[Dunandan] Mes Critiques en 2018

Modérateur: Dunandan

[Dunandan] Mes Critiques en 2018

Messagepar Dunandan » Mar 02 Jan 2018, 04:43

Mes films 2018


Janvier

1 - Les gardiens de la galaxie vol. 2, James Gunn (2017) : 5/10
2 - Interstellar, Christopher Nolan (2014) : 9/10
3 - My Beloved Bodyguard, Sammo Hung (2016) : 6.5/10
4 - The Babysitter, McG (2017) : 7/10
5 - Wheelman, Jeremy Rush (2017) : 6.5/10
6 - Jim and Andy : The great Beyond , Chris Smith (2017) : 7.5/10
7 - Dragon Gate, La légende des sabres volants, Tsui Hark (2011) : 5/10
8 - Detective Dee : Le Mystère de la Flamme Fantôme, Tsui Hark (2010) : 7.5/10
9 - Detective Dee 2 : La légende du dragon des mers, Tsui Hark (2013) : 5.5/10
10 - La bataille de la montagne du tigre, Tsui Hark (2015) : 7.5/10
11 - Black Warriors Panther, Clarence Fok (1993) : 8/10
12 - Journey to the West 2 : The Demons Strike Back, Tsui Hark (2017) : 4/10
13 - L'exorciste chinois, Sammo Hung (1980) : 7.5/10
14 - L'exorciste chinois 2, Ricky Lau et Sammo Hung (1989) : 6/10
15 - Aberdeen, Pang Ho-Cheung (2014) : 7/10
16 - Au revoir là-haut, Albert Dupontel (2017) : 7.5/10
17 - Evil Dead, Fede Alvarez (2013) : 5.5/10
18 - Karaté Kid, Harald Zwart (2010) : 7/10
19 - Rush Hour 3, Brett Ratner (2007) : 3.5/10
20 - Three, Johnnie To (2016) : 4/10
21 - La rançon de la peur, Umberto Lenzi (1974) : 8/10
22 - Munich, Steven Spielberg (2005) : 8.5/10
23 - Le flic de Hong-Kong, Sammo Hung (1985) : 7.5/10

Février

24 - Le flic de Hong-Kong 2, Sammo Hung (1986) : 5.5/10
25 - Guerres de l'Ombre, Ringo Lam (1990) : 6/10
26 - Les monstres, Dino Risi (1963) : 8/10
27 - Le grand bleu, Luc Besson (1988) : 4/10
28 - Série noire, Alain Corneau (1979) : 5.5/10
29 - Dans la nuit des temps, Tsui Hark (1995) : 6.5/10
30 - Dans un recoin de ce monde, Sunao Katabuchi (2016) : 6/10
31 - Le bras armé de la loi 2, Johnny Mak (1987) : 8/10
32 - La belle équipe, Jean Duvivier (1936) : 7/10
33 - L'assassin habite au 21, Georges Clouzot (1942) : 7.5/10
34 - Dommage que tu sois une canaille, Alessandro Blasetti (1955) : 5.5/10
35 - Touch of Zen, King Hu (1971) : 8.5/10
36 - Balada Triste, Álex de la Iglesia (2010) : 9/10
37 - The theory of everything, James Marsh (2014) : 5/10
38 - Le Garçon et la Bête, Mamoru Hosoda (2015) : 7/10
39 - Le dernier pub avant la fin du monde, Edgar Wright (2014) : 7/10
40 - It's a Wonderful Life, Frank Capra (1946) : 9/10

