ait montré comme un gros con cynique et plus on avance et plus c'est un gros enculé dont on va être content de voir la chute, par exemple lors des scènes avec Eva Mendes et son gamin, Ayer aurait put essayer de rendre son personnage un peu attachant histoire que le final gagne en puissance bein non même avec sa famille c'est un gros con, on est loin d'un Vic McKay, Alonzo c'est un ripoux bas de gamme qu'on va être content de voir crever ( et la fin fait trop Scarface du pauvre ) et pis il est peu too much le perso, caid d'un quartier remplit de gang ( les figurants sont des vrais Crips ), faut ptet pas abuser quand même ( même dans The Shield ils ont pas osé allez aussi loin ), et on a rien de son background, de ses motivations c'est juste un enculé et c'est tout, alors ce genre de défaut serait rédhibitoire dans 90% des films mais la performance de Denzel fait que ce défaut passe crème finalement, alors ça empêche le film d'être ultime mais ça l'empêche pas d'être cool.

"Take that dick and stick it up that funky little ass of yours, bitch. Damn, I'm thirsty."

Comme j'ai dis Denzel dans le film il est on fire (oscar amplement mérité), il essaye de changer ses mimiques habituelles, le sourire carnassier remplace le sourire de beau gosse, là je vois pas Denzel ( comme dans pas mal deses films ) mais je vois vraiment Alonzo et il a quelques gimmicks sympas comme quand il s'amuse avec ses guns ça fait bien classe, curieusement par contre contre il a déjà été plus charismatique, Ethan Hawke fait le job avec talent comme, niveau second rôles c'est la classe on a Eva a poil, D.Dre, Snoop et Macy Gray, Cliff Curtis en latino (et j'adore ce mec), Scott Glen en mode je suis super costaud et diserte sur la vie en picolant du Jack Daniels, Tom Berenger et Harris Yulin en super ripoux et pis on a plein de gros black baraqués ( y a Terry Crews qui fait de la figuration ).
Niveau rythme la journée est bien gérée et on suit avec intérêt la descente aux enfers du rookie, et y a des scènes qui font plaisir : Alonzo qui monte dans voiture avec Dr Dre en zic (déjà dit mais ça fait du bien de le dire 2 fois, ici c'est pas du James Newton Howard quoi, c'est Dr Fucking Dre) ça le fait et j'adore la scène ou il sort ses 2 guns à la gangsta et tire en pleine rue sur le gang qui l'attaque (burne en acier trempé le mec), et pis la relation entre Hawke et Denzel fonctionne bien avec des dialogues vraiment bons (le film tient beaucoup sur ça), les rebondissements sont bien vus et l'arnaque est bien amenée sans jamais paraitre abusée ( ou presque ).
A la réalisation Fuqua fait pas d'étincelles et peine réellement a poser une vrai ambiance urbaine sur son film (en réal pure il a fait bien mieux, mais bien pire aussi), mais y a quelques trucs que j'aime bien comme la première scène ou Alonzo braque Hoyt ou le mini gunfight dans l'appart ( bel enchainement de plan avec le pompe sous le lit ) par contre la baston est un poil too much.
On est quand même bien loin du niveau d'un Narc mais ça reste un film hautement recommandable.

"What a day. What a motherfuckin' day.

[jean-michel]

un film de merde!!

[Scalp]

Pourtant y a des gros black tu devrais aimer

[Scalp]

Inglourious Basterds Quentin Tarantino - 2009

Projet longtemps attendu et fantasmé par tous les geeks de la planète, Tarantino lâchait enfin son film de guerre 10 ans après l'avoir annoncé, bon ça n'a plus rien a voir avec le traitement officiel qui devait regrouper les acteurs fétiches de Q : Tim Roth, M.Madsen entre autre et aussi et surtout tous les gros bras d'Hollywood ( Stallone, Willis ... ), Tarantino prend tout le monde à contre pied en livrant un pur film Tarantinesque tourné dans l'urgence et avec des décors un peu cheap pour un film de guerre.

