par Mark Chopper » Jeu 14 Aoû 2014, 19:04
Vision très intelligente des mécanismes qui conduisent à la guerre (manque de ressources, peur du déclin), des personnages qui évitent le manichéisme (à part le rescapé de Oz qui joue comme une quiche). Et César est décidément l'un des personnages les plus touchants et iconiques du cinéma US de ces dernières années.
J'aurais aimé quelque chose de plus épique, mais sinon c'est rare de voir un blockbuster aussi bien pensé de nos jours, qui fait réfléchir au lieu de griller des neurones.