Mars-Juin

41 - Un singe en hiver, Henri Verneuil (1962) : 7.5/10
42 - 12 hommes en colère, Sidney Lumet (1957) : 10/10
43 - Jurassic World, Colin Trevorrow (2015) : 3.5/10
44 - 13 Hours, Michael Bay (2016) : 7.5/10
45 - The good lie, Philippe Falardeau (2014) : 7/10
46 - Quelques minutes après minuit, J.A. Bayona (2016) : 8/10
47 - BFG, Steven Spielberg (2016) : 5.5/10
48 - Apollo 13, Ron Howard (1995) : 6.5/10
49 - Dernier train pour Busan, Yeon Sang-ho (2016) : 7.5/10
50 - Le sabre infernal, Chu Yuan (1976) : 8.5/10
51 - Il faut sauver le soldat Ryan, Steven Spielberg (1998) : 9/10
52 - La stratégie Ender, Orson Scott Card (2013) : 6/10
53 - The Age of Shadows, Jee-Woon Kim (2016) : 6.5/10
54 - Ready Player One, Steven Spielberg (2018) : 8.5/10
55 - Indiana Jones et le royaume du crâne de crystal, Steven Spielberg (2008) : 4/10
56 - Shanghai Express, Sammo Hung (1986) : 6/10


Juillet-Août

57 - Wolf Warrior 2, Wu Jing (2017) : 6.5/10
58 - Thor : Ragnarok, Taika Waititi (2017) : 6/10
59 - Le gagnant, Sammo Hung (1983) : 7/10
60 - The Heroic Trio, Johnnie To (1993) : 6/10
61 - Brigade spéciale, Umberto Lenzi (1976) : 7/10
62 - The Voices of a Distant Star, Makoto Shinkai (2002) : 6/10
63 - Inside Out, Pete Docter (2015) : 8/10
64 - Along with the Gods: The Two Worlds, Kim Yong-hwa (2017) : 5.5/10
65 - Mad Max: Fury Road, Frank Miller (2015) : 7/10
66 - Baywatch, Seth Gordon (2017) : 5/10
67 - E.T., Steven Spielberg (1980) : 9/10
68 - Tag, Sono Sion (2015) : 5.5/10
69 - Warriors two, Sammo Hung (1978) : 7.5/10
70 - Toy Story 3, Lee Unkrich (2010) : 8.5/10
71 - Love on delivery, Stephen Chow (1994) : 9/10
72 - American Sniper, Clint Eastwood (2014) : 5/10

(...)
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Interstellar - 9/10

Messagepar Dunandan » Mar 02 Jan 2018, 09:35

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Interstellar, Christopher Nolan (2014)

S'il existe des films se savourant mieux à la seconde vision, je dirais que Interstellar est le candidat idéal tant il déploie une fibre sensible, une mise en scène, et des qualités scénaristiques tout simplement vertigineuses une fois qu'on a mis les pièces ensemble, balayant ainsi à mes yeux les quelques défauts qui peuvent le miner. C'est en effet un film qui est toujours sur le fil, jouant avec une naïveté relative dans les ressorts narratifs, particulièrement dans le dernier tiers avec cette théorie du trou noir qui en aura offusqué plus d'un alors qu'au fond ça colle parfaitement avec le reste (on pourra reprocher bien des choses à Nolan mais il est rarement attaquable au niveau de la cohérence globale de ses scénarios et de l'emboîtement de ses thématiques), et c'est même un moment qui m'apparaît particulièrement touchant. Et puis bon, il serait dommage de laisser obscurcir tout le reste du film sous l'ombre de ce petit tour de passe-passe vu ce qu'il a à offrir par ailleurs, car c'est bien là l'un des plus beaux récits d'anticipation et d'aventure humaine spatiale qu'il m'a été donné de voir depuis belle lurette.

Et pour cause, avec un tel propos désespéré de fin d'un monde en train de voir ses rêves dépérir au gré de la disparition de ses champs d'agriculture, je n'avais pas assisté à un background aussi pessimiste et criant de vérité dans le genre depuis Les fils de l'homme. Et surtout, par la suite, avec ce constat d'échec(s) (thématique récurrente de Nolan) se révélant petit à petit, valorisé par un habile montage mettant en balance la terre et l'espace, la fille et le père, la famille et la survie du monde, selon une équation qui dépasse bien souvent les mesures scientifiques, qui nous met littéralement sur orbite. Sans oublier le fait qu'à chaque instant on ressent le travail scientifique réalisé en amont pour rendre le tout crédible sans pour autant nous noyer dans les concepts, à l'image de cette fameuse bibliothèque pourtant largement décriée, alors qu'elle fait totalement sens.

