[alinoé] Mes Critiques en 2012

Modérateur: Dunandan

Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar alinoe » Dim 04 Mar 2012, 11:09

C'est possible, je me souviens bien de Massacre à la tronçonneuse mais pas vraiment de La Colline à des yeux vu il y a vraiment trop longtemps. De toute façon je suis très loin d'apprécier le genre Survival/horreur. En matière de Survival je préfère des films comme les Chasses du Comte Zaroff, le Convoi de la peur et surtout Predator ou Rambo.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar Dunandan » Dim 04 Mar 2012, 12:30

Scalp a écrit:Euh la Colline a des Yeux de Craven c'est de la grosse grosse daube, c'est bien plus chiant que Delivrance quand même.


Pas vu, mais c'était pour la culture générale :mrgreen:

@ Alinoé, dans La classe américaine, ils ont intégré la scène de viol d'une drôle de manière, c'est tout ... Heureusement que j'ai vu Délivrance avant, sinon j'aurais été écroulé de rire devant le film, ce qui est un peu HS.
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Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

Messagepar comICS-soon » Dim 04 Mar 2012, 12:31

La colline a des yeux de Craven déjà les "monstres" c'est des hommes préhistoriques donc bon, ça pose le truc.
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Illusions perdues - 5/10

Messagepar alinoe » Dim 04 Mar 2012, 13:20

Illusions perdues

    Réalisé par Ernst Lubitsch

    Avec Merle Oberon, Melvyn Douglas, Burgess Meredith, Harry Davenport, Eve Arden

    Comédie, USA, 1h24- 1941

    5/10

    Résumé : Jill Baker souffre de crises de hoquets à répétition. Sur les conseils de ses amies, elle consulte un psychiatre qui la persuade que l’indifférence de son mari est la cause de cet étrange phénomène. Dans la salle d'attente elle rencontre un pianiste, Alexander Sebastian, dont elle tombe amoureuse…

    J’ai été déçue par ce film considéré aujourd’hui comme un petit classique de la comédie sophistiquée sur le modèle du vaudeville (femme-mari-amant).

    En matière de comédie sur l’infidélité et le mariage, il n’y a rien de novateur, toutes les situations sont convenues, toute l’intrigue est prévisible dès la première visite chez le psychanalyste et on ne ressent que trop légèrement la Lubitsch « Touch », ce sens du détail qui fait la particularité du réalisateur et sur lequel repose souvent sa mécanique du comique. Ainsi, le hoquet de Jill et le « keeks » (petit geste affectueux de pincement qui agace prodigieusement sa femme) de son mari sont les symptômes absurdes et amusants de la déliquescence du couple, malheureusement le côté répétitif de ces gags lasse rapidement le spectateur, d’autant que le rythme soutenu de la première demi- heure du film retombe rapidement laissant place à trop de longueurs et quelques bâillements. Par contre, on ne peut enlever à Lubitsch sont art du dialogue. Les répliques sont savoureuses avec un double sens sexuel plutôt osé pour l’époque et témoignent d’une vision caustique et parfois cynique du mariage et des relations maîtresse/amant.

    Comédie romantique légèrement divertissante qui manque de cette touche de subtilité qui caractérise les œuvres de Lubitsch, à voir essentiellement pour la prestation de ses trois interprètes principaux, Merle Oberon parfaite en femme raffinée qui se sent délaissée et recherche un peu plus d’attention, Melvyn Douglas également très bon dans le rôle du mari capable de toutes les duplicités pour récupérer sa femme et surtout Burgess Meredith excellent dans le rôle de l’artiste excentrique, narcissique et arriviste.
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    Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

    Messagepar Kakemono » Dim 04 Mar 2012, 13:22

    Je l'ai acheté il y'a quelques mois mais j'ai pas pris le temps de le voir. Je risque de repousser la vision au vu de ta critique. :?
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    Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

    Messagepar alinoe » Dim 04 Mar 2012, 13:35

    Tout dépend de ce que tu as déjà vu de Lubitsch ou d'autres réalisateurs comme Welllman, Sturges ou Cukor, dans le même genre et à la même époque. Personnellement je trouve Rendez-vous, La Joyeuse suicidée, Sérénade à trois, Indiscrétions ou Infidèlement votre, infiniment meilleurs que Illusions perdues.
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    Pavillon noir - 6/10

    Messagepar alinoe » Lun 05 Mar 2012, 19:52

    Pavillon noir

      Réalisé par Franz Borzage

      Avec Maureen O'Hara, Paul Henreid, Walter Slezak, Binnie Barnes

      Aventure, USA, 1h41- 1945

      6/10


      Résumé : Au cours d'une tempête, un navire d'immigrants hollandais, commandé par le capitaine Van Horn échoue à Carthagène. Le gouverneur espagnol, le vice-roi Don Alvarado, refuse de leur venir en aide et jette le capitaine au cachot. Ce dernier s’évade avec ses trois compagnons de geôle…


