[Jipi] Mes critiques en 2009

Modérateur: Dunandan

Nuit Américaine (La) - 9/10

Messagepar Jipi » Mer 28 Jan 2009, 11:00

La nuit américaine de François Truffaut 1973

La Nuit américaine est certainement le premier " Making off " cinématographique de longue durée de tous les temps.

Toute la machinerie nécessaire au fonctionnement d’un film est présente sur cet immense plateau ou l’on côtoie une véritable pyramide hiérarchique partant d’un essaim de petits boulots (Accessoiristes et assistants) jeunes pour la plupart faisant leurs premiers pas dans les métiers du cinéma.

Cette spirale nous transporte vers le caïd du plateau le réalisateur Ferrand essayant en maîtrisant son stress de faire avancer le tournage de son film « Je vous présente Paméla » compromis quotidiennement par les humeurs des comédiens qui ne sont que des humains fragiles devant contenir les trépidations capricieuses d’une vie quotidienne agitée par une concentration à toute épreuve que nécessite l’interprétation de personnages rigoureux.

Ferrand se débat entre journées épiques et nuits cauchemardesques. Le tout sur pression quasi permanente de son producteur.

Des interactions interviennent entre comédiens et personnages qui ne se contrôlant plus vivent les mêmes passions que leurs rôles. Le virtuel devient réalité.

Séverine actrice grignotée par l’alcool s'avère incapable de réciter un texte à la perfection, toute l’équipe n’étant pas dupe de ses maladresses l’encourage malgré tout à persévérer qu’importe les aléas l’entreprise doit réussir même si il faut employer la flatterie hypocrite qui bypasse le constat d’une actrice déclinante.

Alphonse comédien jeune et fougueux à l’image de Julien Sorel ne sait pas gérer ses soudaines passions éphémères qu’il ressent pour Paméla qui en véritable mère plutôt que femme accepte de noyer dans l’étreinte ses démesures.

Alexandre par un événement tragique apporte ce que chaque metteur en scène redoute le plus pendant le tournage d’un film.

Toute la ruche des assistants avec les jeunes comédiens débutants que sont à l’époque : Nathalie Baye, Dani, Bernard Menez et Jean François Stévenin sont par leurs fraîcheurs les emblèmes de ces métiers du cinéma stressants mais conviviaux.

La scène du chaton refusant d’exécuter ce qu’on lui demande est symbolique d’une équipe soudée persévèrante.

A fur et à mesure que le temps passe l’inquiétude se lit sur certains visages, que feront-ils après ? Le dernier jour de tournage avec le traditionnel pot de départ malgré son coté festif désintègre toute une chaîne d’esprits soudée sur un même produit.

La Nuit américaine œuvre culte porte le nom le plus fabuleux « Vie ». Ce qualificatif fabrique de bas en haut un groupe ou chacun motivé par son travail active une énergie ou tout n’est qu’un.

Vive le cinéma.

9/10

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar nicofromtheblock » Mer 28 Jan 2009, 11:17

Jipi a écrit: "Si tu veux vraiment ressentir une émotion forte va voir les noces rebelles puis nous en parlerons ensuite si tu le désires".

Par contre il faut vraiment te préparer à un climat nauséabond, collecte d'autres avis avant de le voir c'est préférable.

J'avais prévu d'aller le voir.
Et un film de Sam Mendes, j'y vais les yeux fermés quelque soit le sujet traité :D
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar Riton » Mer 28 Jan 2009, 11:25

Tu ne l'as pas encore vu ??!! :shock: :shock: :shock: :shock: :x
Mes DVD a vendre à partir de 0.70€ 8)
helldude™ a écrit:bik et moi vivions déjà le grand amour avant l'épisode de l'éjaculation faciale

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar nicofromtheblock » Mer 28 Jan 2009, 11:30

Et non ... trop de monde pour cette première semaine d'exploitation et en plus, on le passait dans une petite salle.
Du coup, j'ai préféré attendre la deuxième semaine qu'il y ait moins de monde et qu'il passe dans une plus grande salle 8)
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar Riton » Mer 28 Jan 2009, 11:34

