[Caducia] Critiques en 2022

[caducia]

il me semble que quand j'étais petite j'avais vu un extrait où le mec de la série rencontrait crici. mais ça va aller

[Mark Chopper]

Tu t'es bien lâchée

[pabelbaba]

il me semble que quand j'étais petite j'avais vu un extrait où le mec de la série rencontrait crici. mais ça va aller

Ouais, attend le challenge Cricri pour enquiller.

[osorojo]

J'avais à moitié envie de le revoir, je l'aimais bien quand j'étais gosse, mais j'vais ptet éviter finalement

[Mark Chopper]

Le 2 est incompréhensible. Le 3 avec Sonny Spoon est une belle purge aussi.

Je me suis épargné les suites par contre.

(Sinon, Sean Connery a joué dans des bons films )

[caducia]

Je viens d'en commencer un, on est sur la bonne voie.

Oso t'es pas joueur.

[Dunandan]

Le deux je me rappelle l'avoir adoré à 8 ans car c'est la première fois que je pouvais regarder des scènes un peu bis, mais j'ai grandi...

[caducia]

Outland... Loin de la Terre

De Peter Hyams Sean Connery, Peter Boyle, Frances Sternhagen, Genre : sf Durée : 01h49min 1981

6/10

Synopsis

Dans un futur lointain, sur une colonie minière d'une lune de Jupiter, un marshall enquête sur une série d'incidents et met au jour un trafic de drogue.



Découverte de ce western spatial. Ce qui choque c'est la très forte inspiration vis-à-vis de Alien avec les décors quasi similaires avec ses couleurs monochromatiques et ses éclairages les incrustations d'affichage d'ordinateurs pour décrire la population de la station.
Contrairement à certains productions SF où des effets spéciaux ou des gadgets peuvent vite vieillir et faire tache, les années n'ont pas démodé ce cadre industriel, même si quelques moniteurs font dépassé, l'ensemble demeure tout à fait crédible. Ce qui est moins évident pour les communications en live terre/espace. Les costumes en revanche sont quasi celles de flics ou miliaires, ils auraient pu se creuser un peu plus la tête niveau originalité.

Quelques plans d'introduction passés l'ambiance évolue et on se détache de plus en plus de l'ambiance pesante du Nostromo pour une atmosphère plus festive et une populace plus encline à s'amuser. La communauté de la colonie est nombreuse et ils disposent de pas mal d'équipements et loisirs pour passer le temps à la fois au niveau sport classique ou sport de chambre.
Une fois le décor planté, on se rend compte que le Marshall a un caractère bien trempé et un sens de l'honneur inébranlable, prêt à sacrifier sa vie de famille pour faire son devoir.

Plutôt intriguant au début, on aime découvrir ce qui cloche au sein de cette station pour des meurtres non élucidés se produisent sans que personne ne bouge. On a même droit à quelques plans ensanglantés furtifs.
Sean Connery ou sa doublure nous offre une belle course poursuite efficace à la Yamakasi avec un des suspects qui se révèle être coriace et rapide. La séquence du dénouement est beaucoup moins convainquante et est moins à la hauteur de l'ensemble du film visuellement.

Finalement, la partie enquête policière renoue avec un certain classicisme, n'exploitant pas l'univers de science fiction, ce qui est décéptif pour le public qui pourrait s'attendre à un aspect fantastique. C'est certainement une parabole sociale et une projection de notre propre monde dans le futur où notre quotidien sera le même mais dans l'espace car la Terre aura été épuisée de ses ressources.
Un résultat trop terre à terre par rapport aux promesses du projet.

[caducia]

Le Loup-garou de Londres

De John Landis David Naughton, Griffin Dunne Genre : sf Durée : 01h37min 1981

3/10

Synopsis

Deux jeunes routards américains, David et Jack, effectuent un voyage en Europe de plusieurs mois. Alors qu'ils se trouvent au beau milieu de la campagne anglaise et malgré les avertissements des habitants de la région, il s'aventurent dans la lande. Traqués par une créature mythique assoiffée de sang, les deux voyageurs vont voir leurs vies basculer totalement.

