[Mark Chopper] Mes 12 (dernières) critiques sur BKR

[Mark Chopper]

Oui, il y a 5 ans.

Annule et remplace...

[Dunandan]

Il faudrait vraiment que je le revois celui-là...

[lvri]

Un excellent film !
(Fincher quoi !)

[Alegas]

Oui, il y a 5 ans.

Annule et remplace...

Ça ne compte pas du coup dans tes 12 critiques annuelles.

[Waylander]

Oui, voilà ce que David Fincher pense de vous... (Et moi aussi, par la même occasion.)

Oui...mais bon, quand tu sais que la définition est revue tous les 10 ans par les psychanalystes etc...et que ça change énormément selon les époques....ce que Fincher ou toi pouvez en dire... C'est tellement basé que les croyances morales d'une société que bon, c'est très relatif. Et puis au lieu de dire "le" il ferait mieux de dire "des". Voilà mon post inutile du jour.

[Mark Chopper]

Voilà mon post inutile du jour.

Surtout que c'est toi le plus pervers

Et puis au lieu de dire "le" il ferait mieux de dire "des". Voilà mon post inutile du jour.

Gné ?

Ça ne compte pas du coup dans tes 12 critiques annuelles.

On verra, ça me laisse une marge au cas où.

[Mr Jack]

Il faudrait vraiment que je le revois celui-là...

Pareil ! Il vieillit bien dans ma tête et je l'ai vu qu'une fois en salles.

[Mark Chopper]

I Are You, You Am Me, de Nobuhiko Ôbayashi (1982)

(Exchange Students)

L'histoire : Kazuo, un collégien, voit un jour revenir dans sa ville une amie d'enfance prénommée Kazumi. Quelques jours plus tard, tous deux chutent dans un escalier, près d'un temple, et réalisent qu'ils ont échangé leurs corps au cours de cette dégringolade...

Metteur en scène formé à l'école du court-métrage expérimental et de la publicité, Nobuhiko Ôbayashi n'est connu en Occident que pour House, film d'horreur frappadingue sorti en 1977. Dommage, car l'homme n'a jamais cessé de tourner depuis et a su négocier, contrairement à nombre de ses confrères, le difficile tournant des années 1980... Au point de livrer des perles dont la postérité paraît aujourd'hui incontestable lorsqu'on découvre des films comme La Traversée du temps et Your Name. (Re)voir un long-métrage comme I Are You, You Am Me permet ainsi de mesurer l'idiotie à l'œuvre lorsqu'on évoque un remake live du dernier-né de Makoto Shinkai... Avec la même idée de base, Ôbayashi a ainsi su livrer en 1982 l'un des plus beaux films sur l'adolescence, période où l'on construit son identité, découvre le sexe opposé et où la légèreté peut, parfois, côtoyer les pensées les plus sombres. Pour ce faire, il a pu compter sur des jeunes interprètes qui parviennent à nous faire croire à l'incroyable (Satomi Kobayashi donne vraiment l'impression d'être un garçon coincé dans un corps de fille) et a su mettre en valeur sa ville natale, Onomichi (le coup de cœur de mon dernier voyage en date), ville qui paraît figée dans le temps et qui contribue au ton nostalgique de l'ensemble... Aussi drôle que touchant, I Are You, You Am Me mériterait d'être découvert par un plus large public en Occident.

Note : 7,5/10

[Val]

Je ne connaissais pas du tout, je note (et ça me fait penser qu'il faut que je me lance pour House, mais le côté expérimental m'effraie un peu).

[Mark Chopper]

House j'ai du mal perso, c'est trop hystérique à mon goût. Mais ça reste une expérience notable...

Là c'est plus posé, tout en restant maîtrisé formellement.

[Jed_Trigado]

House, c'est tout ou rien (perso, j'ai pas aimé du tout).

[Mark Chopper]

Tant que j'y suis, je recommande The Little Girl Who Conquered Time (adaptation d'un roman que Hosoda a réadapté depuis sous le titre La Traversée du temps : c'est intéressant de voir comment Ôbayashi tente en live des choses qu'on ne voit en général qu'en animation) et His Motorbike, Her Island (ne serait-ce que pour voir Riki Takeuchi jouer sobrement ).

Ceci étant dit, Olrik doit en avoir vu plus que moi...

[Mr Jack]

Suspense sur l'identité de ta dernière critique

[Mark Chopper]

Faudra être patient...

Et ne pas archiver mon topic tout de suite

[Alegas]

Qu'il soit archivé ou non, tu y auras tout de même accès et tu pourras poster dessus.