*2017* Classement annuel des BKRiens

[Wauwau]

• Borg/McEnroe
de Janus Metz Pedersen
5,5/10

[Mr Jack]

The Lost City of Z : 8/10

[Waylander]

Jungle : 5/10
Thor : 6/10

[Alegas]

Sérieux mec, tu va voir Thor alors que t'as toujours pas maté Voyage of Time.

[Mark Chopper]

Spider-Man : Homecoming : 2/10

Un film qui est à l'image des apparitions de Captain America : ça se croit léger et fun, mais c'est juste lourdingue et pénible. Une belle tête à claques dans le rôle principal.

La Tour sombre : 3/10

Prendre le magnum opus de Stephen King et en faire quelque chose d'aussi petit (on dirait parfois un téléfilm M6) et simpliste... Fallait y penser. Bon, ça a le mérite d'être court et de ne pas être trop chiant. Surtout quand une hôtesse de l'air japonaise, dans sa tenue aux imprimés R2-D2, vous sert du champagne.

(nan promis, je ne l'ai pas harcelée)

[Jed_Trigado]

Au Revoir Là-Haut : 7/10

J'ai senti comme une petite régression chez Dupontel, alors que ce soit clair, c'est techniquement au top du top mais j'ai trouvé que l'humour typique de son auteur ne s’insérait pas vraiment dans le récit et on voit quand même pas mal de concessions dans le fond.

[Waylander]

Sérieux mec, tu va voir Thor alors que t'as toujours pas maté Voyage of Time.

Sortie avec la copine et puis bon j'ai kiffé quand même, bien marrant , dans la lignée de premier Gardiens de la galaxie et mieux que GDLD 2.

[versus]

Au revoir la haut :, 7/10
Beau film que nous livre Dupontel, techniquement maîtrisé et bien interprété.

[Scalp]

Ca : 3/10

[logan]

A beautiful day: 3/10

[Alegas]

Le fidèle : 4,5/10

[caducia]

Borg/McEnroe 5.25/10
Carbone 6/10

[Mark Chopper]

Le fidèle : 4,5/10

Bah putain, comment ça déprime cette réception du film...

Sinon :

Le Serpent aux milles coupures : 5,5/10

Rythme un peu pété et interprétation globalement catastrophique (à part Terence Yin bien sûr... Les autres feraient bien de prendre des cours d'élocution) : une déception.

[osorojo]

Le Caire confidentiel : 7/10

Il y a un truc la dedans, c'est dommage que l'enquête manque un peu d'ampleur mais on comprend vite que le protagoniste de ce polar arythmique est son contexte. Celui d'un pays rongé par la corruption, une zone de non droit où ceux qui contrôlent le pognon font la pluie et le beau temps sans jamais être inquiétés.

Le Serpent aux milles coupures : 5,5/10

Rythme un peu pété et interprétation globalement catastrophique (à part Terence Yin bien sûr... Les autres feraient bien de prendre des cours d'élocution) : une déception.

Je me sens moins seul !

[Val]

Vous abusez avec vos notes au Valette !