*2023* Classement annuel des BKRiens

[caducia]

Blood : 0/10

C'est ce film ?

tout à fait.

[Ichi]

Mission Impossible: Dead Reckoning: 6.75/10

[Eikichi Onizuka]

Limbo : 8/10
Malgré certaines facilités scénaristiques, certains clichés (surtout sur le méchant) je suis rentré pleinement dans la film, dans sa noirceur, sa violence et son réalisme (de combat). La photo est à tomber, un noir et blanc tellement beau que chaque plan peut-être un fond d'écran. Ça ne réinvente rien mais j'ai passé un super moment.

[Killbush]

Entre vos différents retours et l'avis de Dahan, vous m'avez convaincu, je le mate ce soir.

[Mark Chopper]

C'était bien la peine de se prendre la tête

[Killbush]

J'ai envie de ciné, du vrai, qui change du tout-venant, donc j'espère que t'as eu raison de me titiller

[osorojo]

Je vais me rencarder, s'il n'est pas prévu dans mon cinoche à la projection prochainement, je le regarde ce week-end.

[caducia]

Bird Box Barcelone 3/10

[pabelbaba]

J'ai envie de ciné, du vrai, qui change du tout-venant, donc j'espère que t'as eu raison de me titiller

Visuellement, j'ai jamais maté un truc pareil.

[pabelbaba]

Limbo : 7,5/10

[Mark Chopper]

Mission impossible 6.5 : 5/10

Killbush m'avait suggéré de mater un porno. Finalement, j'ai maté le dernier Mission impossible. Après tout, c'est écrit de la même façon. On remplace juste les scènes de pénétration par de l'action

L'histoire tendance à base d'IA n'est qu'un MacGuffin qui permet d'enchaîner de looooongues scènes de dialogues limite nanardesques (la VF ne doit pas aider) trop souvent cadrées en plans débullés (ce qui m'a moins rappelé la scène du restaurant à Prague du premier film que Battlefield Earth) et des scènes d'action qui, la scène de poursuite à Rome mise à part, défient trop la gravité pour que je ne sois pas blasé. Je suis resté à distance.

McQuarrie, comme Robert Towne avant lui, a définitivement vendu son âme au diable Tom Cruise qui duplique inlassablement la même recette. Ce mec ne prend plus de risques.

J'aimerais un film entier tourné sans balai dans le cul, fun et ludique comme la poursuite à Rome. Le jeu avec les menottes, la Fiat 500 toute pétée et Pom Klementieff qui défonce tout avec son Hummer, c'est fun putain. Mais après, quel ennui... Presque 3 heures pour une moitié de non histoire, quelle blague.

La moyenne pour la climatisation dans la salle. Et ce n'est pas nul comme le 6.

Et la mort d'Ilsa est tellement nase qu'on peut être sûre de la revoir dans le dernier acte du 8.

[Dionycos]

Limbo : 6/10

Team Logan pour le coup.
C'est très beau, le final est grandiose et tient en haleine. Le plaisir purement visuel est là. Mais alors l'écriture... on ne sort jamais des stéréotypes du genre : séquences attendues, personnages qui restent cantonnés à leurs archétypes qui tiennent sur un petit post it.

Problème dans le déroulé de l'enquête aussi, avec ses relances grossières pour mettre nos flics sur la piste. Y a des moments où j'étais pas certain d'avoir compris tellement ça me semblait écrit par dessus la jambe.

Et surtout, gros souci dans le perso féminin principal, punching ball ambulant sur 2h. Une ritournelle qui vire à la complaisance qui met mal à l'aise, et pas pour les bonnes raisons...

Sans la dernière demi heure j'étais à 5/10.

[Mark Chopper]

Et si c'était un homme le punching ball, ce serait moins gênant ?

C'est un chemin de croix. La voir morfler, c'est cohérent.

[Alegas]

A contretemps : 6/10

Sujet intéressant, mais malheureusement traité avec trop de pathos, et surtout une structure en trois storylines intermêlées qui ne marche pas du tout.
On retiendra surtout les prestations de Cruz et de Tosar (qui confirme une énième fois quel putain d'acteur il est).

[Eikichi Onizuka]

Pour revenir sur Limbo, il est vrai que Wong To prend relativement cher. Mais il ne faut pas oublier les moments ou elle réussit à s'enfuir, à se battre, à aider pour l'enquête. Elle fait souffre douleur mais on oublie peut-être le contexte, sa situation plus favorable à en prendre plein la tête dans un quartier complètement défavorisé, un passé trouble et une situation actuelle instable. La violence peut paraître excessive mais selon moi jamais gratuite. Là ou j'ai un peu plus de mal c'est avec le méchant.

Pourquoi faire de l'étranger le méchant de l'histoire ? Si son histoire était un minimum expliquée, pourquoi pas mais là on est sur le strict minimum. Un japonnais (comme le russe pour l'américain, le cliché absolu), sans parole, qui grogne comme une bête, presque stupide, sans motif précis à part cette photo qu'il a autour du coup qui pourrait évoquer un trauma passé. J'espérais mieux de ce côté là.

Quitte à avoir un psychopathe je préfère le dingue de The Chaser avec une vrai épaisseur, pas une coquille vide.