Chapitre 1

Voila peut être bien la séquence la plus maitrisée de toute la carrière de Tarantino : une table, un verre de lait, une pipe et 2 acteurs.
Cette scène c'etait la découverte d'un acteur inconnu ( qui a joué dans Derrick quoi ) qui le pensait on allait devenir un acteur de premier ordre mais finalement ça restera un mec bon que chez Tarantino (parce que le reste de sa filmo c'est juste horrible tellement il est mauvais, dernier exemple en date avec le Bond), C.Waltz en 2 lignes de dialogues on voit que c'est un tout bon (chez Tarantino donc) et son aisance dans toutes les langues est une merveille, il est aussi à l'aise en français qu'en anglais qu'en allemand, c'est un truc qu'on pourrait prendre pour de l'esbroufe mais on va vite se rendre compte que cette maitrise des langues est essentiel au récit ( bon par contre qu'un paysans français de 1940 parle anglais c'est un peu limite niveau crédibilité ).
Si la musique de Morricone et la lenteur de la séquence fait qu'on pense indéniablement à Leone, la référence absolu de ce premier chapitre reste John Ford et la Prisonnière du Désert, il reprend le même plan sur le pas de la porte et l'arrivée de Landa au loin fait clairement penser à celle de Wayne.
L'acteur français dont j'ai zappé le nom est vraiment bon lui aussi, bon par contre Lea Seydoux on va rien dire, heureusement elle parle pas.
La scène d'un point de vue mise en scène transpire la maitrise, y a pas un mouvement de caméra qui est superflu, y a pas une ligne de dialogue qui est inutile, y a pas un jeu de regard qui soit de trop, non c'est juste parfait.
Le déferlement de violence arrive d'un seul coup et nous surprend.
Christoph Waltz est sûrement la chose la plus excitante de tout le métrage tant il habite son rôle avec une justesse incroyable, en étant à mourir de rire à chaque regard ou chaque parole tout en étant effrayant et crispant à chaque seconde, un modèle de bad guy qui se sait supérieurement intelligent et qui joue avec ça tout au long du film.


9/10

Chapitre 2

De loin c'est le chapitre le plus jouissif, mon coté bourrin fait que j'aurais aimé avoir un film essentiellement dans cette veine. Ce chapitre réserve 2 séquences génial : la présentation de Till Schweiger en Hugo Stiglitz super badass et bien entendu l'arrivée de Eli "Jew Bear" Roth qui sort de sa grotte sur un score magique de Morricone avec le son de la batte qui se rapproche et qui va allez exploser la tronche de Richard Sammel ( un acteur qu'on aimerait voir plus souvent tant il a ce petit truc en plus ), dommage qu'on ait pas le flashback avec Roth a New York comme c'était prévu dans le script, le second interrogatoire devient très drôle avec un allemand qui se chie dessus et un Tarantino qui s'amuse avec sa caméra.
Dommage qu'on ait pas plus de Basterds, et qu'a part Brad Pitt qui en fait des tonnes en gros beauf ricain mais y déchire (sa dernière bonne prestation en fait, depuis c'est devenu une caricature d'acting, sauf dans Cartel) et Eli Roth les autres rôles ne soient pas développé, y servent à rien même, un peu nul pour un film qui porte le nom de ce bataillon.
Et on découvre le Hitler de Tarantino avec plaisir.
Un chapitre malheureusement trop court.

9/10

Chapitre 3

Pour moi c'est clairement le plus faiblard, c'est plombé par Mélanie Laurent qui n'est pas à sa place dans un Tarantino et elle nique quasiment toute les scènes ou elle apparait sauf les retrouvailles avec Landa mais là c'est surtout grâce au talent de Waltz que la scène est génial, on a un peu l'impression que Tarantino a dut mal a diriger ces acteurs en français, mais c'est rien comparé à Jacky Ido qui dans le genre mauvais se pose là, dès qu'il ouvre la bouche ça sonne faux et il fait jamais "année 40".
Les scènes de dialogues entre l'allemand et Laurent sont bien mais font un peu trop je me la pète, Tarantino n'a pas put s'empêcher de les faire parler cinéma et c'est pas forcément super bien écrit ici, ça fait un peu forcé et pas follement passionnant, Tarantino étale son savoir de manière trop grotesque pour que ce soit convaincant.
Autre truc qui me chiffonne c'est que finalement la confrontation Landa/Shosanna ne débouche sur rien et c'est laissé de coté dans la suite du récit.

6/10

Chapitre 4

Ce Chapitre aussi réserve une scène d'anthologie, pourtant ça commence mal ça parle encore cinéma et toujours mauvais Myers a un petit rôle heureusement dès que les Basterds apparaissent ça devient plus cool et ça disserte sur pourquoi un rendez vous dans une cave : " C’est dangereux de se battre dans une cave premièrement parce qu’on se bat dans une cave…"
La scène dans le bar est donc magistral avec une tension qui monte petit à petit et un déferlement de violence qui sera très bref mais sacrément intense : Hugo Stigliz powaaa !! par contre j'aurais aimé un truc un poil plus chiadé, ici le montage est un peu trop rapide, on a pas le temps de savourer la scène (en gros tout le monde tire et c'est le bordel).
On découvre encore un nouvel acteur de talent avec August Diehl excellent en Officier de la Gestapo ( un gros enculé donc ) et Diane Kruger est vraiment bonne en Bridget Von Hammersmark' ( largement son meilleur rôle ), les séquences en allemand on été dialogué par le réal allemand Twyker et ça se voit, et puis un film avec un vrai respect des langues c'est tellement appréciable.
Et enfin ça parle cinéma utilement ainsi un soldat allemand et Pitt tergiversent sur la définition du mexican stand-off pour notre plus grand plaisir. Et puis c'est dans ce film que Fassbender a véritablement montré que c'était un grand acteur en devenir (un grand acteur avec une filmo de merde ce cependant).

