[Jean-Michel] Mes critiques en 2014

Modérateur: Dunandan

Juge Fayard dit le shérif (Le) - 8/10

Messagepar jean-michel » Mar 04 Fév 2014, 12:32

Juge Fayard dit Le Shérif (Le) (1977)

réalisé par Yves Boisset
avec : Patrick Dewaere, Aurore Clément , Philippe Léotard, Michel Auclair, Jean Bouise, Jacques Spiesser, Bernard Giraudeau, Jean-Marc Thibault.

8/10

Image

Résumé :
Un jeune juge d'instruction aux méthodes peu orthodoxes est chargé d'élucider une affaire de hold-up. Il est convaincu que l'un des suspects, ancien commissaire, bénéficie de protections au plus haut niveau. Mais celui-ci est assassiné avant que le juge ne soit parvenu à réunir des preuves à son encontre. Peu soutenu par sa hiérarchie, le magistrat est décidé à mener à bien son enquête.

Critique :

L'après 68 est loin et l'autocensure politique est assez présente dans le monde du cinéma. Vaut mieux faire profil bas pour obtenir des faveurs des ministères concernés pour les tournages.
Mais la « fiction de gauche « s'émancipe du carcan et arrive à produire des œuvres qui s'attaquent de front au système en place.
Les faits divers inspirent les auteurs et en font le socle de leurs scénarios romancés.

Yves Boisset est le représentant idéal de cette petite partie de cinéaste anti système, ce critique fin connaisseur du cinéma américain adapte plusieurs films polémiques comme
Un (condé - 1969) ou (l'Affaire - 1971) qui font des remous, le condé est même bloqué pendant deux mois et devient une affaire politique.
Pour (l'affaire) interdiction de tournage a Orly et une suppression de l'avance sur recettes est décidé. La démocratie prend des chemins de traverse biscornus pour un cinéma de vérités.

Avec Le Juge Fayard le réalisateur attaque le microcosme judiciaire par le biais d'un jeune juge intègre et pétri d'honnêteté. Une histoire qui provient du meurtre d'un juge (Renaud) en 1973.
Le film parle du Service d'action civique, nébuleuse organisation souvent qualifiée de police parallèle, créée à l'origine pour constituer une « garde de fidèles » dévouée au service inconditionnel du général après son retour aux affaires en 1958.


Un film qui aide à cristalliser le débat d'opinion par sa manière simple d'aborder un problème complexe. Le public veut s'indigner, Boisset leur donne du blé à moudre !
Le métrage exprime une vision du monde très pessimiste et même méchante, l'équilibre est trouvé entre le côté agressif du sujet et l'émotion que l'auteur parvient à tirer des acteurs.
Patrick Dewaere est tout simplement criant de vérité en pourfendeur de l'occulte et accroche ma connivence.


L'écriture du récit est efficace et nourrit la base de l'anecdote qui anime les situations. Cela avance correctement avec une caméra inquisitrice qui n'est pas dupes des motivations humaines. Un film qui marque par la violence de son propos et le réalisme de ses séquences.
Les personnages sont bien caractérisés avec une distribution des rôles très bien choisit. La séquence du meurtre du juge est choquante dans sa crudité bestiale et froide.
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Re: [Jean-Michel] Mes critiques en 2014

Messagepar Tarankita » Mar 04 Fév 2014, 14:36

:super:

Excellent film. Dewaere tjrs aussi magistral.
Ca fait plaisir ces critiques du ciné FR.
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Re: [Jean-Michel] Mes critiques en 2014

Messagepar jean-michel » Mar 04 Fév 2014, 17:44

Merci, j’essaie de parler du cinéma que j'aime. :super:
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Sans mobile apparent - 7/10

Messagepar jean-michel » Mar 04 Fév 2014, 23:05

Sans mobile apparent (1971)

de Philippe Labro
avec : jean-Louis Trintignant , Dominique Sanda, Sacha Distel, Paul Crauchet, Laura Antonelli , Jean-Pierre Marielle, Stéphane Audran.
Musique : Ennio Morricone

7/10

Image

Résumé :
Plusieurs meurtres sans mobile apparent sont commis dans la ville de Nice. L'inspecteur Carella est chargé de l'enquête.