Quant à moi, si j'avais un petit reproche à faire au script, je viserais plutôt le final tant il réduit l'impact émotionnel d'une réplique qui constitue le fil rouge du film, réduisant les parents à des «souvenirs» ou des relais pour leurs progénitures. Aller jusqu'au bout de la fatalité entourant le personnage de Cooper irait dans ce sens (d'ailleurs c'était l'idée de départ du frère de Christopher, qui en a décidé autrement). Mais en même temps, je dirais que la proposition retenue est tout à fait logique et même plutôt glaçante vu ce qui s'ensuit. Clairement, on nous offre ici une vision optimiste et humaniste des potentialités humaines, mais en renvoyant Cooper dans les cieux, on est loin du conte rose et enchanteur, quand bien même «l'amour» continue à guider ses pas.

On retrouve donc la froideur typique de Nolan en termes de traitement, mais ce metteur en scène fait aussi la part belle à l'émotion comme jamais (et offre même par là un véritable fil conducteur à son film), et ça on le doit avant tout au casting impliqué et à la manière dont les concepts scientifiques et les personnages s'entrechoquent et sont mis à mal, sans cesse fragilisés et enrichis au contact de la réalité. Seul le personnage de Damon semble un peu trop écrit et fonctionnel, mais sert en même temps à merveille le récit en enfonçant le clou de la déception et du mensonge. Encore une fois, Insterstellar a de quoi étonner dans le paysage cinématographique hollywoodien, dans le bon sens du terme : Blockbuster au propos intimiste et familial, anti-spectaculaire sur bien des aspects au point qu'on en oublierait presque la réalisation, pourtant hyper réfléchie et immersive (elle devient proprement incroyable dans l'espace, avec ce sentiment de solitude et d'écrasement à la manière de 2001 Odyssée de l'espace).

Bref, Interstellar est un film peut-être parfois maladroit dans sa «logique» de concilier une certaine forme de foi et la science dure (je pense évidemment à ce foutu paradoxe temporel), l'émotion ressentie et la crédibilité stricte, alors que ça se tenait plutôt bien dans les deux premiers tiers, mais par ailleurs si beau (et brillamment contrasté comme je l'ai souligné) et puissant dans le geste et l'exécution, si profondément humain et incarné (superbes acteurs encore une fois) que c'est passé comme crème en ce qui me concerne. Selon moi, on tient ici le meilleur Nolan depuis le Prestige avec lequel il partage d'ailleurs bien des qualités tant dans le forme que dans le fond.

Une fantastique spatiale et humaine rappelant 2001 odyssée de l'espace, l'émotion en prime, dont la proposition accuse certes quelques soucis de cohérence (le paradoxe temporel), mais qui demeure par ailleurs très solide et immersive.

Note : 9/10
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Re: [Dunandan] Mes Critiques en 2018

Messagepar osorojo » Mar 02 Jan 2018, 10:32

Nolan est rarement attaquable au niveau de la cohérence globale de ses scénarios et de l'imbriquement de ses thématiques


Je comprends le 9 du coup :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes Critiques en 2018

Messagepar lvri » Mar 02 Jan 2018, 10:39

Belle critique et une note méritée ! :super:

Par contre, je ne comprends pas le "reproche" sur le final. Je ne vois pas où se trouve le côté légèrement optimiste (ça fait quelques temps que je n'ai pas vu le film, mais tu me donne sacrement envie de le revoir !)
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Re: [Dunandan] Mes Critiques en 2018

Messagepar maltese » Mar 02 Jan 2018, 13:25

"vive l"AMOUR!" :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes Critiques en 2018

