[Dunandan] Mes critiques en 2014

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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Dim 06 Juil 2014, 23:16

Tu as raison, mais comme je l'ai dit, tout cela est traité en surface. C'est du Verhoeven en petite forme amha.

PS : j'ai ajouté cette petite précision qui manquait à mon développement :wink:

ne retourne pas complètement sa veste dans son style qui mêle ton décomplexé et traitement humain des personnages
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Fast and furious 4 - 5/10

Messagepar Dunandan » Lun 07 Juil 2014, 02:24

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Fast and Furious 4, Justin Lin (2009)

Je reprends mon petit cycle FF afin de préparer le terrain pour le 5 et le 6, censés être les meilleurs de la saga. Ce qui fait d'abord plaisir, même si ce n'est pas forcément ce qu'on cherche dans ces films portés vers l'action, c'est d'y trouver un supplément d'émotion et de profondeur via la disparition d'un personnage principal, qui permet ainsi de renforcer les liens entre Toretto et Brian O'Conner qui étaient un peu mis de côté à la fin du premier épisode, dans ce qui devient un petit revenge-movie (mais tout petit hein). Ce qui est par contre regrettable, c'est son rythme paresseux avec un manque criant de courses-poursuite (2-3 à retenir max dont une toute moche avec trop de CGI dans un tunnel), et beaucoup de séquences où il ne se passe pas grand chose. Côté enquête des cartels du Mexique, c'est le minimum syndical avec beaucoup d'incohérences (genre le flic à qui on laisse carte blanche vu son passé pour le moins ambivalent), prétexte à autre chose (approfondir les liens entre perso, exhiber les belles bagnoles, bref comme d'habitude). Enfin, les bad-guy on s'en fout un peu, aucun charisme. En résumé, du réchauffé globalement insatisfaisant avec une once de fond, mais pour ceux qui ont suivi depuis le début, on est quand même content de retrouver l'état d'esprit du premier opus avec, derrière une vitrine plus ou moins jouissive de bagnoles tunées et de gonzesses à demi dénudées, l'aspect famille-amitié qui défend ses principes, peu importe leur bord. Aucune chance que je le revois car c'était quand même ronflant et peu excitant dans l'ensemble, en dépit de la bonne intention de départ (même s'il faut buter des perso au passage pour obtenir ce résultat, il faut ce qu'il faut comme on dit ...).

Note : 5/10


Pour rappel, mes notes :
FF1 : 6/10
FF2 : 4/10
FF3 : 6.5/10
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar padri18 » Lun 07 Juil 2014, 07:08

Celui là je l'avais vu au ciné, je m'étais bien fais chier. Aucune chance que je le revois également.
Par contre effectivement les suites relèvent effectivement le niveau, remarque, c'est pas bien dur... :mrgreen:
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar zack_ » Lun 07 Juil 2014, 08:12

On peut dire qu'il y a un certain concensus au niveau des notes
Un jour je me prendrai l'intégrale même si celui la et pire le troisième ne toucheront pas ma platine
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Lun 07 Juil 2014, 12:02

Je voulais les (re)voir pour les avoir un peu en tête avant le 5 et 6, mais en fait les personnages n'évoluent presque pas ^^. Sinon, j'ai un petit faible pour le 3, c'est même mon préféré pour l'instant ... (Bonus Japon mais pas seulement)
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Kakemono » Lun 07 Juil 2014, 21:59

Le 4 passe mieux avec une nouvelle vision car il prépare le terrain pour les 5 et 6. Il est pas fameux mais j'ai quand même passé un bon moment.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Lun 07 Juil 2014, 22:02

Ue même sentiment pour moi. Je l'avais conspué en sortant de la salle (ui j'étais allé le voir au cinoche :D) et en le revoyant plus tard dans le cadre d'une intégrale, il était passé tout seul :mrgreen:
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Démons de la liberté (Les) - 8,5/10

Messagepar Dunandan » Lun 07 Juil 2014, 23:31

CHALLENGE ETE 2K14

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Les démons de la liberté, Jules Dassin (1947)

Comme souvent, Jules Dassin nous livre une belle partition. Le meilleur film de prison, je ne sais pas, mais en tous cas on retrouve son talent pour livrer un script carré mais bien charpenté, rempli de petites subtilités qui sont agréables à attraper au vol autour de la condition des prisonniers, et d'une superbe réalisation aux contrastes accentués et aux angles de caméra qui mettent bien en valeur le caractère exigu de cette place où la liberté n'est qu'un vain et vague espoir rêvé mais douloureusement inaccessible.