N'ayant aucun souvenir d'une précédent vision de cette œuvre , cette vision avait tout d'une découverte.
Je n'ai pas adhéré au ton humoristique mélangé avec l'ambiance de science fiction. Il y a même des blagues que je n'ai absolument pas compris (genre une réplique dans le ciné porno).
Du point de vue des effets spéciaux qui étaient surement en avance par rapport à l'époque sont pour certains sont vraiment dépassés.
La transformation homme vers loup garou qui dure 3 plombes est un supplice visuel, idem pour la bête une fois mutée qui est d'une rare laideur. En revanche, le copain du héros en mode mort-vivant apporte un peu de sensibilité au récit et le makeup assure grave!

Les attaques de la bête qui représentent la partie la plus intéressante du film durent 3 secondes, ce qui donne un effet visuel plutôt perturbant pour le spectateur, et au final tout ce qui aurait pu constituer des scènes d'intérêt se passent hors champ.
Avec le recul et pour ceux qui connaissent bien Londres, c'est plutôt divertissant de retrouver des lieux familiers pour des scènes aussi incongrues.
Au départ on a envie d'éprouver un peu d'empathie pour le duo d'américain mais celui-ci est rapidement divisé. On ne peut pas dire que le survivant soit une flèche d'interprétation (mais on peut être indulgent avec lui car apparemment c'est son 1er film), le reste de la distribution rivalise d'insipidité, évoluant dans des histoires secondaires plus que banales dont certaines n'ont rien à voir avec la trame principale.
Un résultat plutôt boiteux qui inspire à peine la sympathie, des gags qui ne fonctionnent pas sur moi.

[caducia]

Dead Fish

De Charley Stadler Robert Carlyle, Gary Oldman, Anouska Bolton Genre : comédie Durée : 01h34min 2004

2.5/10

Synopsis

Lorsque traîtres, tueurs et amoureux se rencontrent à Londres...

Voilà un film intriguant qui tente de choses mais qui se plante dans les grandes largeurs.
Un casting pas dégueu mais le duo principal de jeunes sur laquelle repose l'intrigue sont vraiment à la ramasse.
Une floppée de personnages qui permettent au film pas mal de rencontres impromptues , quiproquos en tous genres. On sent que le réal à voulu nous faire un projet à la Guy Ritchie avec pas mal de malfrats loufoques.
La sauce prend un bon quart d'heure et on découvre ensuite un univers WTF, il est certain que G Oldman a commencé sa lignée de nanards pour payer ses factures. Il y a quand même de nombreuses scènes très gênantes dans dead fish, on se demande bien pourquoi il a accepté de tourner ça.
Robert Carlyle, relativement peu présent en fait des mega caisses en mode Trainspotting.
Par dessus le marché, on a droit à des incrustations numériques du meilleur gout pour nous achever la rétine.
Un beau final en queue de poisson sans consistance, cohérent avec le reste.

[Alegas]

Ça commence bien.

[pabelbaba]

Je me suis retenu d'écrire la même phrase.

[caducia]

tous ceux que je connais de Gary et que j'aime bien sont déjà dans en base.

je vais voir coté james alors

[caducia]

Romeo Is Bleeding

De Peter Medak cast :Gary Oldman, Juliette Lewis Genre : drame Durée : 01h50min 1993

6.75/10

Synopsis

Jack Grimaldi, flic corrompu, tombe dans les filets de Mona DeMarkov, un des pontes de la mafia, qui l'entraine dans une course sordide et infernale ou se melent sexe, violence et perversion.

Belle découverte de ce polar néo noir, son anti-héros qui cumule les défauts reste pourtant très attachant car ses ennemis sont encore plus pourris et tordus que lui.
Le flic corrompu profite à fond du système à la fois du point de vue pro et perso en palpant la marchandise de toute part. Marchandise charnelle ou marchandise sonnante et trébuchante.
Face à lui, la badass et sulfureuse Lena Olin, qui allume tout ce qui bouge, dans la même veine qu'une Catherine Tramell. Une prestation honorable, avec tout de même du surjeu par moments.
Une intrigue à tiroirs où tout le monde joue un double jeu qui reste néanmoins lisible et divertissante.

Des décors New yorkais sympathiques sur les quais de d'Hudon river, à Coney Island ou dans des appartements abandonnés.
Pas de temps mort, pas mal de rebondissements et de rencontres avec de sympathiques seconds couteaux, on adore assister à la descente aux enfers du flic corrompu.
On oubliera volontiers les quelques invraisemblances.

[Mark Chopper]

Il est sympa celui-là.