9/10

Chapitre 5

Un final cathartique où ça bute de l'allemand désarmé à la mitrailleuse ou ça fait cramé du nazi dans la bonne humeur, ou ça vide du chargeur sur la tronche d'Hitler.
Un final qui offre un retournement de situation grandiose et osé que seul Tarantino pouvait se permettre, l'histoire ? quel histoire !!
Landa dans ce chapitre montre pour la première fois que c'est vraiment un fou dangereux, alors que jusque là c'était surtout un beau parleur.
La confrontation Pitt/Waltz tient tout ces promesses : "that's a bingo !!"
Le chapitre s'ouvre sur l'excellent morceau Cat People de Bowie et même Laurent est pas mal, parfaitement mise en valeur et elle joue bien ( normal elle parle pas)
Arrive ensuite un plan séquence à la De Palma ( on a même les escaliers ) qui nous montre tout les protagoniste dans le même lieu, on a Roth et Pitt hilarant dans leurs rôle d'italien, bon eux et la subtilité ça fait 2 mais la scène fonctionne vraiment.
Jackie Ido dont on se demandait l'utilité jusque là a enfin droit à une pure scène : le jet de clope

9/10

Tarantino continue surprendre film après film, il livre ici une oeuvre majeure ( mais pas son masterpiece comme il le dit un peu trop fièrement ), un film totalement cartoonesque, il s'est calmé sur ses citations et fait SON cinéma, un cinéma qu'on aime ou qu'on aime pas mais qui porte indéniablement la patte d'un auteur à part dans ce cinéma hollywoodien en perdition?
Dans les trucs moins bien que d'habitude on a une BO qui à part les morceaux de Morricone et la chanson de Bowie n'a rien de bien extraordinaire, déçu aussi car dans les bonus on voit que Castellari et Bo Svenson ont eu un caméo mais c'est coupé au montage, et dommage de pas voir Maggie Cheung.
Un film qui se revoit toujours avec plaisir mais c'est clairement loin de ses meilleurs films.

8/10

[Heatmann]

ah ouai , ben moi j'aime vraiment pas trop ce inglorious basterds ( jdoit etre le seule ici ) , bof bof , ca ma fait ni chaud ni froid et pis longuet et vain .... ca me donne le sentiment d'un film fait pour les fan de tarantino qui eux prendrons leurs pieds , les autres par contre .....

[jean-michel]

non j'ai pas aimé non plus.... arrêté avant la fin....

[Val]

Superbe critique

D'ailleurs, je crois que tu l'as vu en VF et en VO il me semble, n'as-tu pas trouvé que lors de la première scène, le "switch" en anglais (qui intervient beaucoup plus tard dans la VF) rendait l'effet beaucoup plus saisissant en VF ?

[Scalp]

Oue j'ai remarqué le switch V anglaise VF et c'est vrai que ça rend mieux dans la VF.

[Scalp]

non j'ai pas aimé non plus.... arrêté avant la fin....

ça manquait d'histoire d'amour à la con je suppose.

[nicofromtheblock]

Y'avait pas Anne Hathaway

[Riton]

non j'ai pas aimé non plus.... arrêté avant la fin....

[Scalp]

...

[Scalp]

Nue pour l'assassin Andrea Bianchi - 1975



Oue bon bein c'est pas génial, heureusement qu'il y a plein de nudité ( tout le casting féminin finit à poil mais la vieille Milf, le casting masculin lui se dépoil aussi dans la bonne humeur ).
Des le premier plan du film on est dans l'ambiance ( attention le plan final aussi c'est du lourd avec une petite sodomie ou madame veut pas pis finalement si elle veut, d'ailleurs dans le films les scènes de cul c'est souvent ça, la dame ne veut pas, le gars insiste lourdement et hop y baise ):

Pendant 30 minutes on a même plus l'impression d'être devant un film érotique que devant un giallo, y a des scènes de dragues et de cul qui valent l'oscar, on s'emmerder et Bianchi passe plus de temps a cadrer des nibards qu'a foutre des scènes de meutres.
bon par moment on a un petit meurtre histoire qu'on se rappelle qu'on est devant un giallo mais dès le premier meurtre on a déjà deviner le mobile du crime ( le tueur on peut pas le deviner vu que rien dans le script n'est fait pour que ce soit ludique alors tout les acteurs sont innocenté du coup plus le film avance plus l'identité du tueur on s'en fout ), d'ailleurs du coté des protagonistes personne mène l'enquête et tout le monde s'en fout aussi.
Et quand on a des scènes dites sérieuses bein elle le reste pas longtemps avec des plans sur des tronches d'ahuri ou sur des culottes.