      Un film de pirates qui manque totalement de rythme malgré de nombreux rebondissements. Les trop rares scènes de combats navals et de duels sont d’une telle mollesse (un coup de canon par là, un mât qui tombe par-ci) que jamais on ne ressent l’intensité des affrontements (sauf lors de l’unique abordage du film). Corsaires et flibustiers sont relégués au second plan (un petit arrêt à Tortuga et quelques références à la confrérie des pirates), pour laisser la place à une aventure romantique entre Paul Henreid et Maureen O’Hara, à base de l’éternel jeu du « je t’aime moi non plus » saupoudré d’une petite pincée d’allusions sexuelles, d’une once de cocasserie et d’une forte dose de romance. Pour Franz Borzage le swashbuckler n’est qu’un prétexte et les scènes d’action sont presque sans importances, seul compte l’hymne au couple et à la passion, comme dans toutes ses oeuvres.



      On retiendra surtout l'étincelante Maureen O’Hara, la prestation de Binnie Barnes en flibustière haute en couleur et surtout la truculente prestation de Walter Slezak qui vole la vedette aux deux acteurs principaux, dans le rôle d’un méchant totalement égocentrique et cynique certes bien caricatural mais absolument savoureux. S’ajoutent de belles maquettes, des jolis paysages peints et un superbe technicolor. Paul Henreid manque de prestance dans le rôle du corsaire au grand coeur. Il est très loin du charisme d’un Tyrone Powell, d’un Errol Flynn ou d’un Burt Lancaster, ce qui amoindrit considérablement le charme de la piraterie. Difficile d’imaginer que Maureen soit séduite au premier regard. Le film aurait du s’intituler le pirate romantique plutôt que Pavillon noir (d’autant qu’il n’y en a pas un seul dans le film) ou alors romance aux Caraïbes plutôt que The Spanish Main qui signifie littéralement la Mer des Caraïbes.


      Un film divertissant mais loin d’être mémorable. Je ne suis pas franchement convaincue qu’il ait sa place parmi les valeurs sûres de la rubrique Swashbuckler du panorama Aventure.
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      Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

      Messagepar Heatmann » Lun 05 Mar 2012, 20:21

      dommage , les screen d'abordage ca fait toujour sont pti effet pourtant :bluespit:
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      Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

      Messagepar alinoe » Mar 06 Mar 2012, 12:11

      En 6 images tu as presque toutes les scènes de combat naval du film.
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      Septième Victime (La) - 6/10

      Messagepar alinoe » Dim 11 Mar 2012, 12:55

      La Septième victime

        Réalisé par Mark Robson

        Avec Tom conway, Jean Brooks, Kim Hunter

        Fantastique, USA, 1h11- 1943

        6/10

        Résumé : Dans un Greenwich Village hanté d’ombres, Mary Gibson, une jeune fille recherche sa sœur Jacqueline mystérieusement disparue…


        Légèrement déçue par ce film d’épouvante des années 40, considéré comme le précurseur du Rosemary’s Baby de Polanski, dans le traitement de son ambiance. A aucun moment je n’ai ressenti la paranoïa ou le sentiment d’étouffement et d’oppression grandissante qui se dégage de l’œuvre de Polanski. En fait le seul point commun entre les deux films est la découverte d’une secte sataniste au cœur de New York.

        Nous suivons Mary, notre héroïne à travers ses pérégrinations pour retrouver sa sœur disparue dans un New York aux ambiances nocturnes désertiques et fantomatiques. Ces décors tout en clairs-obscurs, en angles de vue déformés, quasi expressionnistes qui donnent une impression d’isolement dans cette mégalopole gigantesque, sont la seule vraie réussite du film et empruntent d’ailleurs bien plus au film noir qu’au fantastique.


        L’ombre menaçante de la secte qui plane fatalement sur les membres qui veulent s’en échapper est bien trop suggérée et les adeptes bien trop marqués du sceau de la respectabilité pour générer véritablement l’angoisse ou l’effroi. Jamais le spectateur ne ressent de la tension ou du suspense. Par ailleurs l’héroïne (Kim Hunter) est bien trop fade, sans réelles émotions et beaucoup trop mono expressive pour que l’on s’intéresse à ses errances dans la ville et sa romance naissante si peu exploitée, qu’on ne parvient pas à s’attacher à son personnage. Le spectateur se perd parmi les nombreuses rencontres qu’elle fait, la faute à un casting masculin (Tom Conway, Hugh Beaumont, Erford Gage) dont on ne saurait dire qui est qui, tellement les acteurs se ressemblent et jouent sur le même registre. L’intrigue devient plus intéressante à partir de la rencontre avec la sœur en fuite, Jacqueline, belle et mystérieuse. Jean Brooks est parfaite dans le rôle de cette femme à l’esprit torturé par des pensées morbides et prises au piège dans l’engrenage de ses croyances. Le film vaut donc surtout pour ses décors et sa conclusion désenchantée.