Messagepar Dunandan » Mar 02 Jan 2018, 15:21

Je trouve que la fin aurait été encore plus belle s'il était mort pour de bon... du moins concernant la relation fille-père, mais tu me fais penser qu'elle le renvoie tout de suite en mission pour terminer de sauver l'humanité donc ça se tient aussi :eheh: ! Le côté légèrement optimiste c'est ça justement : qu'il soit sauvé, mais qu'il n'en profite pas vraiment...
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Re: [Dunandan] Mes Critiques en 2018

Messagepar lvri » Mar 02 Jan 2018, 15:37

Sa fille lui fait clairement comprendre que sa place n'est plus là. De mémoire, elle lui dit même que sa famille est déjà là, et lui fait comprendre qu'il doit partir créer la sienne.
C'est loin d'être très joyeux en fait.... malgré l'étincelle de renouveau qui l'attends. Mais à cet instant, il a tout perdu
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Re: [Dunandan] Mes Critiques en 2018

Messagepar Dunandan » Mar 02 Jan 2018, 15:40

oui voilà, mais c'est optimiste d'un point de vue «humaniste» mais je songe à réécrire légèrement ce point car en effet c'est loin d'être rose au final ! :mrgreen:

Edit : c'est fait :
Quant à moi, je viserais plutôt le final tant il réduit l'impact émotionnel d'une réplique qui constitue le fil rouge du film, réduisant les parents à des «souvenirs» ou des relais pour leurs progénitures. Aller jusqu'au bout de la fatalité entourant le personnage de Cooper irait dans ce sens, mais en même temps, la proposition retenue est tout à fait logique avec le reste et même plutôt glaçante vu ce qui s'ensuit. Clairement, on nous offre ici une vision optimiste et humaniste des potentialités humaines, mais en renvoyant Cooper dans les cieux, on est loin du conte rose et confortable, quand bien même «l'amour» continue à guider ses pas.

@ Osorojo : ben ouais c'est toujours franchement bien ficelé chez Nolan, même si ça passe plus ou moins bien à l'écran avec parfois une impression de sur-écriture ou une réalisation en demie teinte. Une séquence peut être bien écrite mais maladroitement mise en scène, non ? Mais là, une fois qu'on a accepté le postulat du film finalement présent dès le début mais affiné tout au long, je trouve que les séquences décriées (Damon, la bibliothèque, le final) passent vraiment bien.
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My Beloved Bodyguard - 6,5/10

Messagepar Dunandan » Mer 03 Jan 2018, 04:28

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My Beloved Bodyguard, Sammo Hung (2016)

Toujours agréable de suivre la carrière de Sammo Hung, qui nous revient derrière la caméra après 20 ans, aussi modeste soit ce film au sein d'une filmographie déjà dense et diversifiée. On le retrouve dans la peau d'un ex-garde du corps, un fou de guerre très fort pour retourner les phalanges et les articulations dans un sens pas très catholique. Mais il ne faudrait pas se fourvoyer, il s'agit là avant tout d'un drame intimiste d'un vieux bonhomme qui perd la mémoire et qui trouve une chance de trouver la rédemption à travers la fille d'un petit gangster, après avoir perdu sa petite-fille pour des raisons pas très claires (ce n'est pas très important, d'autant plus que son handicap rend la chose crédible). Soyons clair, ce n'est pas lui qui cherche la bagarre, mais c'est la bagarre qui vient le chercher (et vu sa vitesse de croisière, ce n'est pas plus mal), et franchement, la mise en scène assure pour rendre les affrontements très musclés malgré l'aspect vieillissant du gros Sammo.

