[Milkshake] Mes critiques en 2010

[Milkshake]

Pour moi Book Of Eli au niveau de la réal c'est au dessus mais c'est tout.

Le fond, les personnages ça volent pas plus haut qu'un Iron Man 2 j'ai trouvé ça très mal écrit avec pas mal de passage obligé pour satisfaire un certain public.

[Heatmann]

fair enough chacun son truc , tu argumente bien , moi perso j aime bien les pirates des caraibes tu sait , mais pas salt ou knight and day , si on parle blockbuster estival par exemple

[Scalp]

Pour moi Book Of Eli au niveau de la réal c'est au dessus mais c'est tout.

Le fond, les personnages ça volent pas plus haut qu'un Iron Man 2 j'ai trouvé ça très mal écrit avec pas mal de passage obligé pour satisfaire un certain public.

Mal écrit si tu veux mais la réalisation est tellement meilleur chez les Hughes que tu peux pas mettre la mette note, ça voudrait dire que tu mets la réal de ce tacheron de Favreau au même niveau et ça c'est pas bien.

[Milkshake]

Ouai enfin je vais pas changer mes notes qui sont du à un filing post sceance si je dois comparer la note à tout les films que j'ai noté précédemment on s'en sort plus.

[Scalp]

Bein met 5 à Iron Man

[Eikichi Onizuka]

Robin des Bois de Ridley Scott

On pouvait craindre le pire en voyant un Ridley Scott sur le déclin s'attaquer à Robin des bois projet certes calibré qui aurait pu virer à la mauvaise comédie. Au contraire le réalisateur prend le contre pied de ce fameux personnage en traitant sa genèse de manière sérieuse et efficace. On pourra néanmoins regretter que le scénario original jugé trop risqué avec un Robin des Bois méchant soit mis de côté pour livrer un récit prévisible sauvé en grande parti par le savoir faire péplumien de Ridley Scott.

En narrant la fin du roi Richard Coeur de Lion revenant des croisades, le film fait écho à la précédente épopée de Ridley Scott, Kingdom of Heaven qui finissait justement sur un plan du Roi Arthur partant à la conquête de Jérusalem. La comparaison s'arrête là puisque Robin des Bois c'est un peu le Kingdom of Heaven revu à la baisse à tout les niveaux de part les enjeux beaucoup moins passionnant, les non dit laissant place à des explications appuyé de l'intro aux flashback paternel, des scènes d'actions prenante mais de moins en moins inspiré plus les minutes défile, aux personnages bien campés mais sans scènes mémorables.

La grosse plus value du film reste son emballage, Robin des bois fait parti du type de film qui a redonné un souffle à la carrière de Ridley Scott, son savoir faire se voit à chaque instant à l'écran de la reconstitution au travail photo en passant par le cadrage le réalisateur applique la même recette d'un univers qu'il connait sur le bout des doigts même si on est jamais emporté comme lors de ces deux précédents essais. On notera en plus un casting charismatique qui porte fièrement leur côte de maille et autre tenu moyenâgeuse.

Alors que la première partie annonce un bon film déroulant son histoire de manière convaincante ancré dans un contexte historique authentique, l'histoire se liquéfie dans sa seconde moitié ajoutant des scènes inutiles chargées en bon sentiment adepte de facilités : du groupe de jeunes rebelles à la séduction de la Marianne le tout trouvant un point d'orgue dans une bataille finale précipité durant laquelle Maximus reprend son flambeau.

Robin des Bois part sur des bases solides pour ne jamais trouver le souffle épique vital, Ridley Scott restant en mode automatique.

6/10

[Scalp]

Même pas un mot sur la bataille finale toute pourri ?

[Milkshake]

Flemmard ta pas lu ma critique c'est l'avant dernière phrase comme je le dit c'est plus du gladiator revival un peu baclé qu'une bataille vraiment utile au récit.

Dommage le projet a du potentiel, le début est plutôt bon j'aime bien aussi le personnage du prince de manière générale c'est bien joué même Mark Strong que je peux pas blairer je trouve qu'il a la classe dans ce film.