Bien vu :wink:

Je pense que tu vas te régaler. Pour moi, il s'agit du meilleur film de l'année pour le moment.
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helldude™ a écrit:bik et moi vivions déjà le grand amour avant l'épisode de l'éjaculation faciale

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar Jipi » Mer 28 Jan 2009, 12:30

"Pour moi, il s'agit du meilleur film de l'année pour le moment"


Oui et de loin son climat desespéré délivre des messages sur des chemins de vie qu'il faut éviter de fréquenter. Ca me rappelle mes vingt ans en 1968. Fuir le système tout en s'y intégrant pour les récompenses que l'on peut y glaner. Les rèves d'évasions ne sont plus qu'évoqués sans être vécus. Tout ça ne mène nulle part et pendant ce temps la vie passe comme un éclair.

Admin: Jipi pour faire une citation tu peux utiliser le bouton "QUOTE" :super:
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Sept vies - 7/10

Messagepar Jipi » Mer 28 Jan 2009, 17:07

Sept vies de Gabriele Muccino 2009

« Dieu créa le monde en sept jours, moi j’ai détruit le mien en sept secondes »

Œuvre sur le rachat "Sept vies" tout en se trainant péniblement en longueur dévoile néanmoins un message émouvant même si celui-ci est dans ses trois quart plus philosophique que visuel.

Le regard d’un pseudo inspecteur du fisc dans un premier temps moqueur et procédurier se transformant en mère poule envers quelques cas désespérés cache sans nul doute le facies d’un homme brisé.

Pas de doute il s’est passé quelque chose de terrible dans cette vie basculant subitement dans un bénévolat presque outrancier.

L’activation soudaine d’un dévouement atypique est une denrée indispensable pour conserver intact un intérêt s’effritant au fil des minutes.

Rien que pour connaître la signification de cet investissement hors du commun on s’accroche tant bien que mal à ces images paresseuses n’en finissant pas de dégouliner à leurs rythmes.

Malgré sa bonne volonté cette œuvre lente et éprouvante ne scintille que laborieusement. Le contact avec la plupart des cas est clairsemé pour n’investir qu’un relationnel privilégié plus mélo qu’autre chose.

Par contre le dénouement est somptueux, magnifique. Toute l’œuvre gagne ses lauriers sur ses dernières minutes qu’il faut attendre patiemment sans céder à l’envie d’aller prendre un verre terrassé par l’ennui.

Tenez bon et vous quitterez la salle au bord des larmes plein d’indulgence envers un parcours fastidieux révélant sa splendeur dans ses derniers soubresauts.

Courage le nectar est au bout du chemin.

7/10

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Re: Contact Robert Zemeckis 1997

Messagepar Ron Howard » Jeu 29 Jan 2009, 00:21

Jipi a écrit: Contact Robert Zemeckis 1997



Critique magnifique pour un film tout aussi magnifique ! Apparemment Ellie se trompait, il y a des mots... :)
Sinon, Vega n'est pas le système des extra-terrestres de Contact. Ceux-ci vivent beaucoup plus loin.
Tu peux le voir lorsque Elllie arrive, au milieu de son voyage, dans le système de l'étoile Vega (lorsqu'elle dit "c'est Vega") et voit un énorme emmetteur/récepteur relais qui envoie le signal que les humains ont reçu à travers l'univers, et qui a certainement reçu les ondes hertziennes des humains. Le voyage d'Ellie se poursuit ensuite encore plus loin. On ne sait finalement pas où se situent ces extra-terrestres.
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar Jipi » Jeu 29 Jan 2009, 10:57

Merci beaucoup Anakin
Et puis j'aime bien quand les nanas montent un peu au charbon. J'ai bossé un peu sur les 26 premiers nombres premiers (de 2 à 101) les battements de coeur de ce message à élucider. 26 est la valeur numérique de Dieu en langue Hebraique. HE 5 Waw 6 HE 5 YOD 10.
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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar Ron Howard » Jeu 29 Jan 2009, 11:17