        Pour l’anecdote, il est probable qu’Hitchcock s’est quelque peu inspiré de la scène de douche de ce film pour Pyschose.


        La Septième victime se suit sans déplaisir mais échoue à distiller une ambiance pesante et inquiétante, le comble pour un film qui s’apparente au genre fantastique/horreur.
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        Adorable voisine (L') - 6,5/10

        Messagepar alinoe » Dim 11 Mar 2012, 15:40

        L'Adorable voisine

          Réalisé par Richard Quine

          Avec James Stewart, Kim Novak, Jack Lemmon

          Comédie fantastique, USA, 1h46- 1958

          6,5/10


          Comédie romantique glamour nimbée d’un zest de sorcellerie, dans laquelle on retrouve le duo de Sueurs froides Kim Novak et James Stewart dans un contexte fantaisiste bien différent de celui du film du maître du suspense.

          Le thème de la sorcière qui doit renoncer à ses pouvoirs pour l’amour d’un humain est devenu un grand classique avec la série Ma sorcière bien aimée qui s’est inspirée de ce film. Je trouve d’ailleurs que cette célèbre série a su mieux exploiter le potentiel comique de ce choix difficile, tant il est vrai que le film de Richard Quine manque cruellement de piquant et d’humour. Dans le même genre Ma femme est une sorcière de René Clair était également bien plus subtil et caustique.


          Pour autant l’Adorable voisine n’est pas une comédie sentimentale loupée. Le film est parcouru d’un souffle mélancolique porté par la grâce sophistiquée de Kim Novak, dont la voix suave se prête indéniablement aux envoutements. Richard Quine fait preuve d’une grande finesse dans la description des affres du désir, de la passion, de la jalousie, de la possession ou de la revanche sur une rivale et nous propose quelques moments de poésie intense (magie d’un chapeau qui virevolte, charmes de paysages urbains enneigés, beauté d’un traveling qui s’achève sur le toit d’un building…) et d’autres instants de folle envolée jazzy, notamment un Stormy Weather inquiétant à souhait magistralement interprété par un Jack Lemmon bien trop peu présent à l’écran, tant il est vrai que les personnages secondaires sont plus attachants que le couple vedette. Elsa Lanchester en tante lunatique est adorable, Jack Lemmon en frère diablotin est génial, Hermione Gingold en sorcière fantasque et Ernie Kovacs en écrivain mondain sont excellents.

          Le vrai problème vient du manque d’alchimie qui se dégage du couple Novak/Stewart. La faute incombe à un James Stewart totalement transparent, absent de son rôle qui ne dégage pas d’émotions ou de sympathie. Il ne parvient jamais à entrer dans ce rôle d’homme de tous les jours qu’il a pourtant su transcender dans les œuvres de Frank Capra : La Vie est belle ou Mr Smith au Sénat.

          Je n’ai donc pas été totalement emportée, ni ensorcelée par cette comédie fantastique sophistiquée, la faute à un scénario qui manque de rythme, de mordant, voire même de drôlerie et à une prestation peu convaincante de James Stewart.
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          Auteur: pabelbaba

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          Thing (The) - 10/10

          Messagepar alinoe » Dim 18 Mar 2012, 20:18

          The Thing

            Réalisé par John Carpenter

            Avec Kurt Russell, T.K. Carter, Wilford Brimley

            SF horreur, USA, 1h44- 1982

            10/10

            Résumé : D'étranges phénomènes se déroulent dans un camp norvégien de l'Antarctique.

            The Thing est un remake qui surpasse en tout point la première version produite par Howard Hawks bien trop marquée par l’anticommunisme de l’époque pour ne pas paraître datée et désuète aujourd’hui. L’œuvre réalisée avec brio par John Carpenter s’inscrit également plus fidèlement dans la lignée de la nouvelle originale écrite par John W. Campbell dans les années 30.