On a vaguement un peu de gore malheureusement mal mis en scène ( les meurtres sont d'une platitude, y a même une scène censé être de tension et d'un seul coup y a un roulement de batterie comme dans les comédie ):
Mais on a surtout la magnifique Edwige Fenech a poil dans 50% de ces scènes ( on l'a revu récemment au ciné dans Hostel 2 et ça fait plaisir ), c'est bien la seule raison qui fait que j'ai regarder le film en entier, elle illumine le film a chaque apparition.
C'est nul mais un peu rigolo quand même.



4/10

[Scalp]

6/10

La Coda dello Scorpione de Sergio Martino - 1971

Petit giallo sympathique d'un des spécialistes du genre, Sergio Martino. On nous présente une héroine qui hérite d'un million de dollar mais surprise elle meurt dans la première demi heure et on part sur qui la tuée. Ca se suit avec plaisir, la liste de suspect est assez grande comme à l'accoutumé ( et pis avec 1 millions de dollars à la clé le mobile fait que tout le monde est suspect et ceux qui sont le plus suspect vont finalement vite disparaitre ) et j'ai même été surpris par l'identité du tueur, le tout est bien amené et ça s'avère plutot solide dans son déroulement ( j'y ai pensé un moment mais suite à un évènement je l'avais rayé de la liste des coupables ). Par contre l'enquête c'est vraiment le minimum syndical, on suit sans grand intérêt, on attend les scènes de meurtres quoi, mais heureusement qu'on a un bon duo qui fait qu'on se fait pas chier.
Les meurtres c'est dans la moyenne (toujours quelques plans en vues subjective) avec quelques séquence bien réussies et où les débordements gore sont sympathiques mais assez rare ( y a une seule scènes vraiment très graphiques le coup de l'oeil, le reste c'est du meurtre au couteaux classique ), les scènes sont bien filmées ( mais on a déjà vu mieux ailleurs ). Martino reste un cinéaste solide et par moment c'est très esthétique grâce à des chouettes éclairages et ça tente des trucs comme l'interrogatoire à l'envers et en plans séquence, ou le super ralenti pour fermer la porte enchainé avec un plan le plus en plongé possibleLe casting est bon ( mais vraiment ) George Hilton est impeccable comme dans tous les films de cette période, c'est une valeur sûre, on a quelques têtes connus comme Luigi Pistili mais on a surtout la sublime Anita Strindberg.
La BO de Bruno Nicolai est vraiment bonne et sauf erreur ça a dut être samplé par Necro ou Jedi Mind Tricks.
Bien sympa dans l'ensemble dommage qu'on pas un peu plus de folie dans les séquences de meurtres.

[Scalp]

5.5/10

Mio Caro Assassino de Tonino Valerii - 1972

Correct après faut pas s'attendre le plus avec le réalisateur du western le plus surcoté all time. Alors c'est du giallo dans la moyenne, plutôt bien réalisé dans l'ensemble mais l'enquête est un peu compliquée pour pas grand chose avec par moment des drôles d'explications ( le dessin par exemple ) et le flic a toujours un train de retard et du coup on a droit au grand monologue final explicatif ( une scène qui fait penser à du Agatha Christie avec tout les suspects réunis dans la même pièce) vu que pendant 1h30 on a quasiment aucun indice pour identifier le coupable, tout le monde est suspect à tour de rôle mais aucun n'est jamais innocenté.
Heureusement ça se suit sans déplaisir, y a pas de coup de mou et les meurtres arrivent régulièrement mais alors faut pas trop réfléchir car niveau crédibilité ça vole pas haut avec un tueur qui bute ses victimes n'importe où n'importe comment.
Les scènes de meurtres mise à part celle de la scie circulaire ne sont pas mémorable mais on a quand même une décapitation à la pelleteuse et ça c'est pas rien, et la scène de la scie aurait méritée d'être plus longue, y avait un gros potentiel, m'attendais tout de même à plus gore, ça reste super soft.
Niveau acteur comme toujours avec ce genre de film ça va du très mauvais au bon avec l'excellent George Hilton nickel en inspecteur columbo mais alors y en certains ça fait peur leur jeu, après on sait même pas en quelle langue ça a été tourné, le film est ici dispo qu'en anglais façon y a pas de version italienne.
Le score de Morricone est pas spécialement marquant.
Ca se laisser regarder, ça se voit une fois mais c'est clairement un giallo très dispensable.