Critique :

Adapté du roman "Ten Plus One" sous le nom d'Ed McBain, ce polar excelle dans l'approche à l'américaine que Labro s'évertue à créer. Les paysages Nicois sont pris de haut et ouvre la mécanique bien huilé de ce film. Un tueur s'y cache protégé par les hauteurs qui lui offre des cibles de choix pour son macabre travail. Le propos reste soft, pas de sang à gogo, juste des exécutions efficacement porté à l'écran.

Trintignant joue un inspecteur cynique, nerveux, presque antipathique, visage durci comme par un masque et au regard glacé. On sent l'homme dangereux, un prédateur perdu du bon côté de la loi. Il aime exhiber son arme, mais la dernière séquence du film montrera un homme plus complexe, plus humain. Marielle prend les habits d'un personnage amoureux, envahi de haine et qui se dégage de sa civilité pour retrouver les émotions primitives qui le poussent à agir.

La baronnie Nicoise est montré sous sont plus mauvais aspect et comme toujours la politique ne met pas longtemps à montrer le bout de son nez. Quand des riches ce fond dézingués les représentants préfectoraux deviennent nerveux (André Falcon : le sous-préfet).
L'enquête piétine, les journalistes planquent et les flics surveillent ! une situation dangereuse qui mènera pas loin de la bavure dans une séquence !
Une ville en ébullition, sous tension et les regards inquiets se tournent dans tous les sens pour essayer de sentir le danger.

Le point commun des meurtres se trouvera être la petite amie de notre inspecteur, la boucle est bouclée et son assassinat lancera le récit vers une fin classique ou la vengeance est un plat qui se déguste froid.
Le scénario est très bien écrit et permet d'en exprimer tout le sel par son aspect visuel. Le rythme est équilibré et le récit se dynamise lui-même en agençant admirablement toutes les parties des éléments faisant l'histoire. La musique de Ennio Morricone est fascinante et apporte un plus certain à tous les passages importants du film.
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Re: [Jean-Michel] Mes critiques en 2014

Messagepar osorojo » Mer 05 Fév 2014, 01:29

Il m'a l'air bien sympa ce film. Je me le note ^^
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Music Box - 7/10

Messagepar jean-michel » Jeu 06 Fév 2014, 19:18

Music Box (1989)

réalisé par Costa-Gavras
avec : Jessica Lange, Armin Mueller-Stahl, Donald Moffat, Lukas Haas
Musique : Philippe Sarde

7/10

Image

Résumé :
Ann Talbot, brillante avocate de Chicago, est amenée à défendre son père, poursuivi pour crimes de guerre. Michael Laszlo a fui la Hongrie à la fin de la Seconde Guerre mondiale et s'est refugié aux Etats-Unis. Après quarante-cinq ans de vie paisible et honnête, il est convoqué par le bureau des enquêtes spéciales. Des preuves accablantes ont été réunies contre lui et de nombreux témoins auraient reconnu en lui un tortionnaire nazi. Pour Ann, il s'agit de démonter un traquenard politique, mais l'enquête qu'elle entreprend va s'avérer plus complexe que prévu.

Critique :

Costa-Gavras un nom qui rime depuis longtemps avec films engagés et sujets difficiles remettant en cause l'ordre établi.
Z (1969), Missing (1982), La main droite du diable (1988), et juste après ce métrage puissant sur la remise en cause d'un homme paraissant bien sous tous rapport et accablé par des faits effroyables.
La thèse (la mémoire, la faute inexcusable) est un formidable point de départ pour une enquête sur le passé d'un homme et au fur et à mesure de l'avancer de l'enquête les choses deviendront de plus en plus incertaines.
Le côté intime des relations père/fille entre en conflit avec l'honnêteté professionnelle de l'avocate/fille qui lui montre de plus en plus un homme loin de l'image idéale qu'elle s'en était faite.