Au delà de ses qualités formelles évidentes, on retient la tonalité humaniste du propos, mise en branle par une relation triangulaire qui résume dès le début les enjeux entre un médecin alcoolique, un directeur dépassé par les évènements, et un garde imbu de lui-même, qui dissertent sur l'usage de la force avec les prisonniers. Un moment fort qui place en exergue les thématiques de la discipline qui, loin d'améliorer les choses, ne font que transformer ces hommes en bêtes prêtes à bondir. Sur le terrain, poussé par ce sentiment d'oppression, malgré un bon petit esprit de camaraderie que l'on peut percevoir derrière ces gueules burinées et tartinées de suie, certains trahissent les leurs tandis que les autres tiennent bon, avec un bouillonnement mental qui se révélera surtout à la toute fin, mais dont la tension est entretenue par les coups bas des gardiens qui malmènent et manipulent les plus faibles, tout en essayant de briser les plus forts.

Ensuite, ce film retient notre intérêt en nous faisant partager la dureté du cadre (que certains ne trouveront pas si violent, mais par rapport à l'époque c'est pas mal du tout), tout en instillant un bref bol d'air par le biais d'un dessin représentant une femme, inspirant des bouts de leurs derniers moments d'homme libre, ce qui nous permet d'en savoir plus sur eux, tout en nous transmettant une triste idée du bonheur évaporé, aux accents de fatalité d'un film noir, qu'on ne peut s'empêcher de comparer au récent Les évadés par l'humanité qui en ressort. D'autres s'évadent autrement dans leur tête, comme ce black qui chante plutôt que de parler de sa douce voix, apaisant ainsi un petit peu l'atmosphère. Cependant, le sentiment d'emprisonnement domine toute la place, jusqu'à atteindre le directeur lui-même. La suite avec la préparation de l'évasion est assez fantastique par le sentiment d'urgence et de désespoir qui nous prennent à la gorge, les temps forts marqués par la belle musique de Miklós Rózsa (un des meilleurs compositeurs de l'époque faut-il le rappeler), des imprévus assez réalistes, et un final, presque surréaliste par le déséquilibre des forces en jeu lors de la révolte, à la fois sec et percutant.

Le casting est également très solide, avec trois interprétations qui se dégagent particulièrement du lot, même si j'ai bien aimé tous ces personnages au caractère bien trempé. D'abord Burt Lancaster, qui incarne avec fougue ce prisonnier désirant ardemment cette liberté, d'autant plus puissante qu'elle implique d'autres personnes que lui. Puis Charles Bickford, qui incarne ce médecin au regard profondément humain qui assiste impuissant à toute cette violence et cet acharnement désespéré, d'un côté comme de l'autre, et représente quelque part cette humanité brisée (il me fait beaucoup penser au médecin de L'ange ivre). Et enfin Hume Cronyn qui joue avec retenue ce garde à demi aveuglé par son ambition, mais doté également d'une intelligence diabolique et machiavélique. Des archétypes un poil sur-lignés, mais sans jamais verser dans la caricature grâce à une écriture qui présente leur caractère en filigrane et avec une certaine nuance.

Bref, un très beau film de prison naphta, à la fois bien rythmé, réalisé, et interprété, qui se distingue par son traitement humaniste et existentiel qui nous offre des scènes fortes, surtout dans sa finale qui imprime de façon mémorable son message universel sur la condition humaine.

Note : 8.5/10
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Lun 07 Juil 2014, 23:48

@ Kaké et Oso : n'ayant vu ni le 5 ni le 6, je suis donc conditionné à revoir le 4, c'est ça :mrgreen: ?
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Forçats de la gloire (Les) - 8/10

Messagepar Dunandan » Mar 08 Juil 2014, 17:35

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Les forçats de la gloire, William A. Wellman (1945)

Vraiment très sympa ce film de guerre à papa dans le cadre de la deuxième guerre mondiale. Bon, vu l'année de sortie du film et l'affiche qu'on nous offre, il ne faut clairement pas s'attendre à une charge critique contre le principe de l'armée, ce n'est pas le propos, car d'emblée on sait qu'on adopte le point de vue des américains présentés comme les bons gars dans l'histoire. Mais de même que pour Les démons de la liberté vu récemment, ce qui est appréciable et tient en haleine tout du long, c'est le traitement humain, et malgré l'absence de nuance du conflit avec quelques incongruités en prime, la sincérité du propos.