[Scalp]

tu survoles trop, tu dis pas ce que c'est dla merde et honteux

[Milkshake]

Ce qui est énervant c'est qu'on voit très bien qu'avec le script d'origine on aurait certainement eu un bon film.

C'est vrai que c'est Russel qui trouvait l'idée d'un Robin méchant naze et à demandé un réécriture pour participer au projet ?

[Scalp]

Ah bein je sais qui a voulu réécrire le script, mais c'est clair que la première approche était bien plus intéressante.

[Killbush]

Faut que je le revois Iron Man 2, rien que pour la scène où Tony Stark se pisse dessus et se bat contre War Machine sur du Queen remixé, qui représente sans doute une des pires scènes jamais réalisés dans une adaptation de comics (avec la quasi totalité des scènes de Catwoman et Ghost Rider) !

Putain, comment ces mecs ont ils pu pondre le premier opus ?

[Moviewar]

The Killer Inside Me de Michael Winterbottom

Froid, bancal, dérangeant, The Killer Inside Me trouve son unité dans le sourire narquois et glaçant de Casey Affleck.

Michael Winterbottom laisse la fâcheuse impression durant tout le film d'adapter le bouquin de Jim Thompson à lettre sans véritablement se préoccuper d'une narration adapter au cinéma ainsi on un toujours un train d'avance sur l'intrigue sans jamais avoir un véritable développement psychologique des protagonistes de l'histoire.

Le traitement de la vie de ce tueur est aussi lisse et propre que son visage et la reconstitution du Texas 50's proposé par Winterbottom excepté les 2,3 fulgurances de violence réussi qui mette vraiment mal à l'aise tellement le réalisateur prend son temps pour les exposés. On ne retient pas grand chose de la réalisation trop classique ainsi excepté une lumière saturé sur quelques plans, le travail purement technique reste assez sommaire avec une caméra qui ne lâche pas les bottes de Casey Affleck, le seul véritable intérêt du film : ce visage angélique au regard inquiétant porte tout le film de bout en bout.

Tout les défauts et qualités du film réunit dans cette scène

Même si les femmes sont réduit à l'état d'objet punching-ball, on a du mal à rester insensible à la beauté hypnotique du casting féminin (bon oui on voit pas mal de postérieur ça devrait plaire à Scalp ) notamment Jessica Alba qui ne semble pas toujours complètement à l'aise au contraire d'une Kate Hudson étonnamment juste. On ressent dans certaines scènes le potentiel dramatique jamais vraiment exploité tout reste intériorisé, la passion de Cassey pour ces femmes n'est pas toujours bien retranscrite à l'écran, la voix-off glaçante laisse place à une distance montrant l'indifférence totale du personnage.

Le film laisse une drôle de sensation laissant le spectateur perplexe, lourd dans sa narration, lent dans son récit, le film parvient malgré un manque flagrant de poussière et de folie à laisser une empreinte dérangeante. Au final on se demande ou Winterbottom veut en venir comme si lui même ne croyait pas trop à cette histoire qu'il finit en queue de poisson dans un final improbable et ridicule.

6/10

[Heatmann]

j'aime bien la fin WTF venue de nul part

et non elle etait pas morte enfaite hahahahaha ! bien aimer le coup de poignard final , bon les flamme m'en cogne que ce soti des cgi affreuse, il devait surment pas avoirle budget pour cramer la baraque, c'est l intention qui compte

[Milkshake]

Oui bai perso je m'en serais bien passé de cette fin nawak.

D'ailleurs ça rend l'enquêteur encore plus bête pourquoi il l'arrête pas définitivement si ils ont un témoin soit disant Alba dit qu'elle leur a rien dit mais bon ...

C'est vrai que le réal fait tout pour cacher le faux incendie il a pas du avoir l'autorisation de cramer la maison Mais je trouve que plastiquement ça rend pas trop mal

D'ailleurs j'aime bien toute la préparation casey qui arrose tout et joue avec son poignard par contre dès que Alba arrive ça casse tout