Jessica Lange montre un talent puissant pour rentrer dans l'habit de cette avocate défendant son père. Petit a petit une vision plus réaliste de l'âme de cet homme va lui être révélée. L'accumulation des preuves indirectes va peu à peu mettre le doute dans son esprit et le malaise s'instaure. La ligne dramatique montre un être en contradiction qui a toujours trompé son monde et le réalisateur appuie avec intelligence sur là où cela fait mal.

L'obscurité des sentiments plane autour de ce film, une installation d'univers personnelle et efficace. Armin Mueller-Stahl est excellent en père et cet habitué des seconds rôles au USA force l'admiration face à la puissance expressive de Jessica Lange. Un couple bien trouvé qui est le centre du récit.

Un film simple qui ne juge pas, ne condamne pas, mais interroge... Pourquoi ? Une montée des émotions avec en bout le moment essentiel de l'affrontement qui défera le lien parental qui unissait deux êtres. Et oui tout n'est pas pardonnable en fin de compte... la morale reste sauf !
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Flic Story - 8/10

Messagepar jean-michel » Ven 07 Fév 2014, 14:36

Flic Story (1975)

de Jacques Deray
Alain Delon, Jean-Louis Trintignant, Maurice Biraud , André Pousse, Mario David , Paul Crauchet, Henri Guybet, Christine Boisson, Jacques Marin.
Scénario : Alphonse Boudard, Roger Borniche
Musique : Claude Bolling

8/10

Image

Résumé : D'un côté, Roger Borniche, un flic idéaliste qui ne porte jamais d'arme, de l'autre, l'insaisissable Emile Buisson, un tueur impitoyable qui n'hésite pas à éliminer ses propres complices. Entre eux deux, un fantastique duel.

Critique :

Tiré du livre autobiographique de Roger Borniche, "Flic Story" cette adaptation cinématographique reconstitue une des enquêtes du policier. L'intrigue observe avec une attention soutenue et humaine une collection de policiers et de malfrats dans leur époque d'après guerre. Le réalisateur de Borsalino Filme de manière très sobre, convenant parfaitement à la dramatique du sujet. Deray est un spécialiste du film policier et Delon qui l’apprécie l’impose sur ce tournage.

Le climat de l'époque est bien reconstitué et le face à face Delon/Trintignant est d'une puissance étonnante. L'un d'une démarche souple, l'élégance animale, le regard bleu qui sourit ou fusille, l'autre froid, le regard fixe, l'allure mortelle. Les acteurs secondaires sont campés d'excellentes manières et accompagnent de leurs qualités nos deux acolytes. L'affrontement est transcrit efficacement par le récit, qui est écrit par un pugnace Alphonse Boudard, très reconnu dans la profession. Peu d'actions spectaculaires, car c'est le réalisme du quotidien qui est mis en avant. Ce film serait presque une étude de caractère tellement les personnages sont profonds et travaillés. Un polar grand public que j'adore qui fait partie de la qualité française traditionnelle et qui se nourrit d'évènements réels.
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A gauche en sortant de l'ascenseur - 6/10

Messagepar jean-michel » Dim 09 Fév 2014, 12:03

A gauche en sortant de l'ascenseur (1988)

réalisé par Édouard Molinaro
Scénario : Gérard Lauzier d'après sa pièce de théâtre L'Amuse-gueule
Musique : Murray Head
Pierre Richard, Emmanuelle Béart, Richard Bohringer, Fanny Cottençon, Michel Creton,Éric Blanc

6/10

Image

Résumé : Yan qui attend un rendez-vous galant se trouve embarrassé par sa voisine qui a claqué la porte de chez elle alors qu'elle était sur le paillasson en petite tenue.