            John Carpenter nous propose une leçon de réalisation en matière de cinéma d’horreur. Un scénario efficace et sans fioritures inutiles (accroche, développement, conclusion ouverte) qui permet de se concentrer sur l’essentiel pour donner rythme et intensité à une intrigue nimbée d’un zest de science fiction (chose venue d’un autre monde) mais dont il parvient à conserver une approche quasi documentaire grâce à un enchaînement plausible des évènements (propagation du « virus ») et aux réactions totalement crédibles des différents personnages, mélanges de méfiance et d’alliance de circonstance pour survivre. Des dialogues réduits à l’essentiel (pas de longue et ridicule dissertation philosophique sur la créature alors que seul importe la manière d’exterminer le danger) pas non plus de gags, de punchlines ou d’humour pour venir désamorcer la tension de plus en plus pesante et électrique à chaque seconde. Une économie de gestes et de paroles qui s’inscrit parfaitement dans cette immensité neigeuse au climat hostile pour l’homme. Une routine vitale aux activités bien réglées qui se transforme peu à peu en chaos suite à l’arrivée « du meilleur ami de l’homme » dans la base.


            The Thing s’ouvre sur l’une des meilleures séquences d’introduction de l’histoire du cinéma. Un ovni s’écrase sur Terre, le titre s’inscrit sur l’écran signant dans sa calligraphie, l’hommage à la SF des années 50-60 puis des hommes en hélicoptère chassent un chien de traineau, le compagnon fidèle, nécessaire et vital à toute expédition en milieu polaire ! En quelques minutes, le ton est donné, passé le choc de la scène avec le chien, le spectateur comprend immédiatement que l’animal représente un danger et la nature de ce danger. Ouverture limpide, concise et parfaite d’efficacité. C’est bien la seule fois que j’ai souhaité la mort d’un chien ! Carpenter avait fait tomber le tabou de la mort à l’écran d’une petite fille avec Assaut, il fait tomber celui de la mort à l’écran des chiens, dans une scène de mutation absolument éprouvante et douloureuse pour le spectateur fidèle à « 30 millions d’amis ».


            The Thing s’inscrit dans la lignée du Alien de Ridley Scott, comme l’un des plus magistral huis-clos du genre SF-horreur. La thématique de la contamination par le mal qui est au cœur du cinéma de Carpenter prend toute son ampleur dans ce film. Au milieu de l’immensité des éléments hostiles et déchainés, il n’y a pas d’échappatoire possible, l’impression d’isolement devient tangible et l’espace clos de la base semble se rétrécir au fur et à mesure que la paranoïa et la confusion progressent. Avec cette chose informe, cet amas de chair, cet organisme parasite merveille d’adaptabilité et de mimétisme qui dévore de l’intérieur et se transmet comme un virus, Carpenter renvoie le spectateur à cette terreur viscérale de se faire ronger de l’intérieur par un parasite ou une maladie, à la peur de perdre le contrôle de soi et de se voir confronter à la difformité. Il nous livre sa vision profondément pessimiste de la spirale du mal qui jamais ne s’achève, même pas après la destruction de la base.
            Deux survivants et donc deux possibilités de propager l’infection.
            Une boucle infinie soulignée par l’utilisation de la même musique pour la scène d’introduction et la scène de conclusion du film. De longs silences alternent avec la bande originale composée par Ennio Morricone qui pulse au rythme des battements cardiaques. Les basses distillent un sentiment d’incertitude de peur et d’angoisse croissants. Nul besoin de meubler par des digressions ou de longues explications narratives, car il se passe toujours quelque chose dans les recoins les plus sombres de la base ou de l’esprit humain qui s’aventure dangereusement aux limites de la folie. La scène du test sanguin est un modèle de tension, le spectateur est alors en phase avec les personnages, dans cette attente crispante du résultat et se surprend à enfoncer littéralement les ongles dans les accoudoirs du fauteuil.


            Tout comme la musique et les SFX (toujours aussi impressionnants de maîtrise 30 ans plus tard), tout le casting est au diapason de l’intrigue. Quant au cinémascope, il souligne à la perfection, aussi bien les paysages enneigés à perte de vue qui se referment comme un piège sur les protagonistes, que l’impression de claustrophobie et de psychose galopante qui gagne chaque membre de l’expédition.


            The Thing est tout simplement sur le fond comme sur la forme un chef d’œuvre de divertissement horrifique.
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            Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

            Messagepar zack_ » Lun 19 Mar 2012, 10:51

            :super: Ma critique devrait arriver dans la journée :super:
            zack_
             

            Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

            Messagepar Killbush » Lun 19 Mar 2012, 11:22

            Encore une excellente critique et des screens superbes :super:
            Starting to see pictures, ain't ya?
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            Re: [alinoé] Mes Critiques en 2012

            Messagepar alinoe » Lun 19 Mar 2012, 12:03

            Merci Killbush.

            zack_ a écrit::super: Ma critique devrait arriver dans la journée :super:

            Pour la version de Carpenter ? Il me semblait dans ta liste de critiques que c'était la nouvelle version de 2011 que tu avais vu.
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