Pour ce faire, le réalisateur choisit un angle documentaire qui permet d'apporter une facture authentique digne de ce nom, notamment dans les décors qui ne font pas toc avec pléthore de paysages en ruine. En outre, à part Robert Mitchum qui n'était pas encore bien connu à l'époque, le casting est remarquable par son caractère anonyme, ce qui sert carrément le script qui a pour l'objectif de construire, en quelque sorte, un rapport d'intimité avec le spectateur. Ainsi, si le fil directeur se fait par le biais d'un journaliste de guerre qui retrace et témoigne par voix-off les difficultés du périple qui va s'achever aux portes de Rome, aucun personnage ne se distingue réellement du lot, mais en même temps on finit par retenir le nom de chacun et ce qui le caractérise, entre celui qui veut entendre son gamin parler sur un phonographe, le dragueur à demi italien, etc. Bref, des présences incarnées auxquelles on finit par s'attacher, alors que le traitement docu' aurait pu donner un résultat contraire (par contre, le contexte n'est pas très souligné, ça passe au second plan par rapport aux soldats). D'ailleurs, si la progression est ponctuée par des morceaux de bravoure, le plus intéressant demeure les temps de pause qui apportent une véritable respiration au récit, avec selon moi, comme point culminant, l'écoute de la radio qui les renvoie à leur existence de l'autre côté de l'Atlantique, un beau passage qui me fait penser au film pré-cité, porté par une caméra qui s'attarde sur chacun des visages à l'affut de cette voix féminine langoureuse qui s'adresse aux combattants, le tout accompagné par une jolie musique de l'époque.

Ce qui pourrait faire rager certains, c'est la petite naïveté qui s'installe par intermittences. Je ne sais pas si elle est toujours volontaire, mais en tous cas elle soutient la part d'humanité des soldats, même si ça manque parfois de subtilité. Moi ça m'a plutôt touché, et c'est assumé jusqu'au bout sans cynisme, comme ce chien que la troupe trimbale d'un bout à l'autre sous le bras, ou cette femme italienne qui se donne presque à coeur ouvert à ce soldat en plein milieu d'une bataille. D'autre part, les types d'affrontements sont assez variés, et frappent par leur réalisme, et je me demande même si parfois quelques images d'archives ne viennent pas se glisser au milieu. Ainsi on se mange du tir de mortier, du conflit direct, et de l'enterrement dans les tranchées qui durent juste assez de temps pour mesurer l'enlisement, le sentiment de répétition, et la folie grandissante dont ils sont victimes. Même si la légèreté domine une bonne partie de la bobine, des accents de noirceur viennent l'agrémenter efficacement jusqu'à un final poignant, tout à l'honneur des soldats tombés. Au passage, ce qui est étonnant et appréciable, c'est le soin de ne pas donner un visage trop prononcé aux adversaires, qui sont réduits à l'état d'obstacle pour un retour au bercail, malgré ce lien un peu maladroit avec la religion qui accentue un peu plus leur absence de moralité et le manichéisme jusque là subtilement mis de côté. Mais bon ça paraît véridique la façon dont ça apparait, et a contrario ça montre efficacement les dilemmes de guerre, même si encore une fois, on donne un peu trop le beau rôle aux américains.

Enfin, la réalisation d'époque est vraiment de bonne tenue. La qualité de la copie du DVD joue sûrement, mais j'ai beaucoup aimé la manière dont la caméra, surtout au début et durant le passage des tranchées, souligne la dureté et l'humanité des visages qui en émane, et joue beaucoup avec les hors-champs pour préparer le terrain en quelque sorte, mais aussi pour accompagner le point de vue des novices qui vont découvrir la guerre comme nous, le spectateur. Ce qui n'empêche pas les affrontements d'être solidement retranscrits (dont l'un est montré quasiment comme une promenade de santé où on s'échange des regards complices, ce qui cadre avec l'absence de maturité de certains, mais pouvant aussi être vu comme une marque implicite de pro-américanisme) bien au contraire, entrecoupés de moments vraiment charmants lorsque les soldats ont leur break.

Bref, un beau film en dépit des défauts en raison du contexte de la réalisation (notamment le pro-américanisme, cependant moins marqué qu'on pourrait le croire), mais pétri de bonnes intentions, et clairement une référence du genre. Après, si cela ne donne pas forcément envie de s'engager (ce n'est pas le but du film), au moins on quitte ces visages qu'on a côtoyé un temps le coeur serré, en ayant eu l'impression de partager leur quotidien, dans leurs joies comme dans leur misère. Selon moi, c'est ce qui fait la réussite de ce film trop peu connu.