Critique :

Un film vaudevillesque réalisé de main de maitre et maîtrisé de bout en bout. Edouard Molinaro convient bien pour ce genre de film de style comique même si son entente avec le scénariste fut très mauvaise. Les acteurs sont efficaces, Béart apporte rythme et fraîcheur en plus de sa plastique époustouflante, Bohringer malgré l'aversion qu'il ressentira pour ce film fera son travail impeccablement et Pierre Richard dans ces pitreries habituelles survole quand même les débats et est le pilier de ce divertissement. Leurs qualités d'acteurs font exister leurs personnages avec une conviction appréciable. Cette comédie loufoque est une suite de gags a répétition, qui me fait souvent sourire. . Une bonne manière de passer un bon moment avec un film plus axé télévision que cinéma...
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Archimède le clochard - 6/10

Messagepar jean-michel » Dim 09 Fév 2014, 13:32

Archimède le clochard (1959)

réalisé par Gilles Grangier
Scénario : Jean Gabin, Michel Audiard, Gilles Grangier, Albert Valentin
Jean Gabin, Bernard Blier, Darry Cowl, Julien Carette

6/10

Image

Résumé : Las de la grisaille parisienne, un clochard décide de s'installer sur la côte d'Azur.

Critique :

Cette comédie de moeurs est une suite de sketchs assez inégales réalisé par Gilles Grangier l'homme complice de Gabin et interprété par des acteurs de renoms. Les dialogues sont du talentueux Michel Audiard qui dote ce film de sa verve et de ces répliques ciselés. Gabin, Audiard, Grangier... un trio gagnant pour ce divertissement sans prétention et à l'humour particulier, basé principalement sur les personnages excentriques qui peuplent le film.

Gabin est à l'origine de l'idée de départ du récit, de zéro, Audiard a fourni un consistant menu. La vedette voulait prononcer des phrases assassinent et s'attaquer à tous les cons devant lui, mais avec les armes verbales et culturelles sûr (réciter Appolinaire de mémoire). Il voulait un personnage atypique et la bande appela Albert Valentin à la rescousse pour trouver des anecdotes marrantes sur les clochards et autres vagabonds pour enrichir les dialogues d'Audiard.

Julien Carette, Darry Cowl, Bernard Blier, d'excellents adjoints pour mettre en valeur Gabin, à cette époque un film se construisait autour d'une star et tout était fait pour qu'il soit le centre de tout. Ce film est un agréable divertissement populaire, un peu conventionnel mais qui eu un beau succès. La suite prévue ne fut jamais faite.
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Banzai - 5/10

Messagepar jean-michel » Dim 09 Fév 2014, 14:55

Banzaï (1983)

réalisé par Claude Zidi
Coluche, Valérie Mairesse, Marthe Villalonga, Zabou Breitman

5/10

Image



Résumé : C'est l'histoire d'un mec, Michel Bernardin, qui travaille pour Planète Assistance. Dur métier pour un gars serviable mais casanier ! Sa fiancée, Isabelle, avec qui il compte bientôt convoler, est hôtesse de l'air, ce qui terrorise le pauvre Michel qui ne supporte pas l'avion... jusqu'à ce qu'il soit envoyé pour un rapatriement d'urgence en Tunisie. Le voyage de noces devra encore attendre !

Critique :

Un film léger à la réalisation assez terne pour pas dire médiocre et manquant d'ambition pour moi. Le scénario est bancale mais heureusement sauvé par l'écriture qui permet à des scènes de fonctionner avec un humour certain (la tête d'éléphant man, le 747 qui veut atterrir sur un porte-avion). Non, la force de ce film est à chercher du côté des acteurs et surtout du duo Mairesse-Coluche survoltés, irrésistibles et qui se laisse entrainer avec délectation dans le cabotinage de bon aloi.