Tu as poussé ton étude du film très loin ! :D
Carl Sagan avait imaginé que si on allait assez loin après la décimale de Pi, on ne tombait plus que sur des 0 et des 1. Caché dans la logique mathématique même de l'univers, se trouverait alors un message codé en langage binaire destiné à ceux qui auraient le savoir suffisant pour le déchiffrer. Je trouve cette idée fascinante, également. On ne nous a certainement pas abandonnés seuls dans l'univers. Il existe sans doute des indices et des messages qui pourraient répondre à nos questions et nous permettre d'évoluer dans le bon sens.

En tous cas, Contact demeure un chef d'oeuvre du cinéma très souvent ignoré. Quand on pense chef d'oeuvre, on pense au Parrain, à Mullholand Drive, à Citizen Kane. Alors que Contact pousse 1000 fois plus loin la réflexion et aborde nos questions existentielles les plus légitimes en nous faisant voyager au coeur de l'univers. Beaucoup plus explicite qu'un 2001 abstrait, son message n'est pas codé et destiné à toute l'humanité. Certains l'ont entendu, d'autres pas encore. Je dois dire personnellement, que quand j'ai vu ce film au cinéma à l'âge de 16 ans, il a changé ma perception du monde, de l'univers et de l'existence, il a bouleversé ma propre existence.
Ron Howard
 

Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar Jipi » Jeu 29 Jan 2009, 11:39

Anakin
Envoie moi si tu veux ton adresse mail et je te fais parvenir de suite mon essai qui devrait du moins je l'espère t'interesser. Je l'ai envoyé également à Zack.
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Alexandre le Bienheureux - 9/10

Messagepar Jipi » Jeu 29 Jan 2009, 14:18

Alexandre le Bienheureux Yves Robert 1967

Alexandre n’en peut plus, les taches quotidiennes à la ferme sont harassantes, il n’en fait jamais assez, le planning élaboré par sa femme « La grande » est hors norme. Heureusement la providence veille.

Tout plaquer n’est ce pas le rêve de chacun ? Ne plus exécuter aucun geste productif sauf déboucher dans son lit une bonne bouteille.

Ce nouvel environnement ou l’horizon ne dépasse pas sa fenêtre commence à faire des émules dans cette campagne ou tout le monde travaille dur. La paresse est à la base un tabou monumental pour ces paysans costauds au service de la terre.

Ce nouvel état bienfaiteur conquis à long terme active la détermination de la collectivité destabilisée dans son rituel quotidien avec les travaux de la ferme à remettre Alexandre sur le marché de la sueur, celui-ci tient bon, endoctrine ses camarades.

La terre au même titre que l’homme a le doit au repos. Peu à peu les activités s’arrêtent, les hommes vont se coucher.

Cette fable utopique bienfaitrice détruit le temps qui sans cesse oblige à refaire les mêmes gestes. Les animaux sont libérés. La maison est grande ouverte.

Par ces images c’est l’esprit d’Alexandre qui s’ouvre à la liberté par le boycott de l’horloge. Le chien fait les courses, conteste les prix. La municipalité s’affole devant cette force de la nature qui met ses biceps au repos prolongé.

Yves Robert saupoudre bien souvent ses œuvres de bandes d’enfants curieux virevoltant dans les campagnes la ou l’air est pur, le contexte de cette France rurale est attendrissant, les profils burinés sont aux service de cette terre qui usent les corps depuis des millénaires.

Alexandre nouveau concept contemplatif devient une icône. Les esprits cogitent, se remettent en question, ce purgatoire terrestre est contesté.

Alexandre n’est pas fainéant il est paresseux, définition plus noble d’un agriculteur fatigué qui a le courage de passer de l’autre coté, plus aucun vêtements contraignants ne l’habille.