Bref, un film certes mineur de Sammo Hung, de toutes façons il n'a plus rien à prouver, mais un film éminemment sympathique que voilà, dans lequel est mise en avant une relation toute simple et touchante entre lui et une petite fille qu'il protège des badguys (classique mais ça fonctionne du tonnerre de Dieu), et même l'accueillante voisine coréenne ne fait pas lourdingue, mais participe au contraire de la petite atmosphère de quartier (complétée par du caméo de qualitay). Du coup, lorsque la baston arrive, elle a d'autant plus d'impact, surtout qu'elles se comptent du bout des doigts (deux seules sont mémorables : celle dans la baraque du vieux briscard, et surtout celle dans le repaire des petites frappes où il se les fait à lui tout seul), et on en a pour notre argent comme je l'ai souligné plus haut. Bon, c'est sûr que je le conseillerais surtout aux fans hardcore du bonhomme, mais en ces moments de disette dans le genre, une bobine si efficace et sincère, sans pathos ni faux-rythme (trop) envahissants, devrait être accueillie avec gratitude.

Un Sammo mineur, moins rompu aux familières ruptures de tons dont il a le secret, mais ça fait plaisir de le revoir derrière la caméra après tant d'années d'absence, toujours talentueux dans le drame et surtout la tatane, même la soixantaine bien tassée.

Note : 6.5/10
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Re: [Dunandan] Mes Critiques en 2018

Messagepar pabelbaba » Mer 03 Jan 2018, 09:32

Malgré Sammo, du drame et peu de baston, il n'y aurait pas trop de pathos...??? Etonnant. :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes Critiques en 2018

Messagepar Dunandan » Jeu 04 Jan 2018, 02:54

J'ai rajouté le «(trop)» dans ma critique pour te faire plaisir (et être plus précis) :mrgreen:. Mais vraiment, c'est plutôt léger et équilibré comme «drame d'action» ^^.

(par contre ne te laisse pas avoir par l'affiche, ils sont forts ces chinois pour vendre leurs films :mrgreen:)
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Re: [Dunandan] Mes Critiques en 2018

Messagepar pabelbaba » Jeu 04 Jan 2018, 11:12

Ca rappelle l'affiche de Dragon Squad. :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes Critiques en 2018

Messagepar Mark Chopper » Jeu 04 Jan 2018, 11:18

Il est vraiment bien ce film de Sammo, en plus il y a des caméos faits pour toi Pabel.
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Re: [Dunandan] Mes Critiques en 2018

Messagepar pabelbaba » Jeu 04 Jan 2018, 11:23

Je note alors... :voleur:
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Babysitter (The) - 7/10

Messagepar Dunandan » Ven 05 Jan 2018, 05:15

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The Babysitter, McG (2017)

N'ayons pas peur des mots, The Babysitter est certainement l'un des trucs les plus jouissifs que j'ai vus depuis belle lurette, parfait à enquiller en fin de soirée malgré un brin de fatigue venant se pointer grâce à un rythme parfait (emballé en 1h20 en plus). Pour commencer, le background dépeignant un jeune ado «pas comme les autres», victime d'harcèlement par ses camarades, et par-dessus le marché, cocooné par ses parents au point qu'il passe vraiment pour le dernier des demeurés, est vraiment sympathique. Classique mais efficace et surtout très amusant dans la manière dont c'est amené, le tout saupoudré de petites références geeks qui font plaisir, surtout durant les séquences avec la babysitter où l'alchimie fonctionne à fond les ballons.

Du coup, même si on a été un peu prévenu, lorsque le film passe la seconde, on ne s'attend pas forcément à un tel carnage, et c'est terriblement fun (surtout qu'ils ont de bonnes têtes de badguys, sauf le black et la blondasse, mais on leur a réservé un rôle de choix) avec des morts qui finissent par ressembler à du Destination finale (qu'on aurait mixé avec Maman j'ai raté l'avion...) tellement on essaie de deviner comment chacun va y passer avec des indices disséminés un peu partout, et le second degré passe aussi très bien sans pour autant sombrer dans l'auto-parodie. Bref, une belle surprise sans prétention qui propose tout simplement un délire sanglant assumé jusqu'au bout, avec en prime un sous-texte sur le passage à la vie adulte qui fout la patate.

Note : 7/10
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