Zidi est un spécialiste de la comédie populaire française, il est moins connu que Gérard Oury mais c'est un faiseur de succès public comme lui. Ce succès passe par une ribambelle d'acteurs populaires (Pierre Richard, Louis de Funès, Belmondo, les charlots, coluche) et par une intelligence à évoluer au rythme de son temps (les ripoux 1984).


Populaire : Débat. ( Dictionnaire du cinéma populaire français des origines à nos jours) à chacun de choisir sa formule.

Le populaire peut se référer à des choses qui ont un succès commercial ou à des choses qui
sont produites par le peuple ou qui expriment ses pensées, ses valeurs et ses sentiments

Ce mot désignerait le divertissement des couches les plus modestes de la population, celles n’ayant pas accès à la « vraie « culture.

Serait populaire ce qui plaît au plus grand nombres sans distinction de classes et forme un corps de références communes.
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Re: [Jean-Michel] Mes critiques en 2014

Messagepar zack_ » Lun 10 Fév 2014, 13:39

La petite pépé derrière Pierre Richard donne presque envie de voir le film, surtout que le synopsis peut etre rapidement con mais drôle :bluespit:
zack_
 

Invasion Los Angeles - 8,5/10

Messagepar jean-michel » Lun 10 Fév 2014, 14:34

Invasion Los Angeles (1988)

de John Carpenter
Avec : Roddy Piper, Keith David, Meg Foster
scénario : John Carpenter (sous le pseudonyme de Frank Armitage)
Genre : science-fiction, thriller

8,5/10

Image

Résumé : Errant dans Los Angeles à la recherche d'un travail, John Nada, ouvrier au chômage, découvre un étonnant trafic de lunettes. Une fois posées sur le nez, elles permettent de détecter d'épouvantables extraterrestres décidés à prendre le contrôle de la planète.

Image

Critique :

Un film pourfendeur d'extra-terrestres, une série B à très petit budget bourrés d'idées et très bien présentés visuellement.
Un film qui se veut être une réaction violente au bourrage de crane des années Reagan et de ses héros
bodybuildé.
Carpenter n'a rien perdu de son originalité et l'écriture de cette histoire est brillante comme son expression filmique au style toujours aussi pur.

Le monde réel en noir et blanc caché derrière un paravent hypnotique en couleur. Une paire de lunette spéciale permettra de sauver le monde,
le réalisateur manie bien les petits plus qui font avancer son récit à grand bond.
L'originalité c'est les héros de l'histoire, des sans grades, des exclus de la société qui entre en résistance contre les extra-terrestres et leurs affiliés humains souvent de la haute.
Par contre, ce film rejoint les films des années Reagan par le grand nombres de victimes que si peu d'hommes sont capables de commettre, hilarant et loufoque la bêtise des méchants.

L'individualisme, le manque de confiance dans un pouvoir central est aussi dans la partie narrative et tout un tas de sous- entendu son formulés dans son action.
Un film qui me plaît et qui me fournit de quoi satisfaire mon besoin en imaginaire.
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Re: [Jean-Michel] Mes critiques en 2014

Messagepar angel.heart » Lun 10 Fév 2014, 14:38

La note fait plaisir, par-contre :

jean-michel a écrit:une série z


:nono:
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Re: [Jean-Michel] Mes critiques en 2014

Messagepar jean-michel » Lun 10 Fév 2014, 16:40

ah oui! :eheh: série B
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Re: [Jean-Michel] Mes critiques en 2014

Messagepar blackula » Lun 10 Fév 2014, 16:58

zack_ a écrit:La petite pépé derrière Pierre Richard donne presque envie de voir le film, :bluespit:
c'est Emmanuelle Beart :mrgreen: Invasion, c'est génial quand même...bon a part la scène de baston de 10 minutes (une idée de producteur je suis sur), j'adore ce film bien joussif (et puis bon la musique de carpenter c'est grandiose)
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