La terre n’est plus travaillée et elle est admirée. C’est la quête de l’essentiel, le temps au ralenti, socialement ce n’est pas la dégringolade qui nous fait si peur si l’on arrête toutes productions, Alexandre n’est pas en ville au contraire il s’épanouit la ou l’espace l’entoure de ses bras.

La terre reconnaissante de ne plus être retournée semble le remercier en lui offrant la lumière de ses champs.

Alexandre est un fantasme, un eldorado d’images improbables inconstructibles dans nos sociétés sectaires.

Déjà à sa sortie en 1967 en plein mouvement hippie et un an avant Mai le message était fort sur l'endoctrinement des masses par des taches répétitives au service d'un capital avare en redistribution.

Ce pamphlet annonce l'exigence d'un peuple au droit de souveraineté cérébrale.

9/10

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar zack_ » Jeu 29 Jan 2009, 18:53

Jipi a écrit: Anakin
Envoie moi si tu veux ton adresse mail et je te fais parvenir de suite mon essai qui devrait du moins je l'espère t'interesser. Je l'ai envoyé également à Zack.


Exact mais pas simple a appréhender au début - et j'ai pas eu le temps de finir :oops:
zack_
 

Festin (Le) - 10/10

Messagepar Jipi » Ven 30 Jan 2009, 09:09

Le festin de Babette Gabiel Axel 1987

Cette côte danoise du Jütland rongée par les vents et la pluie clame au fil des jours un chant langoureux nommé austérité et sacrifice .

Une vie de dévotion que Martina et Philippa s’imposent sans remous ni révoltes.

Le père est dur, enclavé dans ses principes, la vie n’est offerte qu’a Dieu. Martina et Philippa un temps belles et désirables sont courtisées mais leurs destins est tracé. Ce sera une vie de dévotes triste loin des villes et des prétendants.

Babette en fuite se réfugie en bout de course dans ce lieu perdu, s’intègre, apprend le langage local, se dévoue et récolte l’admiration de toute cette faune isolée

Nantie par un gain soudain elle organise un succulent dîner français commémorant le centenaire de la naissance du père de Martina et Philippa. Elle trime en cuisine, les convives aux visages de pierres muselés par les contraintes religieuses s’interdisent toutes réactions devant ces plats servis hors du commun.

Peu à peu l’alcool stimule de nouvelles couleurs sur des visages endormis. La parole dévie des procédures implacables imposées par ces croyances pures et dures. Des gestes tendres sont distribués, des mains touchent des visages.

Le général Lorentz ancien prétendant éconduit de Philippa se pâme devant ces cailles en sarcophages lui rappellant un séjour parisien agrémenté d’un merveilleux repas dans un café anglais dont le chef cuisinier n’est peut-être pas si loin.

Les efforts cachés sont la lumière du silence, quoi de plus merveilleux que de révéler son nom par un odorat, sans se montrer, s’isoler, transpirer dans l’indifférence, retranscrire ses passions par la disposition harmonieuse de mets dans une assiette, n’attendre aucune reconnaissance de convives rassasiés quittant cette sainte table ou certains se sont subitement éveillés à la vie.

Babette par cet anonymat se positionne à l’égal de cette petite communauté coupée du monde qui à l’écart de toute technologie active admirablement une fonction unique :

L’amour des autres dans la dévotion offerte à toute une existence.

Cette très belle nouvelle venteuse et aride de Karen Blixen remarquablement mise en images dénudées déclenche le débat métaphysique de fond de nos sociétés possédant de moins en moins de repères.

Comment se projeter par les autres en se servant de l'obscurité comme une lumière?

10/10

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Re: [Jipi] Mes critiques en 2009

Messagepar Jeff Buckley » Ven 30 Jan 2009, 09:34

Sublime ce film :super:
Au fait Jipi tu faisais quoi dans la vie ? Sans indiscrétion...
dunandan a écrit: Puis j'oubliais de dire que Logan me faisait penser à Burton avec sa méchanceté légendaire concernant certains films/réalisateurs/acteurs
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