Note : 8/10
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Stratège (Le) - 10/10

Messagepar Dunandan » Mer 09 Juil 2014, 17:15

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Moneyball, Bennett Miller (2011)

Beau paradoxe d'apprécier certains films sur le sport alors que je déteste globalement le suivre à la téloche mais c'est comme ça. Peut-être parce que les meilleurs d'entre-eux délivrent quelque chose en plus. Assez disserté sur moi et passons à Moneyball. Le script est d'une limpidité absolue, et nul besoin de connaître à fond les règles sur le base-ball pour s'y immerger complètement. Cela raconte le combat d'un manager voulant basculer le système de la façon dont le jeu est pensé, en se joignant à un diplômé en économie, affrontant donc les foudres de ses collaborateurs, et l'opinion publique. Ainsi, les joueurs sont évalués sur des statistiques, et non sur l'expérience des entraineurs et des vieux de la veille comme cela se faisait avant. La note d'intention est juste magnifique, sachant qu'il s'agit de détrôner l'idée selon laquelle une équipe "pauvre" vaut moins qu'une équipe "riche", qui fait bien sûr penser à n'importe quel sport d'équipe.

ImageImageImage


Pas d'esbroufe dans la mise en scène, l'essentiel se déroule dans les bureaux, avec des échanges menés de main de maître par Brad Pitt qui trouve ici l'un de ses plus beaux rôles depuis longtemps (ce parcours de renaissance à travers ce joueur déchu ayant à renouer avec le succès a du fortement résonner dans sa tête), retranscrit à la manière d'une passionnante partie de ping-pong, ayant à convaincre et à recruter d'après un concept révolutionnaire dans la gestion d'une équipe. Quant aux matchs, ça passe au second plan, avec très peu de plans "live", mais ça reprend bien la philosophie de ce manager qui ne veut pas côtoyer de trop près ses recrues. Puis de fil en aiguille, on assiste à un véritable portrait où se croisent simplement mais efficacement le présent et son passé. Partant de la distance de son officine (pour mieux gérer les transferts), à une plus grande humanité envers ses joueurs, il aura à faire fonctionner ensemble la tête et le coeur (ce qu'aurait du incarner l'entraîneur, totalement dépassé). Le tout ressemble à un coup de poker monstrueux, dont l'intérêt repose sur la foi de ses deux managers (couplée à une science qui ne peut tout prévoir), rendue intéressante grâce à ses nombreux moments de fébrilité hors-caméra (manière de parler), et par la façon dont on rend hommage aux outsiders sous-évalués (les petites scènes avec la fille du manager est un plus en ce sens). Là où c'est assez subtile, c'est que sans la confiance et l'esprit d'équipe, tout ça ne sert à rien. LE coeur et sujet du film, avec un dosage d'effets doté d'un bel sens de l'équilibre (de l'anti O. Stone).

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Un film bourré de qualités, et pourtant à la base si simple, mais filmé de manière efficace, composé de dialogues qui claquent, et doté d'un casting qui y croit jusqu'au bout des ongles sans guerre d'égos (je dis ça car il y a quelques stars du ciné). La petite cerise sur le gâteau, ce sont toutes ces valeurs transmises de manière si sincères et honnêtes, qu'au fond l'argent (et la gloire qui va avec) n'achète pas tout. Rien à jeter dans ce film qui, en plus d'en apprendre sur les arcanes d'un sport selon tous ses aspects (surtout ce qui se passe derrière le rideau), est aussi pour moi un feel good movie, qui est loin de se résumer à une histoire à succès comme on pourrait le croire, livrant ainsi un sens bien plus profond qu'à première vue. D'autant plus que si ce film au fond optimiste fait réellement du bien, on ne caresse pas forcément le spectateur dans le sens du poil. Ce combo détonnant mérite la note maximale.

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We're all told at some point in time that we can no longer play the children's game, we just don't... don't know when that's gonna be. Some of us are told at eighteen, some of us are told at forty, but we're all told.


Note : 10/10
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Mark Chopper » Mer 09 Juil 2014, 17:20

Je dois avouer que je reste dubitatif face aux notes de fou... Le film est sympa, mais de là à y voir un chef-d'oeuvre, ça me dépasse.
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Mer 09 Juil 2014, 17:23

Ben ça faisait longtemps que je n'ai pas vu un film où je ne regarde pas ma montre, ni ne pense à ma future critique :mrgreen:. Mais voilà moi et les films de sport, ça me dépasse. Je mets des 9-10 presque partout (m'enfin 3 ou 4 pour exact).
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar padri18 » Mer 09 Juil 2014, 17:26

Fait plaisir cette critique, il faut justement que je le tente, ça me motive encore plus (quoique priorité sur la saga des Dirty Harry :chut: )
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Re: [Dunandan] Mes critiques en 2014

Messagepar Dunandan » Mer 09 Juil 2014, 18:49

L'un n'exclue pas l'autre :nono:
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